8sept. 2020 - Découvrez le tableau "Belle et la bête" de Olivia sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thème la bête, mariage disney, anniversaire la belle et la bête.
Le deal à ne pas rater Cartes Pokémon Japon le display Pokémon Go de retour en stock sur ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez Aller à la page 1, 2, 3 AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Lun 2 Aoû - 2357 Faisons notre vie, faisons notre temps, faisons nos envies, allons de l'avant s'il le faut, si l'on le veut. Encore, encore, et avancer toujours. Toi, moi, nos amours passés, présents ou futurs... Qu'importe, au fond ? Nous avons cette soif de continuer, quitte à nous blesser, quitte à nous troubler encore. Pour ma part, petit chat... Sais-tu, comme je ne suis plus prête à te laisser partir, maintenant que nous nous sommes retrouvées ? Oh, mon amie... Sans doutes est-ce le cas pour toi aussi. Mais à quel point ? Oui, tu vois peut-être en moi une bonne amie, mais pour mon coeur, tu es bien plus que cela, tu vivre, alors ?Comment faire, lorsque nous, pauvres mortels, sont attirés par les plus grandes, les plus belles étoiles ?Tu me parais encore si loin, alors que tu es si proche de moi. Peut-être suis-je encore un peu trop sentimentale ? Je ne veux que toi. Toi, ma Ludmila, et personne d'autre. Je ne veux pas faire fi du passé, mais ne peux pas m'y tenir à jamais. Maintenant, seul le futur pour moi compte, ainsi que mes sentiments, indéniablement poussés vers toi, t'offrant mon coeur, mes sens. me repousses pas, petit chat...J'en mourrai.~La grande femme qu'était Dominura ne mit pas grand temps avant d'ouvrir les yeux sur sa chambre d'hôtel Française, et plus particulièrement... Sur le visage de la ravissante Ludmila, encore endormie en ces élans matinaux. Mais que faisait cette jolie blonde, là, dans son lit ? Oh, rien de spécial, à part dormir. En effet, Dominura n'avait eu qu'à peine le temps de se rendre entre ses draps que déjà la ravissante russe l'avait rejointe, lui offrant douceur et un étrange sentiment de sécurité. Sans doutes la trentenaire aurait-elle pu mourir là, en cet instant, qu'elle aurait pu en être heureuse. Néanmoins, ce ne fut point tellement le cas, la vie préférant lui réserver ses maintes bonnes ou mauvaises surprises, et la grande femme s'en resta donc là, ses yeux sombres grand ouverts guettant sa bien aimée plongée dans les bras de morphée. Comme tu es belle, petite ne saurais comment décrire ces sentiments qui me prennent, qui surgissent et m'entrainent, tandis que je te regarde seulement, me gardant bien de te toucher de quelque manière que ce soit. Non, mes doigts, tout autant que mes jambes mes lèvres ou mes bras, restent en place contre ma propre peau, tandis que je me délecte encore de toi un instant, pensant à la longue journée qui nous Le mariage de ma soeur cadette, Jeanne. Il y aura tout le monde, tous ces Français, toute ma famille, et les amis de la famille, sans compter toutes les personnes du côté du marié que je n'ai jamais vraiment cotoyé, les relations avec Jeanne demeurant tendues depuis des années et des doutes n'aurais-je jamais participé à une telle cérémonie, pretextant la maladie ou le trop-plein de travail, il y a quelques années de cela. Mais un beau jour tu es rentrée dans ma vie, Ludmila... Et depuis ce jour, je suis à présent capable de m'ouvrir davantage aux autres, notamment dans des circonstances telles que celles-ci. Peut-être est-ce que cela parait fou, indescriptible, déplacé ou bien complètement idiot, mais je ne m'en garderais pas de le dire. Sans doutes peinerais-tu à déterminer ce qui, dans notre relation, aurait pu m'entrainer sur cette voie... Et tes questions ne seraient finalement pas si stupides... Car je me pose les mêmes, en cet ses pensées de côté, l'illustratrice laissa un maigre mais sincère sourire se dessiner sur ses lèvres fines, alors qu'elle s'en attelait à réveiller sa belle, passant une main sur son épaule"Ludmila... C'est l'heure~"L'heure de se lever, l'heure de se préparer... Bientôt l'heure d'y aller ? De se rendre sur le champ de bataille, en somme. Cette journée, pour moi, n'est pas sans comprendre un certain stress Je n'ai pas l'habitude - Et ai horreur - des cérémonies, surtout lorsqu'elles ne me concernent pas plus que cela. A quoi vais-je bien pouvoir servir ? Que tout le monde me pointe du doigt, en disant que la soeur Romley est revenue pour l'occasion, sortant de ses lymbes ? Je n'ai pas envie d'avoir le regard des gens sur moi, et encore moins la compagnie de ma famille... Mais tu seras là, n'est-ce pas ? Ma Ludmila...Mon dieu, voilà que je recommence...Cette possessivité !! veux-tu, pour toutes ces choses, que je te fais subir ?Non... Je n'ai pas à songer à as décidé de venir ici, n'est-ce pas ? Je n'ai plus rien à voir là dedans...BamBamBamBamSois-là...Un instant de plus, pour moi...S'il te ne fut pas sans certains regrets - Notamment celui de demeurer dans le lit si confortable en compagnie de la belle blonde - que la grande femme finit par se lever, s'étirant avec grâce, étendant jusqu'à ses bras, là bas, tout autour d'elle. Un instant encore, et son regard caressa le joli visage de sa belle, avant qu'elle ne s'en détourne, avant d'en rougir. Un regard vers sa valise, et elle finit par l'approcher, en sortant ses sous-vêtements ainsi que sa robe, ses chaussures achetées pour l'occasion, ainsi que ses accessoires. Rapidement, elle se rendit à la salle de bains, où elle opta pour la magnifique et grande douche, préférant quelque chose de plus rapide et plus vif que le bain. Hop hop hop, propre, lavée de près, la dessinatrice ne tarda pas à sortir, se sêchant rapidement avant de s'atteller à sa robe, pour ne pas changer, était de couleur anis. Cependant, sa forme différait de tout ce qu'elle avait l'habitude de porter. Au lieu de s'arrêter aux genoux, elle glissait sensuellement le long de ses grandes jambes, pour finalement s'arrêter à ses chevilles, où débutait le noeud de ses chaussures à talons assorties. A sa taille marquée, une sorte de ceinture de noeud, très sobre mais rafinné. Point de bretelles ni de manches, juste la sensualité de ses épaules, la douceur de ses passerons les accessoires d'argent, bagues comme colliers, boucles d'oreilles comme bracelets, pour bien vite passer sur quelques détails de maquillage. Son regard n'était désormais cerné que d'Eye-Liner et de fard à paupières assorti à sa tenue, alors que ses lèvres ressortaient bientôt sous les coups d'un rouge à lèvres vif. Un dernier coup d'oeil à la glace Tout semblait aller à merveille. Finalement, que manquait-il ? Seule Ludmila pourrait le lui dire. Ainsi Dominura laissa ses talons la guider à nouveau vers le coin-chambre, un léger sourire aux lèvres, alors que sa coiffure relevée en un chignon à la française lui donnait des airs encore quelque peu plus sensuels qu'à son habitude. Un regard, et je te dévore, tant je te voudrais auprès de moi, si près me trouves-tu, petit chat ?Je n'ai pourtant pas le temps de te le demander, que mon téléphone sonne, non loin de clac clac clac !Rapidement, la grande femme se rua sur l'appareil, le faisant coulisser afin de pouvoir réçeptionner l'appel sans peines. Dominique Romley Une voix, sans bien trop d'émotion, se fit alors entendre d'entre les lèvres de Dominura, dans un Français assez simple"Dominura j'écoute ?""Ah, ma fille, je t'ai enfin !!Eh bien, que fais-tu ?! Tu ne devais pas arriver avant tout le monde pour voir ta soeur ?""Oh c'est bon Maman ! Et alors quoi ? Tu ne m'as pas parlé depuis des lustres et c'est la première chose que tu me dis ?On arrivera lorsque l'on arrivera, j'ai prévu, tout va bien. A plus tard."Puis elle raccrocha, levant les yeux au ciel, avant de se retourner vers Ludmila, haussant légèrement les sourcils, exaspérée, en lui laissant entendre, tout en reposant le téléphone sur la table de chevet"Ma mère, qui n'avait rien d'autre à me dire que de me faire remarquer que je n'étais pas encore avec eux..."Levant les yeux au ciel, elle retourna alors vers la salle de bains afin de se mettre un peu de parfum, puis en sortit doucement, passant auprès de Ludmila avant de se diriger vers le téléphone."Allô bonjour ? Ici Melle Romley, de la chambre 414. Oui ? Oui, evidemment. Non, en fait j'aimerais un taxi s'il vous au plus vite."Et je raccroche,Je me tourne vers toi,Je te regarde, mordillant ma lèvre inférieure Tu es si magnifique,Mon amie, mon ta peauJusqu'à ton coeurLaisse-moi tes sensTellementMienneSous mes regards amoureux. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Mar 3 Aoû - 130 Ne me quitte pas, Dominura. Jamais. Ne serait-ce pas me torturer, que de me laisser ainsi t’approcher, si cela est pour mieux m’échapper par la suite ? Je ne le supporterai pas, tu sais. Je ne saurai plus vivre sans toi, ayant pu bien assez me rendre compte de la fadeur de ma vie, lorsque tu es loin de moi. Evidemment, tout ne dépend pas uniquement de toi, n’est-ce pas ? Je n’étais pas prête. Je ne voulais pas prendre le risque de trop souffrir à nouveau. Serais-tu capable de me faire une fois de plus souffrir, à en mourir ? Je n’ai jamais autant eu mal, qu’avec toi. Et pourtant, je n’ai jamais été aussi heureuse. Peut-être – Un jour – serais-je capable de te faire totalement confiance à si tout à présent semble aller à merveille entre nous, je ne saurai te cacher mes doutes, mes appréhensions quant à notre relation, quelle qu’elle soit. Je n’ai pas peur de tes coups. Je n’ai pas peur de peur de tes sentiments, pour moi, pour les autres. Seront-ils plus forts un jour, pour quelqu’un d’autre que moi ? Comment pourrais-je en être sûr ? Grace a su bien mieux te comprendre que moi. Je ne suis pas à la hauteur, et tu finirais par t’en rendre compte à Tu finiras par le voir – Me haïr. ~TicTacTicTacLes yeux rivés vers le plafond – malgré l’obscurité ambiante de leur chambre d’hôtel – Ludmila était ainsi allongée dans son lit depuis déjà quelques minutes, son cœur battant bien trop vite pour quelqu’un qui était sensé s’endormir d’ici peur. Se remémorant avec euphorie cette journée passée en compagnie de Dominura, songeant d’autant plus à ce qui les attendait le lendemain, la jeune Russe se sentait alors tout bonnement incapable de fermer les yeux pour l’instant, et ce d’autant plus de par la présence de son ex-compagne dans le lit qui était disposé juste à côté du sien. Ressentant malgré elle les moindres mouvements de sa belle – aux sons qu’ils engendraient – la jeune femme rêvait secrètement – silencieusement – de venir se glisser dans ses retournant doucement du côté de la belle française, Ludmila posa finalement son regard sur elle, se demandant un instant ce à quoi cette dernière pouvait bien penser. Restant ainsi encore quelques minutes, la jolie blonde – ne sentant pas son cœur se calmer – décida finalement de se lever, marchant discrètement jusqu’au lit de Dominura. Vêtue de sa traditionnelle nuisette de soie rouge, la jeune femme se glissa alors doucement sous les couvertures de son ex-compagne, se tournant délicatement vers elle et passant tendrement sa main sur son ventre, son visage venant se blottir dans son cou. Fermant finalement les yeux, Ludmila sentie la présence et l’odeur de Dominura faire leur effet, son corps se détendant considérablement contre le sien, bien que restant indiscutablement très correcte dans ses moindres Amour. Depuis combien de temps, n’avons-nous pas pu dormir ainsi l’une à côté de l’autre ? Ton odeur me manque. Ta chaleur me manque. Je pourrai rester éternellement ainsi, si proche de toi, paisible. Et mes lèvres se referme tendrement derrière ton oreille, d’un doux baiser, accompagnant ces quelques mots, adorablement prononcés, chuchotés - Bonne Nuit~ Je t’aime.…~ Ludmila... C'est l'heure~ »Mhm… ?Gardant encore un instant les yeux fermés, Ludmila sentie la douceur des couvertures glisser sous les quelques mouvements inconscients de ses jambes, tout autant que la main de Dominura sur son épaule ne manqua pas de la sortir tendrement du sommeil profond et paisible dans lequel elle était encore plongée quelques secondes auparavant. Esquissant finalement un fin sourire lorsqu’elle réalisa qui, où et avec qui elle était, la jeune Russe ne tarda finalement pas à ouvrir les yeux, ne pouvant quant à elle pas empêcher ses mains de venir s’accrocher quelque peu à Dominura, tentant sans réelle force de la retenir – par le biais de sa robe de nuit – lorsque cette dernière se leva, quittant ce lit qui avait été le leur pour cette nuit. Laissant échapper quelques adorables gémissements endormis, la jolie blonde ne manqua pas de se blottir quelque peu dans les couvertures, ayant à vrai dire toujours bien plus de mal que son aînée à sortir du lit de si bon matin. Ne manquant pourtant pas de suivre cette dernière des yeux, Ludmila se réveilla donc doucement mais sûrement, suivant les moindres mouvements de sa belle, non sans se faire remarquer une nouvelle fois à quel point cette dernière était terriblement es si jolie. Serait-ce déplacé que d’ajouter que tu l’es d’après moi d’autant plus lorsque tu sors tout juste des bras de Morphée ? J’aime voir ton visage encore dénué de maquillage, tes cheveux décoiffés. J’aime cette beauté naturelle, ce charisme que tu émanes, sans artifices. Mais il faudra bien nous préparer, n’est-ce pas ? A quelle heure devons-nous rejoindre ta famille ? Je n’en ai pas la moindre idée, préférant me laisser guider par toi-même, qui sans doute est bien plus attendue que moi. Oh, je ne doute pas que Jeanne soit ravie de me voir, tout comme je le serai, la considérant presque à présent comme ma propre sœur. Mais elle t’attend toi, plus que quiconque. Et je suis heureuse – au fond – de savoir qu’elle sera satisfaite Sa sœur sera présente à son temps passant bien plus vite que Ludmila ne l’aurait souhaité, cette dernière ne tarda pas à sortir du lit à son tour, imitant Dominura en préparant ses affaires avant d’aller prendre une douche à son tour. HopHopRouge à lèvre cerise. Fard à paupière clair, proche du blanc. Mascara noir. Poudre, bien que son teint soit déjà bien proche de la perfection. Un bracelet de perles noires, un collier et des boucles d’oreille assorties, sobres mais classes. Parfum habituel, chaussures à talon. Et cette robe, que la charmante blonde n’avait jusqu’alors jamais porté, l’ayant acheté pour l’occasion, bien qu’ayant longuement hésité parmi d’autres SpoilerRelevant ses cheveux en une coiffure proche de celles que Dominura portait habituellement, Ludmila y plaça une adorable pince munie d’un nœud rappelant le tissu de sa robe. Finalement, elle ne tarda pas à rejoindre la chambre à son tour, son regard se posant sans attendre sur sa magnifique amante, incroyablement belle dans cette robe qu’elle ne lui connaissait pas. Lui adressant un adorable sourire – parvenant avec bien du mal à cacher la brillance fascinée et amoureuse de ses yeux – la jeune femme pinça légèrement ses lèvres entre elles, brûlant d’envie de se jeter sur celles de son ex-compagne, définitivement conquise par le choix de ses vêtements pour la avant même que la jeune Russe n’ait eu le temps de complimenter sa compagne de chambre, cette dernière reçut un coup de téléphone de la part de sa mère – Ludmila comprenant bien le mot Maman » - non sans que sa réaction ne surprenne quelque peu la jeune psychologue. Voyant Dominura répondre sur ce ton à celle qui lui avait donné la vie ne manquait pas de l’amuser, plaignant d’ores et déjà cette pauvre femme d’avoir dû élever une fille ayant un si fort rends-tu seulement compte – Trésor – du ton que tu emplois ? Je ne sais pas encore ce que désirait ta mère, mais il est certain qu’elle n’a pas aidé à l’angoisse que je lis dans tes mouvements, comme lorsque ton talon a claqué le sol, lorsque tu lui répondais – impatiente. Tu es adorable, oui. Et pourtant, je ne peux m’empêcher de trouver que tu exagères, lorsque tu lèves les yeux au ciel, m’avouant la cause de cet appel comme si cela était quelque chose d’absolument aberrant N’est-il pas normal que ta famille soit impatiente de te voir, si tu ne les as pas vu depuis bien longtemps ? Tu es un peu dur, mon Ange. Et mon sourire te le fait comprendre, d’un regard complice mais quelque peu réprobateur, faussement ne te rends pas compte, du pouvoir que tu as sur autres, qui t’aimons – plus que tu ne voudrais le croire.~HopHopDominura revenant de la salle de bain, la jeune Russe ne pu s’empêcher de fermer un instant les yeux en sentant le parfum de cette dernière venir jusqu’à elle, sentant son ventre se nouer quelque peu tandis qu’elle réalisait peu à peu la situation dans laquelle elle se trouverait dans quelques minutes. Des français, des français, et encore des français. Comme cette personne, à laquelle Dominura demandait un taxi, d’après ce que comprenait la belle blonde. Saurait-elle trouver sa place, parmi eux ? La famille de Jeanne, celle de son conjoint. Ludmila ne connaissait personne, tandis que sans doute une partie avait déjà entendu parler d’elle. J’ai peur. Et si ta famille me déteste ? Ta mère, tes frères. Je sais, que Jeanne sera toujours de notre côté. Mais les autres ? Je ne veux pas te mettre mal à l’aise face à eux, tu sais. Ta famille est sans doute plus importante. Ou bien, non ? J’ose espérer que jamais tu ne t’adresseras à moi comme tu le fais avec ta je te regarde, prête à partir, mon sac à la main, un sourire aux es adorable. Et mes yeux glissent sur ta mienne se pince, bien, M’embrasser ? Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Mar 3 Aoû - 2007 Hey !! Restes-là. Encore un instant. Un moment ? Oui, deux minutes. Restes en ma compagnie, demeure à mes côtés, mon amie, toi que j'aime. Sommes-nous attendues ? Je le crois, bien malheureusement. Pourquoi n'avons-nous jamais de temps ? J'aimerais en disposer davantage, avec toi, peut-être parfois pour ne rien faire. Profiter, et te regarder, encore, oui, encore. Mais le temps nous presse, nous appellant, nous oppressant, nous poussant vers nos obligations ou nos devoirs. Cette journée ne sera sans doutes pas que chargée de bonheurs, n'est-ce pas ? Pourtant, il faudra bien positiver au maximum, éviter de prendre pour nous les commentaires, tenter de ne pas sentir le mal de nos chaussures à talons et les resserements de nos robes tantôt étriquées sous la charge des repas sommes en sommes ne séparerons plus jamais, n'est-ce pas ?Je ne peux rien te demander, juste espérer. Et j'espère encore, tandis que je te jette un regard aussi doux qu'apaisé, après avoir raccroché le téléphone demandant le taxi. Je sais bien, que mes élans d'humeur ne sont peut-être parfois pas à ton goût. Qu'as-tu cru voir à ma réaction face à la voix de ma mère ? Je ne le cache pas Je suis stressée, tout comme l'a sans doutes indiqué ce claquement de pied que j'aurais aimé cacher, contenir. Rien ne semble t'échapper, alors que tes magnifiques yeux passent sur moi. Pitié, petit chat... Ne me regardes pas ainsi, ou j'en fondrai davantage. Je ne dois pas rougir-Je ne peux pas t'embrasser,Cela m'est défendu,Même si j'en meurs d'envie~En ce jour, si la grande femme semblait des plus assurées, il n'en était pourtant pas tout autant en son for intérieur. En effet, les circonstances de ce voyage en France se révélaient enfin Le fameux mariage. Et s'il y avait une tâche des moins aisées pour l'illustratrice, c'était bien celui de tenir son rôle de membre de la famille Romley, qu'elle soit fille, soeur ou cousine. Depuis combien de temps n'avait-elle pas participé à un tel rassemblement de ses branches supérieures ? Un bon moment, cela était evident. En elle résidait donc ce stress indescriptible, ces impatiences de ne pas savoir ce qu'elle allait voir, dire, ou laisser passer en cette matinée, cet après-midi, cette soirée. Heureusement pour elle, Ludmila était à ses côtés. Mais cette présence ne ferait sans doutes pas tout Elle finirait bien par se retrouver seule face à tout ce monde, qu'il soit groupé ou prit individuellement. Et cela semblait, à ses yeux, diablement coriace, bien inconcevable pour le en moi... De la peur ?Je ne veux pas. Je ne veux pas les voir, les me connaissent tout comme je les connais... J'ignore s'ils veulent réellement de me réclamment-ils, mais au fond... Peut-être ne voudraient-ils pas même entendre parler de ma de me retrouver à nouveau face à Jeanne, ainsi que son fiancé, en cette journée qui est la leur. J'angoisse, de revoir mes frères, leurs enfants que je ne connais qu'en photo, et encore. J'angoisse, d'embrasser ma mère, de laisser passer sur elles mes yeux si semblables à ceux de mon défunt père. Y aurait-il quelque chose, ici, pour me calmer, ormis la tendre présence de ma bien-aimée ? te sais que je n'ai pas le droit de te demander cela,Je sais que la tâche ne sera pas aisée...Mais pourrai-je reposer mes yeux sur toi, lorsque je ne pourrai plus supporter la vue de tout ce monde qui m'oppresse tellement ?Je ne saurai certainement pas être si fluide que je le suis devant les journaliste, le public de mes conférences, la raideur des caméras et des appareils photos. Comment sourire face à des gens pleins de rancoeurs et de regrets, de peine et de compassion ?Je te regarde encore, tandis que je prends avec moi mon sac à main. Longue inspiration, redressement, tandis que mes yeux brillent pour toi... Et je te souris. Calmement, motivée, je te souris, comme si c'était la dernière fois. Allons-y ? ~En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, les deux classieuses femmes descendirent les marches de leur bel hôtel Français, sans même prendre le temps d'y petit-déjeuner. Leurs belles robes parées, sacs en main, elles s'installèrent bien vite dans le taxi appellé par Dominura, dont le chauffeur semblait des plus charmants malgré son grand âge. De toute sa ravissante stature, il demanda la destination, ce que la grande femme ne tarda pas à l'imprévu fut bien de mise à ce que les routes de Paris soient bien embouteillées par les quantités de voitures des riverains tout comme des nombreux touristes. Il en alla donc de klaxons en injures à l'exterieur, alors même que le chauffeur des deux jolies femmes gardait son calme le plus profond, toujours très du trajet pour se ressourcer de sa solitude avec Ludmila avant la tornade du mariage, la grande femme ne manqua pas de se rapprocher doucement de sa belle, laissant une main se poser sur sa cuisse, sans ambiguités ni caresses... Juste là, comme ça. Un regard, puis elle passa son observation par la fenêtre, soupirant doucement afin de se calmer quelque peu, son coeur battant bien trop vite à son modeste de temps encore ?Entre ces embouteillages et le temps d'arriver là bas...Paris est grand, mais c'est encore pire, lorsque le château se retrouve en une proche je n'y ai jamais mis les doutes est-ce charmant ? A en connaitre Jeanne, je sais bien qu'elle ne se serait jamais mariée dans quelque chose de sobre et de un instant les lèvres, la grande femme se retourna ensuite vers Ludmila, haussant légèrement les sourcils, alors que ses joues rosissaient légèrement sous leur pâleur retrouvée suite à son débronzage éclair au soleil de NewYork "Pas trop stressée ?..."A ces mots attentifs et légerement nerveux, Ludmila put sans mal lire en Dominura que le stress était plutôt en train d'accroitre en son corps, en son coeur, tandis qu'elle faisait mine de s'interesser à celui de la belle blonde par tout hasard heureux. D'ailleurs, la main posée sur la jolie robe de la jeune russe ne manqua pas de se faire un peu plus lourde, un peu plus refermée, signe d'une réelle oppression dans les songes de l' que tout va bien se passer ?Dis-le moi, fais-moi signe, petit chat...Pour moi, c'est une épreuve, tandis que pour bien des gens cela aurait été l' oui, la peur survient, La peur de te perdre de vue dans la foule, celle aussi de se retrouver en ne veux pas être en défaut face à tant de monde~Et mes jambes crispées jouent entre elles en de légers frottements nerveux, alors que je change rapidement d'orientation, mon menton se tournant tantôt vivement vers la fenêtre tantôt vers le conducteur, comme angoissée d'un monde qui ne serait plus le mien, nous survivront, n'est-ce pas ?Tu n'as pas l'air si mal, jolie bien loin de ton pays, bien loin de ta langue natale,Tu connaitras à nouveau la France,Et les étrangetés des Français. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Mar 3 Aoû - 2213 Oh – Si ! Embrasses-moi, Dominura ! Qui, nous l’interdit ? J’aimerai tant – tu vois – t’offrir un tendre baiser, qui peut-être t’aidera à te sentir mieux. Car oui Je vois cette angoisse, dans tes yeux, de par tes mouvements. Aurais-tu peur de te retrouver face à ta famille, après tant de temps passé bien loin d’eux ? Je ne me souviens pas t’avoir vu leur donner bien beaucoup de nouvelles, lorsque nous étions ensembles. Pas même ne les as-tu prévenu, pour ton départ en Australie. Je me souviens de l’inquiétude de Jeanne, tout aussi terrible que la mienne. Ta mère et tes frères ont-ils été tout aussi touchés ? Tu aurais pu – tout de même – prêter pour une fois un peu plus attention à ceux qui tiennent à toi, et ce même si tu n’as pas besoin d’ je ne t’en veux pas, non. J’aimerai seulement te voir plus en paix avec ta famille, celle-là même dont je crains quelque peu la rencontre, compte-tenu de tout ce qu’il s’est dit sur nous dans la presse. Mais tout ira bien, n’est-ce pas ? Tu seras là pour moi, comme je serai là pour toi. Dire que j’ai songé un instant que tu n’accepterais pas de venir, alors même que ma propre décision était prise – pour le plus grand plaisir de Jeanne. N’aurais-je pas pâli d’angoisse, quant à ce qui m’attend alors ? Sans doute. Mais tu es là, et tout ira bien.~Rapidement – donc – les deux jeunes femmes purent fermer la porte de leur chambre d’hôtel, se dirigeant toutes deux – ravissantes – dans le hall de ce dernier, avant de finalement en sortir, un taxi les attendant non loin de l’entrée. De toute évidence, ce chauffeur-ci était bien plus calme et classe que le précédent, ne perdant absolument pas son sang froid lorsque tous trois se retrouvèrent bloqués dans les embouteillages parisiens. Contrairement à lui, il semblait néanmoins que Dominura commençait sérieusement à appréhender cette fête familiale vers laquelle elles se dirigeaient, lentement mais sûrement. Profitant du paysage – et ce malgré les klaxons et cris qu’elle pouvait entendre au dehors – la jolie blonde se sentait encore quant à elle relativement sereine, se rassurant indiscutablement de la simple présence de son aimée. Evidemment, elle ne manquait pas de comprendre que la situation de Dominura était quelque peu plus oppressante que la sienne, sachant cette dernière bien plus réticente face à sa propre famille que face aux journalistes et autres fans, qui – de toute évidence – ne la connaissaient pas aussi bien que sa propre mère, ainsi que sa fratrie. Sentant la main de sa belle venir se poser sur sa cuisse, Ludmila se tourna doucement vers elle, esquissant un fin sourire, tout aussi agréablement surprise que cruellement attendrie lorsque Dominura laissa échapper un léger soupir, prenant vraisemblablement sur elle pour ne pas laisser son stress l’envahir va aller, mon cœur. Je suis certain qu’ils seront tous ravis de te puis, tous les regards seront rivés sur Jeanne, n’est-ce pas ?Personne n’aura l’idée de te demander des comptes en un pareil jour pour ta jeune bien, peut-être suis-je trop naïve ? Il est vrai que certaines personnes n’ont aucune je serai là pour toi, quoi qu’il arrive. Ne me quitte pas – Jamais. Pas trop stressée ?... »Ayant gardé les yeux rivés sur son ex-compagne depuis l’instant même où cette dernière s’était rapprochée d’elle, Ludmila ne pu que sourire face à l’interrogation adorable de la charmante française. N’était-elle pas trop stressée ? Non. Un peu, mais pas trop. Et ce contrairement à Dominura, dont la main se refermait quelque peu sur la cuisse de la jeune Russe, cette dernière venant y poser la sienne en une douce et rassurante caresse, soutenant son regard avec calme et détermination. Ne répondant à cette question que d’un léger mouvement de tête en signe de dénégation, la belle blonde adressa finalement un tendre sourire à son aimée, le bout de ses doigts caressant sans ambiguïté le dos de la main de l’illustratrice, avant qu’elle ne lui laisse entendre – Dominura détournant d’ores et déjà le regard, visiblement bien trop angoissée pour tenir en place - Tout ira bien Trésor… Je suis sûre qu’ils seront très heureux de te voir~Forçant doucement la main de Dominura de la sienne à se retourner, Ludmila rapprocha finalement la seconde de son avant bras, le bout de ses doigts venant frôler et caresser avec douceur la peau blanche de l’illustratrice, tout autant dans le but de la rassurer que de lui montrer qu’elle était là pour elle, quoi qu’il advienne de cette journée, de ce week-end. Ne devraient-elles pas retourner au château, dès le lendemain ? La coutume voulait que la famille et amis proches étaient invités à déguster les restes du repas officiel, et ce seulement un jour après la date du mariage, bien sûr. Ludmila ne savait pas encore si Dominura comptait s’y rendre, et après tout, la question ne se posait pas pour l’ d’abord comment se passe cette journée, pas vrai ? J’ai hâte d’y être, tout autant que je le crains, l’empathie que je ressens à ton égard commençant à faire se nouer mon ventre d’oppression. Finalement, la belle blonde ajouta, un léger sourire tendre et complice aux coins des lèvres - Jeanne le sera, en tout cas. C’est le plus important, non ? Ta sœur tient tellement à toi. J’espère que vos rapports se passeront à merveille, tant pour elle que pour toi. Je serai là pour vous y aider, si besoin est. J’aimerais tant que tout se passe bien. Que personne ne vienne se mêler au bonheur que nous avons de pouvoir passer ce week-end ensemble, en France. Je te regarde, et ne peut que sourire, attendrie et amoureuse, bien que ne sachant trop comment te notre charmant chauffeur arrivera à ses fins, fuyant les embouteillages pour nous mener au lieu dit, à savoir ce château dont je n’ai jamais entendu parler, à vrai dire. J’imagine que tout ira très vite, ensuite. Pourrais-je alors te demander quelque chose, maintenant ? Mon sourire se faisant plus sérieux, je te regarde et laisse ma main glisser de ton bras pour venir se poser sur ta joue, la seconde se glissant entre tes doigts avec te dire, comme je t’aime. Mais il est trop tôt, pas vrai ? Trop tôt pour me laisser emporter à nouveau par les élans de mon cœur. J’aimerai te demander, si tu serais prête à repartir de zéro, avec moi. Seulement savoir, s’il est encore utile d’espérer, ou si je risque de souffrir à nouveau de cet espoir, si fort ? Je ne devrais peut-être pas. Je ne devrais pas même me poser la question, n’est-ce pas ? C’est moi, qui ai voulu nous imposer les limites de l’amitié. Oh mais ne serais-tu pas venu au bras de Grace, si encore cette dernière ne t’avait pas lâchement abandonné pour son travail ? Tu étais amoureuse d’ si tu te rapproches de moi à présent,Ca n’est que parce que tu n’as pas eu le choix de te retrouver seule à raison, ai-je tors ? J’ose croire que tu serais quand même revenue auprès de moi, si Grace ne t’avait pas interdit de repartir en Australie avec elle. Même si – au fond – cette image me semble faut qu’on parle, Dominura. A cette idée, mes joues mots ne viennent te le taxi s’arrête, sans même que je ne m’en rende compte. Derrière toi, la porte s’ouvre, notre chauffeur nous indiquant l’adresse afin de confirmer notre bonne arrivée. Je le regarde, te regarde, puis laisse glisser ma main, faisant revenir cette dernière à moi tandis que mes lèvres se rejoignent, s’étant un instant entrouvertes d’une attente tout aussi étrange qu’adorable. Revenant à elle relativement rapidement, Ludmila ne manqua pas d’offrir un sourire plus enjoué à sa belle, sortant de la voiture tout en laissant entendre, sincèrement enthousiaste malgré une montée de stress – qui de toute évidence la rendait quelque peu euphorique - C’est partiiihH !! parlerons plus ça n’est pas réellement le moment, n’est-ce pas ?Pourtant, tu sais, tu as vu – dans mes yeux – que je désire m’entretenir avec toi – ne veux pas jouer, Dominura. Je ne veux pas continuer à espérer, si cela ne sert à suis prête à faire des efforts, à prendre sur moi contre des faits qui resteront suis prête à tout, pour être avec toi. Mais nous sommes mains tremblent, un doute bien moins,Que les tiennes. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Mar 3 Aoû - 2349 Dominura ne put dire, en cet instant, là, dans ce taxi Parisien, si les propos de Ludmila furent aptes à la calmer un tant soit peu. Néanmoins, ils furent plus que les bienvenus, la voix de sa belle passant en de paroles rassurantes et positives ne manquant pas de lui faire chaud au coeur. Ainsi, elle put poser son regard sur elle et lui offrir un sourire reconnaissant, avant d'être à nouveau absorbée par le paysage de la fenêtre opposée. Son temps d'observation fut pourtant de courte durée, la ravissante russe ne tardant pas à recapter son attention, là, passant ses doigts sur sa joue afin que leurs regards se croisent à tac tic te regarde, tandis que mon coeur bat à tout rompre. Je te regarde, petit chat, ton visage semblant vouloir me faire passer un message tandis que mes lèvres singent les tiennes, s'entrouvrant quelque peu dans l'attente de ce que tu aurais à me Quelque chose ?Je sais, je vois, que tu désires me faire part de tes pensées, de tes sentiments, de tes troubles ou bien de ce qui te tiens à coeur. Mais quoi exactement ? Je ne sais, alors que je me perd dans tes si beaux yeux. Le temps nous est compté, tu sais ? Le taxi ne mettra sans doutes pas davantage de temps à rejoindre le château dans lequel aura lieu l'acceuil de pré-cérémonie. Ils nous attendent, et peut-être arriverons-nous juste à l'heure, avant les invités ne faisant pas partie de la famille. Les questions se superposent, se lient, se mèlent, s' à ajouter ? A te dire ?Oh non, c'est toi, qui avais quelque chose à me soumettre... A moins que ? Je ne sais plus trop... Oui, je m' pensons plus. Pas pour le ne saurais quoi te répondre ou quoi t'avancer,Mon angoisse du moment ne nous mènerait sans doutes à je te regardeSimplementDoucementEt un vague sourire te parvient alors que le taxi en vient à s'arrêter, en même temps que mon coeur semble sommes arrivées, n'est-ce pas.~Avant qu'elle n'aie pu dire ou demander quoi que ce soit, Dominura ne manqua pas d'être surprise par la portière s'ouvrant au-derrière d'elle-même, le chauffeur de taxi ayant déjà prit les devants sur la sortie du véhicule et ouvert les accès de sortie aux jeunes femmes. Sursautant de primabord, la grande femme finit tout de même par se rendre à l'évidence Il faudrait maintenant faire face à l'épreuve, au danger ou bien à la consolation. Un dernier regard à la belle blonde qui semblait bien plus euphorique qu'elle même, et la grande femme se tourna vers la sortie, échappant ses jambes au-dehors, sans espoir de clac. Deux talons furent finalement posés sur les cailloux de la magnifique allée fleurie, et en un rien de temps, l'illustratrice les rejoignit, laissant sa belle robe anis lui descendre jusqu'aux chevilles alors qu'elle se redressait avec classe et dignité, n'oubliant certainement pas son petit sac à main à l'arrière de la plus de bagages au rendez-vous, Dominura laissa ses dernières pensées - Au sujet de ce que Ludmila avait à lui dire - de côté, se faisant rejoindre par cette dernière afin qu'elles s'avancent vers le château où devait déjà être la plupart des membres de la famille de la belle Française. Mais a peine quelques pas furent faits qu'un homme d'une quarantaine d'années - Habillé d'un costume trois-pièces très classe - surgit de nulle part et fondit sur la trentenaire qui ne fut pas sans en sursauter à nouveau, d'une surprise qui lui donna quelques frissons dans le dos."Dominura !""Benjamin~"Un regard à Ludmila - Non sans une certaine anxiété sous-jacente - et la dessinatrice s'approcha de celui qui s'averrait alors être son frère. Alors qu'elle n'ouvrait qu'à peine les bras pour le reçevoir après tant de temps sans s'être vus, l'homme, plus engageant malgré son bouc sévère et ses traits durs, passa rapidement auprès d'elle, ses bras encerclant ses frèles épaules de femme en une étreinte profonde et sereine, agrémentée de quelques tapotements sincères de joie calme. Lorsqu'il se recula, adressant un regard posé à Ludmila ainsi qu'un léger sourire de bienvenue, Dominura détourna un instant la tête, réprimant un sanglot d'émotion étrange, comme si sa vie commençait à lui apparaitre plus clair sous la reconnaissance d'une sérénité profonde de la part de ce frère ainé. Finalement, reposant ses yeux vert sombre sur le Français, elle lui laissa entendre, tentant de cacher désormais et sa nervosité et son émotivité "Benjamin, je te présente Ludmila, Ludmila, voici Benjamin mon frère ainé"Comprennant la situation, l'anglais fut alors de mise, même de la bouche de cet homme si bien sur lui"Enchanté mademoiselle-Vous êtes toutes les deux magnifiques, Jeanne sera ravie"Un léger sourire, puis il jeta un oeil à Dominura, en un regard qui lui laissait comprendre sans amertume ni négativité qu'il n'en resterait sans doutes pas là de leurs retrouvailles, voulant mettre quelques petites choses au clair, sous plusieurs coutures - Ce qui ne fut pas, en somme, de quoi rassurer la grande femme, cette dernière sentant à nouveau en elle quelques sueurs froides lui donner l'impression de tournis."Frieda et les enfants sont déjà là-bas, avec Claude et sa famille. Tu devrais croiser Dominique sur le chemin, a moins qu'elle ne soit encore à l'intérieur pour les préparations~Je vous laisse y aller ? Je dois aller chercher Edward à la gare et faire une course"Dominura approuvant, Benjamin poursuivit son chemin tandis que les deux grandes femmes reprirent la route du petit château. Se tournant alors vers Ludmila, la grande femme tenta de reprendre son calme en quelques respirations, avant d'expliquer quelque peu "Frieda est sa fiancée... Ils ont trois enfants, qui doivent tous être là je pense... Claude, mon autre frère, est aussi venu avec sa compagne et ses deux garçons... Dominique, ma mère, Edward, le futur mari de Jeanne..."Je les connais, sans les déjà seulement vu les enfants de mes frères ? Ces enfants, qui n'ont pratiquement jamais eus de nouvelles de cette tante si aimé t'en montrer davantage, aimé être proche de cette famille qui me touche, que je ne renie pas, mais dont les branches sont pour moi esquintées de par la façon dont j'ai grandi vis à vis d'eux. Peut-être est-ce que cela aurait été différent, si mon père n'était pas mort. Oui, tout aurait été différent. Peut-être aurais-je pu les doutes aurais-je pu te les présenter avec un peu plus d' tu ne m'en veux pas, n'est-ce pas ?J'aime mes frères - Je crois que j'aime aussi ma soeur, qui donc sait ?Et je te souris encoreClacClacClacLe coeur battant"Dominura !! Tu daignes enfin rejoindre ta famille !"Un léger rire nerveux de la grande femme, alors que son deuxième frère fondait sur elles, le beau château et son jardin en arrière plan en cette belle journée ensoleillée. Cette fois, une bise rapide seulement, mais également offerte à Ludmila, en plus d'un anglais à l'accent déplorable à côté de celui de Dominura ainsi que de son frère ainé"Ludmila, je suppose ? Claude. Soyez les bienvenues !Eh bien je crois qu'on va tous être bons ? Tout le monde est là, les cousins aussi... C'est génial !"Un large sourire, partagé de maigre mesure par une Dominura encore stressée, dont la main cherchait celle de la belle mon Amour,Au fond, je suis peut-être pour moi comme si... Je renouais une journée avec mon passé ? Un passé perdu, effacé, mis de côté. Sans doutes ne garderais-je pas tant de contacts, par la suite. Mais en ce jour, je ferai des efforts. Des efforts, pour ces frères, cette soeur, qui ne me connaissent plus. Des efforts, pour cette mère qui se demande peut-être encore où je suis, qui je suis. Des efforts, pour mes neveux et nièces qui verront peut-être en moi quelqu'un de bien, en toi quelqu'un d'encore ensemble,Tout le monde nous attendsPeut-êtreQue du monde m'attendsDepuis le temps.~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Mer 4 Aoû - 056 Je suis là, Trésor. Tout comme toi, je sors du véhicule qui nous a transportées jusqu’ici. Tout comme toi, je tente tant bien que mal des chasser les questions qui me tourmentes, engagées par ma faute. Nous parlerons plus tard – Oui. Si seulement nous en avons le temps, bien sûr. Car il est temps à présent de rejoindre ta famille. Je ne sais dire si cette idée m’enchante ou me dérange. Que penseront-ils de moi ? Cette question, toujours cette question. Après tout, je ne dois être pour eux qu’une femme que sans doute tu as cru aimer ? Que pense-t-il, de ton homosexualité ? Arrivent-ils seulement à y croire, après t’avoir connu mariée, mère ? Mon Dieu. Ces pensées me rendent fébriles, me donnent encore la nausée Tu as été mariée, mère. Stop !~Sortant gracieusement du taxi, Ludmila ne manqua pas de saluer ce dernier, insistant pour lui payer la course, lui offrant par ailleurs un pourboire conséquent compte-tenu de sa qualité de chauffeur courtois. Réajustant son sac sur son épaule, la charmante blonde ne tarda donc pas à rejoindre son ex-compagne sur le chemin menant au château, lui adressant quelques sourires encourageant, faisant au mieux pour nier et passer par-dessus ses propres angoisses. Après tout, elles ne risquaient rien, n’est-ce pas ? Personne ne pourrait les séparer. Et sans doute cela était-il la pire crainte de la jeune Russe, inconsciemment persuadé qu’il y avait forcément quelqu’un - parmi la famille de Dominura – foncièrement contre leur relation, quelle qu’elle Dominura ! »Benjamin ? Benjamin. Immédiatement, Ludmila pu reconnaître en les traits de ce charmant homme, ceux de la femme qu’elle aimait. Etait-ce ce Benjamin, ce frère, qui avait appelé l’illustratrice, quelques jours seulement avant son exposition à Londres il y a plus de deux ans de cela ? Certainement, oui. Bien vite, la jeune Russe pu assister à l’étreinte entre ces frère et sœur, ne pouvant s’empêcher de sourire d’une émotion sincère et tendre, ravie de voir que Dominura semblait bel et bien désirée par sa famille, contrairement à ce que cette dernière semblait croire. Ainsi resta-t-elle quelque peu en retrait, et ce jusqu’à ce que Dominura prenne l’initiative de les présenter, la jeune Russe répondant d’un sourire et de quelques remerciement timides aux compliments de l’ainé de la famille Romley. A vrai dire quelque peu impressionnée par cet homme, la jeune Russe sentie ses joues rosir légèrement, son regard venant se poser sur Dominura, ressentant sans mal son émotion, et en étant d’autant plus sais, que tu aimes ta famille. Tu ne serais pas si angoissée, si elle t’importait peu, pas vrai ? Alors pourquoi t’obstines-tu à vouloir les fuir ? Ton père, sans doute ? J’imagine que je ne saurais réellement le deviner. Peut-être as-tu simplement naturellement préféré te détacher d’eux, faire au mieux pour nier tes véritables sentiments et ne pas avoir à souffrir s’il leur arrivait quelque chose, comme ce qui est arrivé à ton père ? Ou peut-être y a-t-il autre chose. Les options sont nombreuses, et sans doute un jour te poserais-je la question, qui Benjamin laissa entendre quelques explications aux deux jeunes femmes sur ses intentions et autres informations sur les personnes déjà présentes, Ludmila appréciant le fait qu’il prenne l’initiative de parler anglais, ne manquant pas de lui sourire calmement, sincère. Et bien, cet homme avait l’air tout ce qu’il y a de plus sympathique ! Sur ce, la charmante blonde vit l’ainé de sa belle continuer son chemin, toutes deux ne manquant pas de se remettre en route jusqu’au château, Dominura offrant quelques précisions à Ludmila concernant les membres de sa y avait donc Benjamin, Dominura, Claude et était marié et avait trois était marié et avait deux qui allait se marier à Dominique ? La mère de Dominura, dont cette dernière ne parlait quasiment ne m’avais pas dis, que tu avais des neveux et nièces. Les connais-tu seulement ? J’ai encore tellement à apprendre de toi, qu’il me semble parfois ne te connaître que depuis quelques minutes. Comment peut-être passer une année entière avec quelqu’un, sans même en apprendre plus sur ce genre de détails ? Peut-être n’avions-nous pas besoin de cela. Ou peut-être est-ce finalement ce qu’il nous manquait ? Je ne savais rien de toi. J’en sais bien plus, depuis que nous nous sommes quittées. J’ai appris, grâce à Jeanne, puis à ton retour. Cet album, que nous avons regardé ensembles, toutes les deux. Je suis heureuse. Heureuse d’en savoir plus sur ton passé, bien qu’il ne soit pas des plus roses. Heureuse de rencontrer ta famille, aujourd’hui. Dominura !! »Encore ? Oui. De toute évidence, il s’agissait là aussi d’un des frères de Dominura. Prise d’une vague d’euphorie lui faisant rosir les joues, Ludmila ne pu nier trouver totalement excitant le fait de voir des versions masculines de son aimée, tout comme la ressemblance de Jeanne avec sa sœur l’avait toujours troublé. Evidemment, son attirance se portait toujours – et sans détour – sur la charmante brune, qui a cet instant sembla d’autant plus nerveuse, laissant échapper un léger rire qui ne passa pas inaperçu auprès de la jeune va bien, mon bise, et Ludmila acquiesça d’un charmant signe de tête à la question de Claude, lui adressant un sourire calme et doux, bien que se retenant de rire face à l’accent anglais relativement mauvais du jeune homme. Visiblement enthousiaste et heureux de voir que toute la famille était réuni, le frère cadet de Dominura ne manqua pas d’intriguer quelque peu la charmante blonde, cette dernière ne sachant trop quoi penser de lui pour l’instant, alors même qu’elle avait pu déduire du comportement de Benjamin qu’il était sincèrement attaché à sa sœur. Claude ? Il n’en montrait pas tant, pour l’instant. Etrange ressenti, de la part de la jeune psychologue, qui ne savait trop à quoi s’en maintenant ? Posant ses yeux sur Dominura, Ludmila pinça légèrement ses lèvres entre elles, allant jusqu’à se demander si la belle française n’était pas en train de retenir son souffle, clairement nerveuse face à ce frère qu’elle n’avait pas vu depuis trop longtemps. Ne sachant trop quoi faire ni quoi dire, la jolie blonde laissa finalement sa main glisser jusqu’à celle de son ex-conjointe, la serrant d’une étreinte à la fois ferme, rassurante, mais aussi tendre et amoureuse. Evidemment, la jeune Russe n’était pas sans se rendre compte qu’un tel geste pouvait facilement mettre Claude mal à l’aise, semblant s’immiscer en une conversation qui n’était déjà plus. TicTacTicTacJe ne peux rien dire, Trésor. C’est à toi, de décider s’il faut continuer à converser ici avec ton frère, ou continuer notre chemin jusqu’au château. La deuxième option me semble préférable, n’est-ce pas ? Nous ne pouvons pas rester ainsi en plan, voyons. Et ma main relâche quelque peu la tienne, te laissant le choix de briser ou de préserver ce lien, quand tu voudras. Je suis là pour toi, tu si je suis sans doute un peu discrète,Ca n’est que parce que je ne souhaite pas m’ suis venue ici pour Jeanne, pour comme ma mon Amour. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Mer 4 Aoû - 2154 Je sais, chère Ludmila, que je n'ai jamais trop parlé de ma famille avec toi. Je sais, que je ne t'ai jamais donné de détails, ormis peut-être durant cette jolie journée où tu as eu le droit de feuilleter mon album photo, en ma compagnie. Aurais-je dû t'en parler davantage ? Le temps viendra peut-être, sans doutes même. Aujourd'hui ? Ou une autre fois ? Tu auras bien l'occasion de rencontrer tous ceux qui m'ont autrefois entourée malgré les déboires de mon existence. Je ne t'ai jamais dit, que ma mère était malade. Je ne t'ai jamais confié, que j'avais quelquefois peur d'être en contact avec eux, d'avoir des nouvelles après tant d'années de ce jour vient une occasion,Et déjà mes frères viennent à Benjamin... Plus tard les autres ? Oh, dans quelques minutes seulement. Et alors que je souris doucement, relativement nerveuse de la situation, des évènements, je te suis reconnaissante d'être à mes côtés. Je sais bien, que tu es venue pour Jeanne. Pour moi ? Tout ce qui compte, c'est que j'en suis te regarde, alors que mon frère ne nous a pas encore quittées tout comme l'a fait l'autre il y a quelques minutes a peine. Je te regarde, et je renforce notre lien, ma main nerveuse serrant la tienne comme pour se rassurer un instant. Vois-tu, les tensions qui me troublent ? Je le crois. Si mon frère cadet est assez dupe pour ne rien remarquer, pour ne pas se poser de questions, je sais bien que ton esprit n'est pas si simple, et que tu te rends compte, peut-être par amour, observation ou empathie, que je ne suis pas tout à fait moi-même en cet instant, l'esprit angoissé, le coeur et le ventre serrés par une appréhension indescriptible. Mais je souris encore, et je laisse entendre, d'une voix calme et quelque peu souriante au possible "Eh bien nous allons rejoindre tout le monde~ Je pense qu'ils se demandent où nous sommes"Un vague sourire, et Dominura dépassa Benjamin, gardant la main de Ludmila dans la sienne afin de se donner du courage et nier le fait que ses jambes tremblent un peu plus que voulu, sous sa grande robe fluide. Une fois hors de portée de l'ouïe du jeune homme parti rejoindre son frère ainé en vitesse, l'illustratrice finit par se retourner plus clairement vers son ex-conjointe, poussant un nouveau soupir censé la calmer quelque peu, non sans un sourire d'une certaine force, ses yeux brillants vrillant sur son si beau visage. Elle laissa entendre, enfin "Je n'ai pas eu le temps de te le dire Trésor... Mais cette robe te va très es magnifique"Un sourire, et elle se pencha vers elle, lui offrant un doux baiser au coin des lèvres, prennant bien soin de ne lui laisser aucunes traces de rouge, par pure précaution et par plus grand respect encore. Mais ne restons point sur les élans sentimentaux de la grande femme qui, si elle l'avait pu, n'aurait pas hésité à fondre sur celle qui avait été sa compagne afin de l'embrasser comme il se devait, comme elle le désirait le moment - Et peut-être plus encore - l'absention était de mise, et pas même la dessinatrice ne devrait penser à quoi que ce soit dans le sens du couple qu'elles avaient un jour d'espoirs, non. Je ne dois pas me fondre dans mes espoirs et mes voeux profonds, si vois bien pourtant comme je t' situation ne fut aussi difficile qu'aujourd'hui, en ce les deux ravissantes invitées se retrouvèrent sur le perron, non sans que Dominura ne s'extasie de la beauté du lieu. Oh, elle y était déjà venue, une fois, pour visiter, mais les cironstances avaient été bien différentes, et ce temps là était bien loin. D'un élan de nostalgie, la trentenaire se surprit même à se demander l'état de sa mère, qui, la dernière fois qu'elle l'avait vue, était d'ores et déjà bien fatiguée de sa maladie. Comment allait-elle, à présent ? Un songe, pour cette femme qu'elle avait tant aimée et qui lui avait donné tant d'amour durant son enfance, malgré les difficultés de coeur bat si vite. J'ai peur. J'appréhende sans cesse, oui, et ma main se resserre une dernière fois sur la tienne, avant de la lâcher, bien que mon coeur s'éffondre en même temps. Nous allons les voir. Nous allons tous les voir.~La porte fut enfin passée, après qu'un portier la leur aie ouverte, Dominura s'en prennant à penser que Jeanne n'avait pas lesiné à sucer les biens de sa mère jusqu'à la moelle pour s'offrir de pareilles richesses pour son mariage, tout comme avait prévu de le faire son frère cadet dans ses dires lors des derniers repas de noël où Dominura avait participé, daignant rejoindre Bordeaux pour le rassemblement de la famille proche. Ce fut ainsi qu'elle eut, sans doutes pour la première fois de sa vie, une puissante compassion envers sa mère, qui, perdant une de ses filles et tout espoir d'en tirer de bonnes nouvelles, s'était adonnée à tout offrir à l'autre, qui n'hésitait plus une seconde à lui soutirer de l'argent pour ses plaisirs ne dois plus penser à dois profiter de ce que l'on nous offre aujourd'hui...Mais je ne peux nier ce malaise qui s' mère... Je dois voir ma Viens avec moi, et qu'elle ne s'est pas abandonnée à Jeanne en croyant m'avoir définitivement perdue.~Entrées dans l'immense bâtiment et tout son luxe, les deux jeunes femmes n'eurent pas réellement le temps de regarder autour d'elle que deux petites filles accourrurent dans leurs robes pastel, l'ainée tenant la main de l'autre, leurs cheveux clairs virevoltant derrière elles. L'une semblait avoir une dizaine d'année et l'autre seulement entre deux et trois ans. Leur sourire communicatif passant sur leurs visages enfantins, elles ne tardèrent pas à rejoindre Dominura et la belle russe, levant vers elles leurs grands yeux clairs, visiblement très enthousiastes"Tatiiiie !! Papa m'a dit que c'était toi notre tatie ! C'est toi, c'est toi ? T'es troooop belle !!"Puis, tirant doucement et sans brusquerie sur la robe de Ludmila, la petite de dix ans ajouta"Toi aussi t'es trop trop belle !!"Dominura laissa un doux sourire passer sur ses lèvres maquillées, caressant un instant les cheveux de la petite, laissant entendre"Voici Ludmila. Tu dois être Maurane ? Et c'est Elisabeth ? Bonjour les filles"Puis, regardant Ludmila, elle ajouta, dans leur langue commune, non sans un léger rire adorable"Elle t'a dit que tu étais 'trop trop belle'~Voici donc Maurane et Elisabeth, les deux filles de Claude et de sa compagne"Finalement, les deux enfants ne restèrent pas longtemps en place, jouant un instant avec les fleurs qu'elles avaient dans les cheveux avant de repartir dans une autre pièce en riant aux éclats et appellant leur frère "Victor Victor !! Y'a tatie Dominura et sa copine qui sont là viens voir !"Mais apparemment, elles ne le retrouvèrent pas immédiatement, Ludmila et la trentenaire ne revoyant plus surgir les enfants. Ainsi, elles purent librement laisser leurs pas les mener à la pièce suivante, où elles virent de nouveaux visages se tourner vers elles. Seulement... Deux visages. Celui d'une femme d'un certain âge aux allures plutôt fatiguées, et l'autre d'une trentenaire aux allures exotiques qui ne manquait pas de rappeller que les deux frères avaient chacun leur de tête, bonjours posés pour la plus jeune, qui s'averrait être Amélie, la conjointe du frère cadet, plutôt réservée sur le plan de la joie, visiblement coupée en pleine conversation avec la doyenne, Dominique Romley. Cette dernière, pourtant, se leva du fauteuil, rajustant le voile qu'elle avait sur les épaules avant de rejoindre sa fille, un tendre sourire de retrouvailles placé sur son visage et au fond de ses yeux gris-bleus"Dominura... Te voilà enfin, quelle joie"Légère accolade sans forces. Puis, se tournant vers Ludmila, un doux sourire fatigué"Vous devez donc être Ludmila ? Enchantée"Mais son regard dériva vite à nouveau sur l'illustratrice, qu'elle ne manqua pas de regarder d'un air légèrement triste, dans le fond, comme si quelque chose de puissant et terrible, invisible, les séparait encore."Vous avez fait bon voyage ? Jeannette voulait te voir Dominura... Elle est dans la pièce du haut. Tu devrais aller la rejoindre. Emmène ton amie, elle sera ravie de la voir aussi"Sentant en elle une horrible torsion du coeur, la grande femme finit par laisser passer une main sur l'épaule de sa mère, la regardant avec tendresse mais fragilité, lui répondant alors d'une voix bien plus calme que celle qu'elle avait eue au téléphone"Ne t'en fais pas maman, je vais y il faut te garder pour la cérémonie~"Un sourire, de la part de la sextagénaire, puis une réponse, très douce, alors qu'elle reprennait place sur son fauteuil gravé"Tu as au fait... Tu as vu ton père ? Ça fait un moment qu'il m'a dit qu'il partait au grand salon et je ne l'ai toujours pas vu revenir."A ces mots, Dominura se figea, ses yeux s'embuant un instant tout en vrillant dans ceux, sincères, de sa mère. Puis, alors que son coeur battait à présent à tout rompre, sa main se referma quelque part sur sa robe pour ne pas trembler comme ses jambes le faisaient sous la longueur du tissus qui les recouvraient. Un instant, elle sembla chercher la main de Ludmila. L'autre, elle semblait plus rien chercher du tout pour se calmer. Un mouvement vif de la tête, un regard vers Amélie, qui la regardait fixement, puis la grande femme tourna les talons et quitta la pièce en vitesse afin de ne pas perdre ses moyens devant sa mère, en qui elle avait toujours un grand respect malgré tout ce qui avait pu se passer depuis des Ludmila derrière elle - Involontairement, bien entendu, elle n'avait pas trop la tête à penser à cela - la grande femme se rendit compte que les paroles de Dominique l'avaient plus troublée qu'elle ne voulait se le dire, son coeur se serrant dangereusement, oppressant, terrible. Finalement, elle s'isola un instant dans un creux sous le gigantesque escalier, s'asseyant sur un banc moletonné de velours, le coeur ? Minura ?"Relevant la tête, elle put voir - Tandis qu'elle cherchait toujours à se calmer - les deux grands yeux verts d'un petit garçon, Victor, tout juste face à elle, trônant du haut de ses cinq années. Un sourire doux lui vint, quoique ne pouvant retenir une tristesse au fond de ses yeux, et la grande femme put remarquer que l'enfant se volatilisa tout aussi vite qu'il était apparu, rejoignant sans doutes ses soeurs.... Où es-tu, Ludmila ?Je pense désormais au fait de t'avoir laissée Je suis m'en veux irons voir Jeanne... EnsembleToi seule peut calmer mon coeurMon espritMes songes... Embrasses-moi . Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Mer 4 Aoû - 2355 tes frères me fait réellement plaisir, tout comme cela me terrorise. Que pensent-ils ? Que pensent-ils de nous ? Je ne veux pas qu’ils te jugent, par ma faute. Et si je n’étais pas à la hauteur ? Oh, après tout, nous n’avons pas réellement à nous poser ces questions, n’est-ce pas ? Jeanne m’a invité, sans doute plus par amitié que concernant les conjointes de ses frères, invitées d’office. Je suis là pour elle, avant tout. Mais comment pourrais-je ne pas profiter de ce week-end avec toi, par la même occasion ? Je suis heureuse, je tu sois là. Et si la situation m’enthousiasme tout autant qu’elle me fait peur, je sens que cela est bien assez dur pour toi pour te laisser voir mes propres angoisses. Alors – d’un amour sincère et rassurant – je serre ma main dans la tienne, t’offrant cette discrète étreinte afin de t’aider à surmonter ton stress, qui par empathie en vient à faire se tordre mon ventre d’une douleur mon ne te laisserai pas.~TicTacFinalement, un silence oppressant faisant son apparition entre Dominura et Ludmila d’un côté, le frère de cette première de l’autre, la belle française ne tarda pas à couper court à la conversation, de quelques paroles, encore et toujours incompréhensibles pour la jeune Russe. Evidemment, cette dernière ne tarda pas à comprendre qu’elles étaient sur le point de continuer leur chemin jusqu’au château, Benjamin rejoignant quant à lui son frère ainé, sous le sourire discret et calme de la charmante blonde, qui ne manquait pas de se demander une nouvel fois ce que cet homme avait réellement dans la tête. Un instant, et Ludmila reposa les yeux sur sa belle, celle-ci s’étant plus clairement tournée vers elle avant de lui laisser entendre que sa robe lui allait très bien, qu’elle était magnifique. Ne pouvant s’empêcher de rosir quelque peu, la charmante Russe laissa un léger sourire en coin plein de malice se dessiner sur ses lèvres, sentant quelques frissons l’envahir au baiser de son ex-compagne, là, si près. Resserrant doucement sa main dans la sienne, la jolie blonde ne répondit pas immédiatement à ce compliment adorable, mordillant sensuellement sa lèvre inférieure tout en fixant malicieusement son amie, haussant quelque peu les sourcils avant de laisser son regard vriller sur le corps de Dominura, s’arrêtant plus longuement sur ses hanches et sa poitrine avant d’en revenir à son visage, toujours très te regarde, décidant finalement de ne te remercier que par ces sourires, que tu comprendras bien Toi – Tu es magnifique. Bien plus que moi, Trésor. Et sans doute sais-tu qu’il s’agit d’un fait rare pour moi que de m’avouer dépassée par la beauté d’une collègue féminine. Je sais quels sont mes charmes. Mais sans doute n’égaleront-ils jamais les tiens, toi qui pour moi est la beauté et la perfection incarné, malgré quelques cicatrices, de ces brûlures qui ne te donnent que plus de charme marche fut à nouveau de mise, après ce court mais adorable échange entre les deux femmes, Ludmila laissant finalement éclater un très léger rire quant à sa propre attitude, déposant un furtif mais tendre baiser sur la joue de son amie. Ainsi ne tardèrent-elles pas à arriver face à la porte d’entrée du château, la jeune Russe sentant - non sans un frisson d’effroi – la main de Dominura se détacher de la sienne. Acceptant néanmoins ce choix sans broncher – puisqu’il était totalement légitime – la jeune femme ne pu néanmoins s’empêcher de froncer légèrement les sourcils, pinçant quelque peu ses lèvres entre elles avant qu’un portier ne leur ouvre l’accès au sublime hall d’entrée du château dans lequel Jeanne avait organisé son les deux jeunes femmes furent rejointes par deux fillettes, visiblement sœurs. S’imposant de garder un fin sourire convivial sur les lèvres malgré sa réticence face aux enfants, Ludmila ne pu comprendre mot de ce que racontait l’ainée, ressentant seulement son optimisme et ne manquant pas de lui sourire calmement, et ce même lorsque l’enfant posa ses mains sur sa robe – chose qui, elle ne pouvait le nier, la dérangeait quelque fallait-il toujours que les enfants s’obstinent à toucher à tout, et ce même si ce tout était une personne totalement inconnue ? Oh, au fond, ça n’était qu’une enfant. Oui~HopHopEn moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les deux petites s’éloignèrent, visiblement surexcitées par l’occasion. Maurane et Elisabeth, donc. Bien. Ludmila ferait au mieux pour retenir les prénoms des personnes qui lui étaient présentées aujourd’hui. Ainsi, les deux filles de Claude les trouvaient belles ? un sourire plus serein et sincère à Dominura, la jeune Russe se laissa alors guider jusqu’à la pièce suivante, et ce non sans déplorer secrètement l’absence de la main de son amie dans la sienne, sentant ses jambes devenir quelque fébrile en présence de toutes ces personnes qu’elle ne connaissait pas, mais à qui elle voulait plaire, inconsciemment. ClacClacClacUn regard, un sourire quelque peu distant, à cette première femme sur laquelle je pose les femme d’un de tes deux frères, je suppose ? Ou peut-être pas, qui sait. Peu regard, sur la personne se trouvant juste à côté de cette jeune femme. Et je me sens quelque peu pâlir malgré moi, reconnaissant en elle quelques uns de tes traits, devinant sous cette fatigue certaine une femme relativement belle, très certainement plus encore lorsqu’elle était plus jeune. Cette femme, que j’ai déjà pu voir en photo, tout comme tes frères. Il me semble qu’elle n’est plus la même, tout en gardant ce regard absolument magnifique, qui étrangement ne ressemble pas vraiment à ceux de ses filles, tout au moins. Dominura. Que dit-elle ? Pourquoi cette tristesse, dans ses yeux ? Vous devez être Ludmila ? Enchantée. »Ludmila. Je suis Ludmila, oui. Mais que répondre, alors même que je ne sais pas si ta mère parle l’anglais tout aussi bien que toi et tes frères et sœurs ? Ainsi, je me contente de hocher légèrement la tête, adorable d’un sourire sincère mais intimidé, bien que mes joues restent pâles d’une angoisse que ta mère est malade, Trésor ? Tu ne m’as jamais rien dis. Pourquoi, m’aurais-tu caché cela ? Je sais, que je ne pose pas toujours les bonnes questions. Mais pourquoi dois-je toujours finir par apprendre ce genre de chose par moi-même, ou le biais d’une tiers-personne ? Qui sait si je serai au courant pour ton fils, si Bernard ne l’avait pas un jour évoqué. Qui sait, si tu m’aurais avoué avoir été battue par ton mari, si je n’avais pas remarqué tes bleus, sur les photos de ton album. Tu ne me dis jamais rien. Mais sans doute ne puis-je rien te reprocher, n’ayant jamais été bien plus expressive que toi quant à ce genre de sujets, bien tout de même… Non. Peut-être suis-je en train de me monter la tête avec ces dit-elle, maintenant ? Et toi, que dis-tu ? Vos mots m’échappent, aussi vite qu’ils glissent d’entre vos lèvres, les tiennes m’attirant de leurs simples mouvements, ne pouvant que frémir quelque peu de cet accent français, totalement séduisant. Mon Dieu. Comment vais-je résister, si tu continues ainsi à revenir vers ta langue natale ?Bon salon.…?!Gardant les yeux rivés sur la mère de Dominura – qui semblait à première vue des plus adorables – la jeune Russe ne pu contenir un léger froncement de sourcils, preuve de son incompréhension. Avait-elle bien compris le sens des propos de cette femme, ou se faisait-elle seulement des idées à ce sujet ? Se tournant doucement vers Dominura, la jeune Russe pu néanmoins bien vite se rendre compte que ce qu’elle craignait était bel et bien réel, voyant sa belle se figer face à sa mère, ses yeux s’embuant de larmes avant qu’elle ne prenne la fuite, Ludmila n’ayant que le temps de tendre sa main en un geste qui traduisait un certain désir de la retenir, sans peu mal à l’aise en une telle situation, la jolie blonde regarda finalement son aimée quitter la pièce, se tournant par la suite vers les deux femmes ici présentes, pinçant légèrement ses lèvres entre elles avant de laisser entendre, fort désolée de ne pas pouvoir communiquer convenablement en français, devant se résoudre à quelques mots d’un anglais des plus banals afin de ne pas risquer d’être incomprise - Excusez-moi… Je… Je vais aller la un sourire sincère à Dominique – lui faisant ainsi comprendre qu’elle avait été ravie de la rencontrer – Ludmila ne tarda pas à marcher sur les pas de son ex-compagne, ClacClacClacClacVoyant seulement un petit garçon passer à côté d’elle en courant, la jeune Russe n’y prêta guère beaucoup d’attention, cherchant sa belle du regard, quelque peu inquiète quant à ce qu’elle venait de comprendre. Ainsi, la mère de Dominura était malade, oui. Sinon, pourquoi ferait-elle comme si son mari était toujours en vie ? te vois, là, isolée sous cet escalier, déstabilisée. Tu savais, n’est-ce pas ? Tu savais bien – contrairement à moi – que ce genre de chose pourrait arriver. Pourquoi ne m’en as-tu pas parlé ? Cela aurait peut-être pu t’apaiser, au fond. Le simple fait de savoir, m’aurait permis de nous préparer toutes deux davantage. Je peux t’aider à surmonter toutes tes peurs, si tu en as envie. Je peux t’aider à te sentir mieux, plus sereine. Et je me penche, là, juste à côté de toi, avant de m’asseoir à mon tour sur ce confortable petit banc. - Dominura. Je suis là, ferme mais attentive. Tu ne peux pas te laisser aller ainsi, Trésor. Je te regard, insistant avec douceur pour que tu chasses ces mauvais souvenirs que je te devine de ton esprit. Ne penses pas à ton père, ainsi. Oh, je suis sûr qu’il serait très heureux, et fier, de voir que sa fille ainée fasse tant d’effort pour sa cadette. Pourquoi, ne veux-tu pas entendre parler de lui ? Que ta mère face comme s’il était vivant ne change rien à la réalité, et tu le sais bien. Cela ne change rien, et tes réactions ne feront qu’accentuer la tristesse que j’ai d’ores et déjà pu lire dans ses yeux. Repoussant doucement une mèche de cheveux tombant devant le visage de Dominura, Ludmila ne manqua pas de poser doucement sa main sur la joue de cette dernière, la forçant à la regarder tandis que son autre main venait prendre la sienne, la serrant d’une force tendre et rassurante. Esquissant un doux sourire, la jeune femme laissa ses lèvres articuler quelques mots inaudibles, seulement devinables par la charmante brune, si encore elle y prêtait réellement attention Je t’aime »Que te dire de plus, tandis que tu sais déjà – au fond – tout ce que je peux penser. Tu le sais, n’est-ce pas ? Je t’aime, oui. Mais j’aimerai que tu sois forte, pour le bien de tous. Tu ne peux pas fuir éternellement, voyons. Ainsi, je me relève d’un bond, attrapant tes deux mains avant de te forcer vivement mais avec délicatesse à te redresser. D’un élan de voix ferme et décidé, je fronce légèrement les sourcils, un sourire malin s’adressant à toi alors même qu’il me semble devoir te forcer à passer à autre chose - Allez !Gardant l’une de ses mains dans la sienne – lui laissant le choix, comme précédemment – Ludmila tira quelque peu sur le bras de sa belle, souhaitant la pousser à se ressaisir, bien que la manière forte ne soit peut-être pas l’idéale en de telles circonstances. Evidemment, la jeune Russe aurait préféré se laisser aller à quelques tendresses, un baiser – peut-être – mais cela était tout bonnement impossible, puisque les enfants continuaient à leur tourner autours, ces derniers ne pouvant comprendre ce qui pouvait bien pousser leur tante à être si proche d’une autre voir Jeanne, peut-être aurons-nous le temps d’être un peu seules ?Là, je pourrai prendre soin de toi, te rassurer. Mais quelques épreuves nous attendent encore, avant avançons, Main dans la main~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Jeu 5 Aoû - 054 Heureusement pour elle ainsi que ses songes, Dominura ne resta pas bien longtemps seule, en fin de compte. Dès que le petit Victor fut parti, elle eut droit à la venue de Ludmila. Par ailleurs, cette dernière, avant de quitter la pièce où se trouvaient la mère de l'illustratrice ainsi que la conjointe de Benjamin, eut la bienséance d'adresser un sourire à la doyenne, qui le prit avec la plus grande reconnaissance, ne manquant pas de trouver la demoiselle fort charmante, du moins pour le moment. Ludmila arrivant donc aux côtés de son ex-conjointe, Dominura détourna un instant le regard, son coeur se réchauffant quelque peu. Clignant des yeux afin d'en faire cesser le voile de brume larmoyante, elle finit par reporter son regard vers sa belle, celle-ci passant sa main sur sa joue afin que leurs yeux se es là pour moi, n'est-ce pas ? Pardonne-moi, de t'avoir caché tant de choses. Mais vois-tu, peut-être est-ce par crainte que le passé me trouble une fois de plus, ou peut-être n'est-ce que par une certaine pudeur étrange, mais je n'ai jamais trouvé de vraies bonnes occasions de te parler de moi, de ma famille, de ce qui m'a le plus touché dans ma vie, à part ce qui concernait mon père, chose que je n'ai pourtant pas développé plus que cela non plus. J'appréhende ces moments, tandis que je suis certaine que tu ne me jugerais pas pour autant. Je tremble à l'idée de commencer une conversation sur ces sujets-là, de peur de t'inquiéter, de te troubler à ton tour, de t'ennuyer, de faire cesser l'attention que tu me portes. Nos moments ensemble sont pour moi si précieux, que je n'aimerais pour rien au monde les je ne t'en parle pas, je profite de ces instants avec toi, sans risquer de te faire l'affront de silences ou d' me trompes-je ? Peut-être ais-je tort ? Peut-être est-ce que cela t'interesserait, d'en savoir plus sur moi. Mais si de ton côté tu aimerais peut-être connaitre mon passé, je ne suis pas certaine d'arriver à te retourner les questions, bien que je m'interesse à toi au plus haut maladresse me perdrait sans doutes,Tant je ne saurais quoi répondre aux mauvaises nouvelles, au passé torturé ou joyeux que tu pourrais me te perdrais-je encore, à ne savoir que te je ne m'essaye à rien, vivant sans cesse dans la crainte de finir par te es quelqu'un de si merveilleux, pour sais, que tu as à me parler de quelque chose, aujourd' ne pourrons alors que remettre cette conversation à plus tard, comme je l'ai compris dans le te te es là, pour moi, et je te souris à nouveau, comme pour te rassurer ainsi que balayer mes propres doutes. Ta tendresse me touche, alors que je sens ta main serrer la mienne à nouveau, de ce lien que je voudrais éternel. Et je devine ces mots Je t'aime. Oh, si tu savais à quel point moi aussi. Et mon sourire triste semble rayonner un peu plus, comme pour me redonner cette énergie perdue de cette courte entrevue avec ma mère. Oui, elle m'a touchée, émue, et je sais que cela ne sera sans doutes pas la dernière fois avant mon départ. Je sais, au fond, que je puis y faire face, et cela grâce à toi. Je suis prête, suis prête à y retourner, à rencontrer toutes les autres personnes ici présentes, s'il le faut.~Finalement, la belle russe fut bien la première à se lever, d'un bond, comme forçant la main à l'illustratrice afin de l'entrainer à se relever. Prennant les deux mains de son ex-conjointe, réagissant à son sourire et ses mots par une nouvelle brillance dans les yeux, elle se leva alors à son tour, tournant cette page-là afin de pouvoir se mettre en condition de retrouver sa soeur ainsi que les autres invités faisant partie de la famille."Oui, tu as raison, allons-y"Et je te souris, un peu plus sereine mais non moins nerveuse, quoi que cela ne se sente que dans les tensions de mon corps, de mes mains. Allons voir Jeanne. Comme l'a dit ma mère, elle nous attends sûrement, dans une des chambres du haut, peut-être en train d'essayer sa robe, qui sait ? Nous n'avons plus qu'à aller voir, nous y risquer. J'appréhende également cette épreuve-là, mais avec plus de pose tout de même, sachant pertinemment qu'elle n'aurait rien de mal à me faire, à part peut-être la démonstration de sa joie étrange et ses sentiments alors Ludmila dans ses pas, gardant toujours une de ses mains dans la sienne, la grande femme engagea alors la route vers les grands escaliers, ne croisant heureusement personne au passage. Clac Clac Clac, et nous montons. Clac Clac Clac, et nous montons encore, tandis que mon coeur se remet à battre d'une frénésie incroyable. Je resserre ma main dans la tienne, tandis que nous atteignons enfin la porte A quoi allons-nous faire face désormais ? J'entends des voix, à l'intérieur. Je reconnais celle de Jeanne, pourtant si peu main sur la poignée, alors que je lâche celle que tu m' regard à toi, un sourire nouveau, une respiration !!! Ludmilaaa !!"Des bruits de talons, quelques exclamations de la part des cousines affairées autour de la future mariée encore en petite robe de préparation, et Dominura put sentir la lourde charge qu'était sa soeur lui sauter dans les bras, sa propre odeur lui venant au nez tandis qu'une chevelure blonde semblait danser autour d'elles sous la vitesse de l'élan prit par Jeanne elle-même."Ooooh vous êtes bien venues ! Que je suis contente !!"Evidemment, consciencieuse, elle avait prit la peine de s'exprimer en anglais, embrassant par la suite sa soeur sur les deux joues avant d'en faire de même à Ludmila, les dévorant d'un regard profondément heureux et bien moins farouche que la dernière fois qu'elles s'étaient vues. "Bonjour, Jeanne~ Alors, prête ?""J'étais justement en train de me préparer avec les cousines !Ludmila, je te présente Nathalie, Béa, Chloé, Marielle, Abygaëlle et Charlotte. Les cousins sont en bas au petit salon, je sais pas si vous les avez vus... Enfin bref ! Vous avez fait bon voyage ?""Très bon, merci~"Alors que Jeanne semblait tout à fait euphorique du jour qui était le sien et de la présence de ces deux nouvelles jeunes femme auprès d'elle, Dominura, de son côté, paraissait un tantinet plus réservée, ne sachant pas trop quoi ajouter à la conversation, pour ne pas dire qu'elle ignorait parfaitement où se placer, tant elle ne sentait pas à son aise dans ce carcan de princesses aux robes rosées. Les cousines, bien plus dégagées et proches de Jeanne, ne manquaient pas de la fixer, haussant parfois les sourcils et échangeant quelques mots entre elles, avant de porter leur attention sur la cadette, non sans passer également en revue la tenue de Ludmila et ses jolies boucles blondes. Finalement, Jeanne se pencha vers Dominura, lui chuchottant quelques mots, que la jolie russe pouvait également entendre "Je vous verrai toutes les deux tout à l'heure, sans les cousines, ok ?Edward ne va sûrement pas tarder à arriver, Claude et Benjamin sont allés le chercher à la gare ! En attendant... Râ, tu veux bien sortir s'il te plait ? T-T-T ! Toi, Ludmila, restes, je voudrais que tu me donne ton avis sur quelque chose ! Allez Zou ! A plus tard !"Poussant sa soeur au dehors, qui ne manqua pas de paniquer quelque peu à l'idée de se retrouver seule avec sa famille dans le château, Jeanne tira ensuite Ludmila par le bras, avant de fermer la porte derrière Dominura, qui se retrouva ainsi solitaire, en proie à elle-même. Finalement, alors que cette dernière opta pour un tour de l'étage, la cadette des Romley se retourna vers Ludmila, lui souriant à pleines dents, semblant alors avoir tout oublié de leurs aguicheries déplacées qu'elles avaient eu par le passé et préférant se centrer sur sa nouvelle amitié avec l'ancienne amante de sa soeur, mise dans la confidence en ce jour."Viens, viens voir !!"Elle la traina gaiement vers sa robe de mariée, trônant plus loin sur le manequin grandeur nature, avant de demander, surexcitée"Alors alors ?! Qu'est-ce que tu en penses ? Viens, je vais te montrer un secret... !!"Hop hop, quelques pas plus loin, et elle sortit de sous une masse de tulle bleu clair un grand cadre magnifique comprennant une illustration des plus poussées, d'une délicatesse incroyable et d'une beauté émouvante. Tendant le cadre à Ludmila, haussant bien haut les sourcils, Jeanne se mordit la lèvre inférieure, ajoutant"Regarde ! Je me la suis faite faire sur mesure à partir de cette Illustratrion que Benjamin m'avait achetée à Londres il y a quelques temps... !!"L'illustration en elle-même faisait figure, dans un décor des plus somptueux, d'une femme très classe dans une grande robe de mariée complexe, et, c'est non sans une certaine émotion que la jeune soeur Romley attendit une certaine réaction de la part de Ludmila dont les yeux purent descendre dans le bas droit du cadreOù, dans une écriture aussi lisible que charmante et dignement reconnaissable,Trônaient les mots suivantsDominura Romley~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Jeu 5 Aoû - 205 Je suis là pour toi, oui. Et tu vois, comme j’espère te voir sourire à nouveau, balayer tes sombres pensées. Tu n’as rien à craindre de ta famille, Dominura. Tu n’es plus une enfant. Tu n’es plus cette fillette fragile, tout juste sortie de l’hôpital, traumatisée par la mort de ton père, vue de bien trop près. Tu ne peux plus réagir comme tel, à présent. Il me semble que ta mère a besoin de toi – Et ce bien plus que tu ne le penses. Alors pourquoi te fermer ainsi face à elle ? Sans doute faudrait-il qu’on en parle, un jour. Mais ça n’est pas ce genre de conversation, que j’aimerai aujourd’hui avoir avec voudrai que nous parlions, de l’on prenne le temps, de prendre une ainsi serait nous imposer la plus cruelle des tortures, n’est-ce pas ?Mais pour l’instant, il nous faut avancer, et penser avant tout à Jeanne – qui sans doute meurt d’impatience à l’idée de te retrouver. Oh, j’imagine qu’elle ne songe déjà plus à votre dernière rencontre, après tout ce temps. Te souviens-tu, des conditions dans lesquelles vous vous êtes quittées ? Sans doute était-ce ma faute, au dans la main, nous montons les marches nous menant jusqu’à cette chambre où nous pouvons d’ores et déjà entendre des voix féminines, dont celle de Jeanne. Et mes lèvres s’étendent en un nouveau sourire, tandis que je ressens à son égard une étrange tendresse, sincèrement heureuse d’être présente en ce jour qui est le sien. Puis ce doute – à nouveau – lorsque je sens ta main s’échapper de la mienne. J’aurai voulu que ce lien perdure, peu importe ce qu’en pensait tes cousines. Jeanne sait. Elle sait, combien nous sommes proches. Qu’importe alors que nous mettions un nom à notre relation. Mais sans doute n’avons-nous pas le choix, pour l’instant – Hélas. ~La voix de Jeanne s’élançant avec enthousiasme, la jeune Russe pu alors voir avec plaisir l’étreinte de cette dernière avec sa sœur aînée, bien que son ventre ne se torde quelque peu en songeant à ce que pourrait ressentir Dominura, la sachant toujours quelque peu réticente quant à ses rapports avec sa cadette. Finalement, toutes deux eurent droit à une bise de la part de la future mariée, Ludmila s’amusant – attendrie – du comportement on ne peut plus optimiste de la jeune femme. Laissant finalement son regard passer sur les cousines lorsque Jeanne les lui présenta, la jolie blonde se contenta de leur adresser à toute un calme sourire, sentant un léger spasme de jalousie la prendre au ventre lorsqu’elle se rendit compte de la taille de cette famille. En effet, elle qui n’avait toujours eu que son père, souffrait parfois de ne pas avoir pu partager son enfance avec quelques frères, sœurs ou même cousins. Unique parent, unique enfant. Ludmila n’avait donc pas vraiment l’habitude de ce genre d’attroupement, néanmoins ravie d’en faire parti en ce jour. Nous avons fais bon voyage, oui. Oh, oui. Lançant un furtif regard à Dominura, Ludmila ne pu s’empêcher de lui adresser un regard tendre et complice, songeant à leur voyage en avion, si agréable. Oh, sans doute regrettait-elle déjà ces instants, où – sans réelle gêne – elle avait pu se blottir contre son amie, et tout simplement s’endormir auprès d’elle. Remarquez, cela en avait été de même la nuit précédente, bien qu’elle ait été sensée rester dans son propre lit. ~Ainsi, Jeanne voulait les voir tout à l’heure, sans les cousines ? Bien. Sans réel objection à cette idée, Ludmila acquiesça simplement d’un léger signe de tête, rendant à Jeanne ses sourires tout en laissant discrètement glisser son index contre le poignet de Dominura, le frôlant d’une douce et rassurante caresse. Râ, tu veux bien sortir s'il te plait ? »Que-Quoi ?!Tournant plus vivement la tête vers Dominura, puis vers Jeanne – interrogative – puis Dominura à nouveau, Ludmila fronça légèrement les sourcils, ses lèvres s’entrouvrant d’incompréhension tandis qu’en moins de deux, la plus jeune des deux sœurs Romley mettait l’autre à la porte, sans réellement se soucier de ce que cette dernière en pensait. N’ayant guère le temps de dire ou de faire quoi que ce soit, Ludmila fût alors attirée par la jeune française, cette dernière lui adressant un sourire bien trop grand pour ne pas la trahir Que veux-tu me montrer, Jeanne ? Est-ce si important ? Tu ne sais peut-être pas, mais il me semble que ta sœur a besoin de moi, ici. Ou bien, peut-être voudrais-je un peu trop la materner ? Oh – Je n’ai pas réellement le choix après tout. Ainsi, je te suis, finalement intriguée par tant d’ robe. Restant un instant quelque peu perplexe, Ludmila sentie ses lèvres s’entrouvrir quelque peu, ses sourcils se haussant avant même que Jeanne ne l’entraine un peu plus loin, afin de lui faire part d’un secret ».ClacClacJe sais, d’où vient cette robe. Je la reconnais, oui. Et avant même que je n’ai eu le temps d’émettre l’hypothèse, la preuve m’apparait sous les yeux. Cette illustration était à l’exposition, à Londres, n’est-ce pas ? Je me souviens l’avoir vu, tandis que j’aidais Dominura à choisir les illustrations exposées. Je me souviens, de ces instants. Oh, je n’étais pas bien sérieuse, à l’époque, n’est-ce pas ? Je me souviens avoir vu cette illustration, oui. Etrangement, son image me ramène à d’autres souvenirs La douleur de mon avortement forcée, l’épuisement, mis à mal par ma folie d’aimer – Je ne pouvais me passer d’elle, déjà. Nous nous sommes rencontrées à cette exposition, n’est-ce pas ? Tu m’intriguais. Mais ces souvenirs à présent ne peuvent que me faire sourire, tant le temps nous a – me semble-t-il – sincèrement fait regard, à la regard, à l’ regard, à Tu es complètement folle. Une constatation, faussement sérieuse tout d’abord, puis un sourire calme et amusé se dessine aux coins de mes lèvres. Mon Dieu, mais Jeanne ! C’est une idée formidable ! Cette robe est sublime, et j’ose espérer que Dominura ne restera pas indifférente à cette attention, lui prouvant d’une certaine manière toute ta reconnaissance vis-à-vis de son travail. Mordillant légèrement sa lèvre inférieure tout en sentant son sourire s’élargir malgré elle, la jeune Russe laissa alors sa main glisser jusqu’au visage de Jeanne, la taquinant quelque peu en appuyant d’un léger à-coup sur son menton, faisant dériver sa tête sur le côté, sans réelle force néanmoins afin de ne pas lui faire mal. Ce mouvement fût suivit par un furtif baiser sur la joue de la jeune française, celle-là même lui étant tendue – de par son mouvement – pendant une seconde. Puis, laissant échapper un léger rire – enthousiasmée par cette robe – Ludmila ajouta, sincère et à présent presque tout aussi surexcitée que Jeanne - C’est génial !! Elle va adorer !Elle. Dominura, bien si ça n’était pas le cas ? Au fond, Ludmila avait bien des raisons de se poser la question, ayant déjà eu affaire à quelques étranges réactions de la part de son ex-compagne. Ainsi laissa-t-elle à nouveau son regard passer sur la magnifique robe de mariée de Jeanne, avant de finalement se tourner vers cette dernière, plus sérieuse – car soucieuse de ce qu’était en train de faire son aimée à cet instant même. Finalement, adressant à Jeanne un léger regard d’excuse – bien que restant complice et amusée par la situation – Ludmila laissa entendre, commençant d’ores et déjà à marcher en direction de la sortie après avoir passer sa main sur le bras de Jeanne – amicalement - Il faut que j’y aille Jane, on se voit tout à l’heure !Oui, il faut que j’y aille. Il faut que je retrouve Dominura, avant qu’elle ne s’éloigne de trop. Oh, sans doute dois-tu penser que je ne peux me passer d’elle, que j’en suis à présent le cas ? J’en ai peur. Mais je sais, que tu porte fut ouverte, Ludmila s’engageant dans le couloir. Néanmoins, avant de la fermer, elle ne manqua pas d’ajouter, un large sourire aux lèvres, ses dents passant par la suite sur sa lèvre inférieure, preuve de son euphorie face à l’idée qu’avait eut Jeanne, entrant quelque peu dans son jeu concernant la reconquête du cœur et de la reconnaissance de sa sœur - Et au fait, ta robe est magnifique ! Evidemment, puisqu’elle avait été dessiné des doigts de l’artiste de la famille. Cette femme, que je recherche à présent, une fois la porte refermée derrière femme, vers qui je me dirige, sans réellement savoir si mon chemin est juste ou es-tu, mon cœur ?Dominura… ? Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Jeu 5 Aoû - 2243 Evidemment, la grande femme ne manqua pas d'être plus que troublée lorsqu'elle avait été mise à la porte par sa soeur elle-même, cette dernière qui l'avait pourtant bien tannée pour l'avoir avec elle durant son jour de mariage. Sur le pas de la porte, désormais seule sans la douce et rassurante compagnie de Ludmila, l'illustratrice ne manqua pas de sentir son monde entier s'effondrer sous le poids de l'appréhension et de la peur elle-même, réalisant qu'elle ne tarderait sans doutes pas à se retrouver solitaire devant une grande partie de sa famille qu'elle n'aurait aimé affronter seule en ce jour pour rien au ma Ludmila, où donc es-tu ? Que fais-tu, si loin de moi, alors que je sens l'oppression me recouvrir, regardant furtivement à droite, à gauche...? Je ne te vois plus, pas plus que je ne vois mes frères d'ores et déjà partis pour la gare, et les frissons, les tremblements me les yeux. Ferme les yeux, Dominura...Fermant les paupières sur ce luxueux monde qui l'entourait, la grande femme parvint tant bien que mal à retrouver son faible souffle, ralentir la frénésie de son coeur trop rapide pour sa faible toi. Calme toi. Calme toi. Cela ne peut pas être si grave, n'est-ce pas ? Tu sais, que tu es parfaitement capable, au fond de toi, de faire face à ces épreuves aussi nombreuses que dangereuses. Même si Ludmila est absente un instant, cela ne veut pas dire qu'elle ne reviendra pas, pas vrai ?Calme toi. Calme toi. BamBamBam~Se détournant un instant de son chemin, la grande femme fit fi un instant de ce qui pouvait bien se passer dans la pièce, tournant les talons et les laissant claquer dans les gigantesques escaliers du petit château. Qu'allait-elle trouver, en chemin ? Peu lui importait, au fond. Tout ce qui comptait sans doutes était de laisser Ludmila seule, en compagnie de Jeanne peut-être, pour leurs petites confidences auxquelles elle n'était pas voulez faire des choses entre vous ? Eh bien faites donc ! Peut-être suis-je la seule de cette famille à ne pas avoir eu droit de participer aux préparations de la mariée, à être mise aux petits secrets malgré les gros efforts que j'ai dû fournir pour en arriver jusque de complaisance ? Eh bien tant pis ! Tant pis ! Je m'en porterai peut-être mieux ce temps, dans la petite pièce, Jeanne n'avait pas manqué de faire participer les avis de Ludmila quant à la robe de mariée qu'elle s'était faite faire sur mesure, malgré le prix faramieux que cela avait entrainé. Alors qu'elle observait les moindres réactions de la belle blonde, la cadette des Romley se mit à sourire davantage lorsqu'elle remarqua que la belle russe avait compris de quoi il s'agissait lorsqu'elle avait désigné l'illustration de la femme en robe de mariée. Etait-elle complètement folle, comme Ludmila le laissait entendre tout en souriant à son tour, tout en laissant passer ses doigts sur son menton ? Laissant échapper un léger rire, Jeanne, rangeant alors le cadre, haussa les épaules en répondant, d'un ton pour le moins naturel"Ah ça c'est sûr ça m'a coûté cher ! M'enfin finalement je m'en fiche, c'est ma mère qui a payé quoi"Puis, se détournant de Ludmila, elle rangea le cadre sous la tonne de tulle bleu clair, sous le regard des cousines qui ne manquaient pas de papoter entre elles, de tout et de rien, au sujet de la mariée tout comme de l'illustratrice, de l'invitée à demi inconnue qui avait eu des liens avec la soeur ainée des Romley. C'est génialElle va adorerSouriant de plus belle, Jeannette ne manqua pas d'attrapper l'occasion pour répondre, haussant les sourcils d'un air parfaitement enthousiaste pour l'occasion "Oh, à la base c'est Claude qui m'as soumis l'idée !Mais je n'ai pas hésité une seconde à rebondir dessus, du coup l'on s'y est mis à deux, tellement je trouvais ça bien !"Je suis sincèrement heureuse que cela te plaise, Ludmila. Sais-tu, que je redoutais cruellement ton avis sur la question ? Je veux, je désire que ce mariage de princesse soit le plus parfait possible. Je désire qu'il me raproche davantage de ma soeur, qu'il nous lie tous les uns avec les autres, pour mon plus grand des bonheurs. Tu sais, Ludmila, je suis ravie que tu sois présente pour moi aujourd'hui. Je sais, que le sort de Dominura te préoccupe, moi qui n'y suis pas allée de main morte pour la faire sortir de la chambre. Mais tu comprends, n'est-ce pas, pourquoi je ne voulais pas lui montrer ma robe pour le moment. Mais ne t'en fais pas, je ne tarderai guère à la ramener auprès de moi, oui, cette soeur que j'aime à l'heure, comme je l'ai dit, il n'y aura plus les pourrons nous voir, toutes les trois. Confrontation ? Je n'en veux pas. Seulement profiter... De ce si beau un dernier sourire à Ludmila, Jeanne passa une main sur l'épaule de cette dernière, lui offrant un clin d'oeil à ses propos. Il faut que tu y ailles ? Très bien, je ne vais pas te retenir. Il faut que tu la retrouves, il faut que tu sois là pour elle, afin qu'elle soit à son tour là pour moi. Serais-je en train de me servir de toi, jolie fleur ? Peut-être un peu, oui. Mais qui ne se sert donc pas de son prochain, dans ce genre de milieu ? Ce qui compte avant tout, c'est tout de même le fait que je sois contente que tu sois là, non ? Tu t'en contenteras sans doutes, tout comme les hâte, que la cérémonie commence. Alors je te laisse te glisser dans le couloir, haussant légèrement les sourcils et ajoutant, quelque peu soucieuse au positif"Bon courage, pour retrouver Râ dans ce labyrinthe. A tout à l'heure !"Ma robe est magnifique, oui, magnifique. Après un dernier clin d'oeil et une effluve d'un parfum que Ludmila connaissait trop bien, Jeanne disparut derrière la porte qu'elle ferma, avant que l'on n'entende des gloussements hystérique de la part de la jeune Romley accompagnée de ses très chères cousines. Bien. Qu'en était-il de Dominura, alors ? Cette dernière avait donc bel et bien descendu les marches des escaliers, sans pourtant trop savoir ce qu'elle venait faire là. Pas un instant elle ne dériva vers le petit salon où s'étaient rassemblés les cousins, et plutôt prit-elle l'initiative d'aller attendre Ludmila, ainsi que ses frères, dans les jardins. Après tout, il y avait quelques minutes à peine, avant d'entrer dans la chambre du haut, n'aurait-elle pas tout donné pour se retrouver un peu loin du contexte angoissant de la famille ? Voilà que son voeu avait été exaucé. Malheureusement, il avait gardé avec lui la belle Ludmila, dieu seul savait pour combien de temps Tac Tic TacClacClacClacClacMes doigts passent sur les jolies feuilles des plantes fleuries de ce grand labyrinthe qui laisse tout de même le haut de mon corps dépasser des bosquets. Quel ravissant endroit ? Parfait pour se reposer, un instant, de tout, de rien. Du monde entier ?Et se es-tu, ma Ludmila ?Rejoins-moi, et nous pourrons les rejoindre à nouveauAfin de commencer l'acceuil des invités ? Peut-être ce repas,Doux ou pénible repas qui nous attends alors~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Ven 6 Aoû - 044 Jeanne, Jeanne… Viens-tu réellement de me laisser entendre que peu t’importe le prix qu’à coûté ta robe, puisque ta mère l’a payé ? Te rends-tu seulement compte, que cela est digne d’une enfant bien trop gâtée ? Oh, au fond, je ne doute pas que tu l’ais été. Mais cela ne me regarde pas, n’est-ce pas ? Ainsi, je me contente de t’offrir mes sourires, non sans savoir – comme tu le devines sans doute – que peut-être tu m’utilises afin de te rapprocher de ta sœur. Est-ce que cela me pause problème ? Pas vraiment, non. Au contraire. S’il m’est possible de vous aider à vous entendre, sans même avoir à faire le moindre effort, je ne vois pas ce qui pourrait me déranger dans cette quelques précisions concernant la source ayant donnée l’idée de cette robe, Jeanne laissa finalement l’ex-compagne de sa sœur quitter la chambre, cette dernière ne manquant pas de sourire pour elle-même d’un amusement quelque peu exaspéré lorsqu’elle entendit les rires euphoriques de la future mariée et ses Dominura dans un tel labyrinthe – comme l’avait précisé Jeanne – ne serait sans doute pas en effet une chose facile. Descendant par instinct les marches des escaliers qui les avaient toutes deux mené jusqu’à la chambre où se trouvait Jeanne, la charmante Russe ne manqua pas de sentir son ventre se nouer d’une certaine angoisse lorsqu’elle se rendit compte qu’il était à présent possible qu’elle croise des membres de la famille de son aimée, seule. Laissant ses talons frapper le sol avec classe, la jolie blonde eut néanmoins la présence d’esprit de se dire que Dominura ne serait pas retourné auprès de sa mère – compte tenu de ses propres angoisses – et se dirigea alors plutôt en direction du hall d’entrée, où elle pu à nouveau croiser les neveux et nièces de l’illustratrice. Ne s’en préoccupant pas réellement, la jeune femme continua ainsi à marcher, son regard cherchant Dominura, quelque peu angoissée à l’idée de ne pas la retrouver au plus es-tu, mon Amour ? Je ne veux pas te savoir loin de moi, ici. Je ne veux pas que nous nous quittions – pas même une minute. Pourquoi es-tu partie si loin ? Peut-être même es-tu dans les jardins ? Je ne te vois pas, ici. Ainsi, je continue à avancer, dépassant la porte d’entrer jusqu’à rejoindre à mon tour les jardins. Quelques minutes, et je t’aperçois enfin, flânant au beau milieu de ce sublime labyrinthe que Dominura ne semble la remarquer, Ludmila ne tarda pas à rejoindre cette dernière, son cœur battant à vive allure tandis qu’elle n’avait envie que d’une chose Lui sauter dans les bras et l’embrasser, lui dire comme elle lui avait manqué, bien qu’elles ne soient séparées que depuis quelques minutes. Sentant ses joues rosir quelque peu au fur et à mesure qu’elle s’approchait de son aimée, la jeune Russe se retrouva donc bien rapidement auprès de la belle brune, arrivant silencieusement tout juste derrière elle, n’hésitant pas une seconde avant de passer ses bras autours de sa taille, entrainant les siens jusqu’à les replier sur son ventre – celui de Dominura, donc – l’étreignant ainsi avec douceur tandis que son ventre avait un instant quelque peu bousculé son dos. Laissant ses lèvres chercher tendrement la nuque de sa belle, l’embrassant juste au dessous de l’oreille, Ludmila laissa alors entendre, sa voix tremblant quelque peu tandis que la pression qu’elle s’était mise à elle-même redescendait quelque peu - Tu ne voulais pas que je te retrouve, pour partir si loin ?Aucune agression, dans le ton de sa voix. Une pointe d’amusement, sans doute, tandis que la jeune Russe desserrait quelque peu son étreinte, faisant délicatement tourner Dominura face à elle en refermant doucement ses doigts sur ses avant-bras. Lui adressant alors un sourire calme et doux, son regard s’accrochant au sien aussitôt qu’il l’eut qu’on parle, au plus vite. Mais nous devons retourner à l’intérieur, n’est-ce pas ? Il est déjà presque midi, et sans doute devrons-nous bientôt rejoindre la table familiale, pour un repas précédent la cérémonie. Ce repas, qui par ailleurs me gène quelque peu Ne serai-je pas de trop, en ces circonstances ? Je ne suis qu’une amie, au fond. Et les amis ne sont conviés que dans quelques heures, pas vrai ? Je ne sais pas, en fait. Il faut dire que je n’ai rien demandé, préférant profiter de l’instant présent, avec toi Tu sais, il me semble que Jeanne a énormément besoin de sa grande sœur pour lui apprendre ce qu’est la vraie vie ! Elle est bien trop gâtée, ça n’est vraiment pas bon pour elle – à son âge !!Esquissant un léger sourire en coin – tentant tant bien que mal d’encourager Dominura à considérer Jeanne comme cette petite sœur qu’elle se devait de protéger – Ludmila laissa glisser ses mains jusqu’aux épaules de son aimée, ses doigts glissant quelque peu dans son cou avant qu’elle n’ajoute, quelque peu plus sérieuse, follement amoureuse - Mais pour l’instant, tu es à moi – D’accord ?Et je t’offre un baiser, là, juste au coin de ces si jolies lèvres que j’aimerai seulement frôler. Mon ventre se tord, tandis que je chercher à respirer ton odeur, délicieuse. Voudrais-tu bien m’embrasser, maintenant ?Nous sommes seules, dans ces gigantesques jardins. Je suppose que personne ne nous verrait, n’est-ce pas ? Mais ça n’est pas faut qu’on parle, avant Que tout soit clair, une bonne fois pour tu brises en moi tout espoir,Ou qu’il soit satisfait, d’un véritable Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Ven 6 Aoû - 2223 Le temps que Dominura passa là, dans les jardins du petit château sans la compagnie de Ludmila lui parut tout à fait interminable, abominable. Pourquoi n'y avait-il personne pour la tirer de ses songes ? Oh, oui, elle aurait sans doutes très bien pu aller au petit salon rejoindre sa famille, ou chercher sa mère avec qui elle était certaine d'avoir une entrevue avant la fin de la journée. Mais au lieu de cela - Peut-être un peu lâche - la trentenaire s'était exilée, d'ores et déjà refusée dans la chambre de sa soeur cadette où avait été pourtant admise son amie et aimée. J'essaye de me convaincre que le temps passe vite, que la nature que j'observe est merveilleuse - Et elle l'est - mais je ne puis m'empêcher de penser à toi, Ludmila. Que peux-tu bien faire, en ces instants même ? Comment puis-je encore rester là, à regarder ces fleurs qui m'impatientent, alors que tu n'es pas à mes côtés ?BamBamBamBamMon coeur bat si fort~Le temps passe si lentement...Finalement, l'ombre d'une jeune et svelte femme finit par se détacher du sol, emportée par le soleil, adressant un message de présence à l'illustratrice encore bien perdue dans ses songes. Relevant la tête, tournant vers la source humaine de ces ténèbres silencieuses, la belle française ne put que laisser un grand sourire passer sur son fin visage à nouveau plus coloré, rayonnant Ludmila, tu es fait, alors ? Je n'ose pas te poser la question, bien consciente d'une logique réticence face à un interrogatoire yeux te regardent donc, simplement,Simplement de moi,Simplement des regards, échanger des mots... Nous ne serons plus seules pour n'en fallut pas plus pour que Dominura ne se retrouve à nouveau cernée par des bras rassurants, ceux de son aimée qui n'avait pas tardé à la retrouver, en fin de compte. Ludmila... ? Aurais-tu ainsi prit congé de Jeanne plus rapidement que ce que j'aurais imaginé ? Tant mieux Je ne désirais pas être seule plus longtemps. Tandis que la belle russe était arrivée par derrière, la grande femme ne se retourna pas immédiatement, fermant les yeux une fraction de secondes tout en s'ennivrant de l'odeur de son ex-conjointe, ce si doux parfum qui lui allait si bien, en plus de son odeur naturelle. Ressentant tout de même la certaine tension nerveuse dans la voix de la belle russe, la grande femme eut un frisson à son baiser, se rendant bien compte, en effet, qu'elle était allée bien loin, pour quelqu'un qui n'avait fait que sortir d'une chambre. Ne voulait-elle pas que Ludmila la retrouve ? ...Oh si, au contraire. Peut-être s'y était-elle très mal prise, mais au moins, la jolie blonde était à nouveau auprès d' la grande femme fut tournée face à sa cadette, un sourire d'excuse passant doucement sur son visage pâle alors qu'elle voyait bien que Ludmila ne lui en voulait pas pour autant. Leurs regards se croisant, Dominura fit au mieux pour montrer à quel point elle était heureuse que la femme qu'elle aimait soit à ses côtés en ce jour. Tu as quelque chose à me dire, n'est-ce pas ? Oui, je le sais, je le sens, je le vois. Et je l'ai vu, dans ce taxi, alors que tu entrouvrais les lèvres, les miennes t'imitant tout en soulignant mon interrogation quant à tes probables propos. Mais nous ne parlerons pas ici, et encore moins maintenant, n'est-ce pas ? Au fond tu as raison, midi approche, et le repas de famille ne manquera pas de se faire sonner en notre seule de ce repas me gêne déjà, ne sachant trop comment réagir, mais je me doute bien - Et en suis désolée - qu'il n'en sera sans doutes pas plus facile pour toi, devant tant de nouvelles têtes, belle intruse de la famille Française. Mais ne crains rien. Je serai là. Je serai là, et quiconque osera te dire quelque chose de déplacé devra en payer de sa personne devant moi, mariage ou belle blonde ne manqua pas de noter, devant Dominura, tout ce que Jeanne avait pour elle, si gâtée. Haussant légèrement les sourcils, levant les yeux au ciel, Dominura laissa entendre, d'un ton détaché alors que son coeur se serrait attrocement à l'idée de sa mère mourrante parasitée par deux cadets suceurs de biens "Oh, je la vois bien trop peu pour lui donner la leçon,Je crois qu'elle est assez grande pour se débrouiller toute seule"Mais à la fin de sa phrase, un regard en biais, là, vers la terre, montra bien sa gêne vis à vis de ces gâteries infernales tandis qu'elle se doutait bien de la cause de ces dernières, malgré elle. Heureusement, Ludmila ne demeura pas longtemps là-dessus, passant ses mains sur les épaules de son ainée, amoureusement, avant de lui lâcher quelques mots qui ne manquèrent pas de l'émouvoir quelque peu, un frisson passant dans son dos alors que ses joues menaçaient de rosir quelque suis... à toi ?Oh non, au diable mes idées déplacées !!Tu ne disais ça qu'en tant qu'amie, n'est-ce pas ?Frémissement certain, lorsque Ludmila laissa ses lèvres se refermer au coin de celles de l'illustratrice. Ah, si seulement c'était vrai ! Ah, si seulement j'avais eu l'audace de tourner légèrement la tête et dériver ce baiser ! Mais je ne suis sans doutes pas assez courageuse, lâche de mes sentiments. Passant une main sur la joue de son ex-conjointe, la grande femme sembla un instant se perdre dans son regard, ennivrée par son odeur, absorbée par ces yeux si ravissants, oui, qu'elle aimait tant. Je ne veux qu'un baiser de toi, n'est-ce pas ? Oh, oui, Ludmila, seulement un baiser, et je te laisserai tranquille par la suite. Faisons cela. Juste...Un tout dernier... main égarée sur la joue de Ludmila en une tendre caresse pour le moins amoureuse, la grande femme finit par se rapprocher davantage de la belle blonde, sentant jusqu'à son souffle sur sa peau claire, se delectant en rage de cette terrible proximité. Entrouvrant ses lèvres maquillées, elle sembla un instant de plus se perdre dans son amour et son désir pour la charmante blonde, mais alors qu'elle se penchait davantage, fermant les yeux pour ce baiser qu'elle avait alors dignement imaginé entre les bosquets bas du jardin, une voix éclata un peu plus loin, voix d'homme qu'elle n'avait pas encore entendue en ce jour"Dominura, tu es là !!"Sursautant sur le coup et se séparant rapidement de Ludmila en lui kidnappant pourtant nerveusement la main, la grande femme fit alors face au jeune homme qui avait couru jusqu'à elles même au risque de se décoiffer."Bonjour Edward ! Tu es charmant !Voici Ludmila."L'homme se redressa alors, rayonnant, offrant un sourire aux deux jeunes femmes avant d'annoncer, tout en joie"Le reste de ma famille ne devrait pas tarder à arriver, je crois que mon frère était déjà arrivé et en compagnie des cousins. Je vais aller le rejoindre, à tout à l'heure !"Lorsqu'il fut parti, la grande femme se tourna alors vers la belle blonde, haussant légèrement les sourcils tout en expliquant, un peu maladroite à cause de la bouffée de stress qu'elle venait d'avoir pour elle ne savait trop quelles obscures raisons "Il a dit que sa famille ne tarderait pas. Apparemment, son frère était déjà au salon avec les cousins... On en les a pas encore vus."Un vague sourire, et une autre voix, un tantinet plus connue, se fit entendre depuis le chemin, dans un anglais aussi parfait que celui de la belle Française "Tu es attendue à l'intérieur, Chouchou ; On va commencer le repas dans quelques minutes !"Se retournant alors, ses joues prennant une teinte cramoisie, Dominura lança à son frère ainé, Claude, d'une voix outragée"Claude !! Ne m'appelles pas Chouchou, tu sais que je détestes ça !"Haussant à son tour les sourcils - En digne rival de la matière - Claude laissa échapper un léger rire faussement narquois, avant de tourner les talons et rajuster son veston tout en regagnant le petit château, suivi de près par une Benjamin rapide et silencieux, qui, lui, bien plus amer, n'avait pas adressé la parole aux jeunes femmes sur son passage, un peu plus sauvage à la en retrouvant ses couleurs ordinaires que Dominura se tourna alors à nouveau vers la belle blonde, lui demandant alors, un peu plus légère"On y va ?"Je n'appréhende pas moins la reçeption, du sais. Mais tu es avec moi... Oui, avec moi, en ma compagnie, il ne peut rien m'arriver, n'est-ce pas ? Ainsi, je te souris calmement et t'entraine sur les Ils nous attendent...~Quelques longues minutes passèrent pendant lesquelles Dominura et Ludmila avaient été envoyées dans la salle à manger, en vue du repas. Durant le labs de temps, la famille d'Edward put rejoindre la vaste demeure et les présentations furent faites sans accrocs. Quelques regards, quelques sourires, quelques mots, et l'affaire fut faite, sans trop de déboires ni masses de jugements incertains. Placées côte à côte - Ce fait rassurant d'ores et déjà Dominura - les deux jeunes femmes purent alors prendre place, Dominura ayant pour seconde voisine Sédia - La femme du frère d'Edward - et Ludmila Dominique - La mère Romley - Claude siégeant en face d'elles, en compagnie de sa femme - Ses enfants ayant étés placés sur une charmante table à part - et de son autre frère. Jeanne, elle, avait rejoint la pièce un peu plus tard, et avait décidé de se mettre en bout de table avec ses cousines, afin de jacasser comme il se le devait, exaspérant par ailleurs Benjamin, qui ne manqua pas de souffler en murmurant une menace d'envoyer un morceau de pain sur la grosse tignasse blonde de sa soeur."Je vous en prie, servez-vous"La voix de Dominique elle-même fit débuter le repas, tandis que les conversations s'engageaient toutes seules, allant de bon train. Finalement, Claude s'interessa le premier au curieux couple d'amis que formaient sa propre soeur et Ludmila, piquant de sa fourchette dans un morceau de tomate tout en scruttant la belle blonde de son air sévère et dur - Quoique sa voix laissait comprendre seulement un virevoltant interêt pour ses propos "Vous avez fait bon voyage Ludmila ?C'est la première fois que vous venez en France ?"Sous la nappe, une main vint se poser sur la cuisse de la belle blonde,Non pas une main déplacée, Mais celle de l'illustratriceNe pouvant tenir une seconde de plusSans avoir contre elle le contact de son ex-conjointeDirectement emportée dans les questions de son frèreCe cher frère abandonné qui lui ressemblait pourtant tellement. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Sam 7 Aoû - 121 Un regard, un sourire. Je sens mon cœur s’apaiser, rassuré par ta simple présence. J’aimerais pouvoir t’enlacer davantage, ou seulement m’allonger à tes côtés – là, sur cette pelouse d’un vert parfait, entre ces si charmantes fleurs au parfum délicieux. J’aimerais pouvoir fermer les yeux, baigné d’un sentiment de sécurité, mon corps restant tendrement lié au tien. Nous n’avons besoin de rien d’autre, de personne d’autre, n’est-ce pas ? Sans doute n’hésiterai-je pas une seconde, si nous étions simplement seules au monde. Sans crainte, sans doute. Sans aucune jalousie, ni aucun risque que tu ne t’éloigne à nouveau de moi à l’avantage de quelqu’un d’autre. J’ai encore si mal, lorsque j’y songe. Mais la peur que tout cela puisse recommencer prend davantage le pas sur moi, m’imposant cette distance avec toi, alors même que je ne rêverais que de te posséder à nouveau, aussi cru que cela puisse paraitre.~Jeanne est assez grande pour se débrouiller toute seule ? Oh, il me semble que non. Sinon pourquoi aurait-elle tant besoin de ton attention, Trésor ? Je n’insisterai pas, puisque ton regard fuit un instant, comme chassant un sujet que tu n’assumerais pas totalement. Au fond, tu sais tout autant que moi que tu pourrais bien être un peu plus présente pour elle, n’est-ce pas ? Pour ta sœur, mais aussi pour ta famille, en général. Peut-être Jeanne ne se servirait pas tant dans les économies de ta mère, si tu lui faisais comprendre comme cela n’est pas sain. Je suis certaine que tu pourrais la faire changer sur certains points, de seulement quelques t’écouterait, es son modèle, son sœur qu’elle rêverait de connaître je ne fais que supposer, ayant bien plus appris sur Jeanne pendant ton absence que durant notre relation.♠Sentant la main de Dominura se poser sur sa joue - alors même que leurs visages se rapprochaient dangereusement – Ludmila sentit un instant son corps transporté par un frisson terriblement imposant, ses doigts se refermant sensuellement sur la nuque de son ex-compagne, sans pour autant la forcer d’une quelconque manière à se rapprocher. Ainsi laissa-t-elle simplement la belle française continuer son mouvement, son souffle se faisant plus lent – parfois coupé – tandis que ses yeux se fermaient à l’approche d’un baiser, tant attendu du côté de l’une comme de l’autre. Un instant, et tout semblait à présent parfait. Depuis combien de temps, ne s’étaient-elles pas embrassé ? Oh, si peu de temps. La veille, dans l’après-midi, n’est-ce pas ? Et pourtant, Ludmila avait d’ores et déjà l’impression que cela faisait des années, et qu’elle ne tarderait pas à imploser si cela n’arrivait pas à nouveau au plus la magie ne tarda pas à filer aussi vite qu’elle était apparut, une voix masculine se faisant alors entendre non loin d’elles, s’adressant à Dominura. Son cœur s’emballant d’une frustration terrible lorsque son amie coupa court à leur intimité soudaine, la jeune Russe ne pu s’empêcher de serrer peut-être un peu trop fort sa main, lorsque cette dernière vint se lier à la sienne, leur permettant ainsi de ne pas se séparer totalement de par la venue de ce charmant jeune homme. Edward, donc. Le futur marié, bien courageux de se lier avec une jeune femme surexcitée telle que Jeanne, bien fou de l’avoir laissé partir bien souvent en voyage, retrouvant sans une once de culpabilité des mains et des lèvres différentes des siennes. Savait-il au moins que sa future femme était de ces aguicheuses cherchant à croquer un peu partout ? Oh, au fond, Jeanne avait bien changé, non ? Elle ne semblait plus si enjôleuse, ces derniers temps. Ou bien le lui cachait-elle, maintenant que toutes deux étaient amies, presque liées comme sœurs ? Qui sœur est vraiment trop gâtée, et ce aussi par la vie en elle-même. Edward me semble adorable, et amoureux, pas vrai ? Tant le futur marié ne tarda pas à rejoindre le château, alors suivi par les deux frères de la belle française. Benjamin restant silencieux, ce fut au tour de Claude de s’adresser à sa sœur cadette, en un anglais parfait dont Ludmila lui était reconnaissante, un sourire se dessinant malicieusement sur ses lèvres. Ainsi étaient-elles attendues dans la salle à manger, le repas débutant dans quelques minutes. Evidemment, la jeune Russe ne pu que s’attendrir du surnom que Claude venait d’employer à l’égard de sa sœur, remarquant par ailleurs le changement de couleur de cette dernière, adorable. Laissant son pouce caresser le dos de sa main avec douceur, Ludmila ne pu qu’adresser un sourire tendre à son Sur ce, Ludmila ne manqua pas de remarquer le haussement de sourcils du frère ainé de sa belle, s’étonnant elle-même de se trouver quelque peu émue par les ressemblances que tout deux pouvaient avoir. Une vague d’émotion passant en elle – un élan d’euphorie lui revenant tandis qu’elle se rendait compte de sa propre situation – la jeune femme se contenta d’acquiescer avec enthousiasme lorsque Dominura l’engagea à partir. Gardant un agréable sourire sur les lèvres, la jeune femme marcha jusqu’au château en compagnie de son aimée, gardant sa main dans la sienne jusqu’à ce que toutes deux pénètrent dans le hall d’entrée, où quelques personnes se trouvaient encore. Bien vite, la famille de Jeanne tout comme celle d’Edward se retrouvèrent installées autours d’une table, Ludmila se trouvant placée entre Dominura et Dominique, la mère de cette dernière. Tout s’enchaina bien rapidement, quelques plats étant d’ores et déjà servis, la charmante Russe – quelque peu intruse à cette table – se servant lorsqu’elle en eut l’occasion, comme l’avait demandé la mère de Dominura à l’ensemble des invités. Jeanne semblait bien s’amuser, entourée de ses cousines. Les enfants aussi, installés sur une table isolée. Les autres ? Oh, les discussions allaient bon train, et ce non sans que Ludmila ne soit quelque peu mal à l’aise, incapable de comprendre le sens des conversations françaises qu’elle était forcée d’entendre. Ainsi restait-elle quelque peu réservée, mangeant relativement lentement – comme si préserver le plus longtemps possible son assiette pleine lui donnerait une excuse quant à son silence de plomb. Finalement, ce fut Claude qui s’adressa à elle, visiblement très à l’aise avec l’anglais – comme la jeune Russe avait d’ores et déjà pu le remarquer précédemment. Avait-elle fait bon voyage ? Lui adressant un sourire calme et sincère – appréciant pour l’instant cet homme – la jeune femme lui répondit, laissant entendre sa charmante voix parmi tant d’autres, quelques peu bruyantes - Oh oui, très bon, merci ! ~Avec votre sœur, cher Claude, ça ne pouvait être qu’un excellent voyage – n’est-ce pas ? Savez-vous, comme je l’aime ? Je me demande – au fond – ce qu’on a pu vous dire, sur n’étais que son assistante. Et maintenant ? Je suis son amie, oui. Une amie, qui aimerait avoir plus, à nouveau. Car je ne peux me passer d’elle. Etait-ce son premier séjour en France ? Gardant un fin sourire, Ludmila adressa un regard complice à sa compagne, venant tendrement poser sa main sur la sienne, sentant un frisson la parcourir quant au contact qu’avait engagé sa belle. Se demandant une seconde si la famille de Dominura ne prendrait pas mal le fait que cette dernière soit venue si près de chez eux sans même passer leur rendre visite, la jeune Russe chassa néanmoins bien vite cette idée de sa tête, n’ayant de toute façon pas à se poser ce genre de question. Ainsi ne tarda-t-elle pas à répondre, toujours très charmante, cachant sans grande peine ses quelques appréhensions - Non, la deuxième ! Nous avons passé quelques jours à Arcachon il y a deux Dominura, bien sûr. Cela semblait évident. Ainsi, Ludmila ne prit pas la peine de le préciser, se tournant une nouvelle fois vers son aimée, quelque peu plus tendue à présent que ses répondes avaient été données. Devait-elle ajouter quelque chose, poser quelques questions à son tour ? Oui, mais quoi ? Refermant quelque peu plus encore sa main sur celle de son ex-compagne, la jeune Russe ne pu rien trouver d’intéressant à dire sur le coup, pinçant légèrement ses lèvres entre elles avant de reposer son regard sur Claude, son sourire se faisant quelque peu moins assuré que que je me sentirai plus à l’aise, lorsque d’autres invités se joindront à la famille. Pour l’instant, je ne peux que tenir sa main, tenter tant bien que mal de me rassurer de sa présence,Tout en redoutant tout autant la conversation que nous devons avoir au plus que mon cœur n’ que je n’en perde la d’envie, d’ es qu’il en qu’on en dise. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Sam 7 Aoû - 2246 L'épreuve de la tablée du midi ne serait sans doutes pas la dernière épreuve pour Dominura tout comme Ludmila, et la grande Française n'était pas sans en être parfaitement consciente. Déjà préparée psychologiquement à passer une journée pour le moins éreintante, l'illustratrice se plaça donc sans broncher à la chaise que l'on lui proposa pour partager les plats avec le reste de la famille, que ce soit de son côté ou de celui d'Edward. D'un côté, Jeanne et les cousines s'en donnaient à coeur joie pour commenter la future cérémonie et toutes les fioritures qui l'accompagneraient, et d'un autre, les conversations allaient d'un ton bien plus calme, quoique dense et relativement rythmé, bruyant, le tout dans une bonne humeur communicative. Dominura, jettant tantôt un oeil à sa mère tantôt à ses frères, ne manqua pas pour autant de sourire aux autres invités et leur échanger quelques mots, tout en piquant dans la salade composée fort charmante qui lui avait été servie en toute classe. Ludmila, quant à elle, fut bientôt embarquée dans le questionnement anglophone de Claude, qui, curieux, n'avait pas manqué de hausser quelque peu les sourcils à la manière de sa soeur afin de souligner ses belle blonde était-elle déjà venue en France ?Oh oui, et avec réponses de la charmante jeune femme arrivant aux oreilles de l'ainé Romley, ce dernier hocha paresseusement la tête en signe de compréhension, sous l'enthousiasme de Ludmila. Ainsi, elle était déjà venue en compagnie de la grande femme il y avait bien deux ans de cela, et à Arcachon, donc. Souriant un peu plus, comprennant que sa soeur était passée proche de leur maison de Bordeaux sans réellement s'y arrêter, Claude n'ajouta cependant rien à ce sujet, ne cherchant absolument pas à froisser l'assemblée de ces informations."Ahh, oui, je vois. Et cela vous a plu ?"Un sourire, calme, à nouveau, alors que Benjamin, le cadet, n'avait pas manqué de comprendre ce qu'il se passait alors. Jetant un oeil à sa soeur, il n'hésita pas, quand à lui, de se jeter sur l'occasion, haussant à son tour les sourcils mais d'une façon bien moins ordonnée, plus provocatrice, avide d'une méchanceté profonde et gratuite, coupant court à la conversation de son frère tout en parodiant le début de phrase de ce dernier, par pur sarcasme "Ahh, oui, je vois ! En somme, un petit tour vers le Sud-Ouest sans rendre visite à la famille ignorée pendant des lustres ? Bien, bien, Dominura !Dis-moi, ça ne va pas en s'améliorant, les années, hein ?"La grande femme tourna vivement la tête vers lui, sa main se resserrant dangereusement sur la cuisse de Ludmila, non sans oublier qu'elle pourrait lui en faire mal - N'abimant pourtant en rien sa si jolie robe. Pinçant les lèvres avec nervosité et colère, ses yeux brillant d'une lueur nouvelle et ses joues rosissant quelque peu de rage, elle n'arriva pourtant pas à toucher un mot à ce frère si provocant, Claude prennant la relève à sa place, en une tape dans son dos passée sous le signe fraternel mais non moins réprobateur"Voyons Benjamin, n'importe qui aurait fait la même chose, en ne restant que quelques si cette personne savait d'avance qu'elle passerait le plus clair de son temps à reçevoir des repproches pour son absence, n'est-ce pas ?"Dominura fuyant un instant du regard, Benjamin sembla pourtant quelque peu calmé par les paroles de son frère, tournant lui aussi la tête vers sa femme et lui demandant le pain, honteux d'avoir été repris de la sorte bien qu'il penssât toujours avoir le plus raison des deux. L'illustratrice faisant mine basse, Claude enchaina par la suite, rajustant la clarté de son bouc par une froisse de quelques doigts "Il n'y a pas de mal. Vous avez vu la mer, donc ?Ça fait longtemps que je n'y ai pas mis les pieds."Apparemment, l'homme n'avait que faire de la gêne des deux jeunes femmes, trouvant sans doutes pour le mieux de se remettre à des conversations positives afin de ne pas plomber le repas comme aurait voulu le faire son cadet. Quelque peu reconnaissante, Dominura finit bien par redresser la tête, offrant un léger sourire désolé à Ludmila, si navrée de la mettre dans une telle situation à cause de son propre savais bien, qu'il ne fallait surtout pas que je revoie cette famille qui m'en veux tant et qui n'hésiterait pas à passer toutes les futures heures en ma compagnie pour me rappeller mes fautes. Je savais bien, que tu serais sans doutes mise en défaut à cause de moi. Ma culpabilité ne peut se faire que plus grande encore, alors que je fais pourtant déjà tant d'efforts. Mais ces efforts, Claude les voit bien, lui, sinon jamais ne serait-il venu prendre ma défense, m'accusant sans doutes autant que voit. Il comme toi, petit c'est de toi, tout comme de lui, dont j'ai besoin pour avancer conversations reprirent ainsi petit à petit leur cours, Ludmila devant prendre sur elle quelques questions banales comme celles d'Amélie, qui ne manqua pas de lui demander si sa robe avait été faite sur mesure ou si son blond était naturel. Du côté de Dominura, c'était plutôt concernant sa couleur anis, ou bien au sujet de sa vie professionnelle que les gens n'avaient pu que suivre de bien loin, si tant est qu'ils s'en soient un tantinet ce fut Edward qui leva son verre le premier lorsque le vin fut servi à tous et à toutes, un bon Bordeaux que la mère Romley avait fait rapporter exprès, des plus grands châteaux de la région Sud-Ouest."A cette belle vie, et au merveilleux mariage qui nous attends ! Santé !"Dominura se penchant vers Ludmila, elle lui traduisit à l'oreille ces quelques paroles, non sans se perdre un peu dans ce parfum ennivrant qui était le sien, ses lèvres frôlant la peau de la jeune femme à s'en faire exploser le coeur. Immédiatement après, elle se redressa en un sourire brillant, levant son verre à son tour "Santé !!"Et ils rires, les éclats de voix et les conversations joyeuses reprirent instant, et une main frèle mais douce se posa sur le bras de Ludmila. Un regard, de sa voisine, Dominique. Un regard tendre mais un peu interrogateur, brillant d'une sagesse troublante et d'une nostalgie étrange. Quelques mots, douceur extrême, en un anglais bredouillant formé des seuls mots dont elle se souvenait"Excusez-moi mademoiselle... N'auriez-vous pas vue Christophe ? Il était là il y a un instant...L'auriez-vous vu quitter la table ?"Il était làIl y a un instantPeut-être dans les yeux de sa fille,Elle, qui lui avait jeté un regardUn regard seulementVertProfondTout comme celui que tu aimes tant.♦ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 016 Laissant sa main entourer tendrement celle de son amie, Ludmila ne pouvait alors s’empêcher de la caresser quelque peu, apaisant ainsi d’une part ses propres angoisses, tout en tentant tant bien que mal de rassurer la belle française, visiblement toujours très nerveuse. Evidemment, la jolie blonde ne manquait pas de sourire poliment, bien qu’elle ait très certainement préféré s’éclipser de cette table, attirant Dominura avec elle dans une toute autre pièce. Mais puisque cela lui était impossible – ayant tout de même assez de principe pour ne pas commettre une telle faute de respect – la jeune femme se contentait de rester là, répondant aux questions qu’on lui posait avec plus ou moins de plaisir, observant cette famille qu’elle était néanmoins sincèrement ravie de pouvoir rencontrer. Ainsi avait-elle simplement répondu aux questions de Claude, se sentant par ailleurs bien plus en confiance face à lui qu’avec le second frère de la charmante brune. Est-ce ces haussements de sourcils, qui me rassurent ? Ces traits, en lui, que je reconnais puisqu’ils sont les tiens. Benjamin quant à lui ressemble plus à Jeanne, d’après moi. Et bien que je retrouve quelques unes de tes caractéristiques physiques chez ta sœur, je ne parviens pas à te retrouver en lui, sans doute son aura me laissant-elle quelque peu plus sceptique, méfiante. Ahh, oui, je vois. Et cela vous a plu ? »Son sourire s’étendant quelque peu un instant, Ludmila adressa un furtif regard complice à son ex-conjointe avant de se tourner à nouveau vers son frère ainé, s’apprêtant à répondre – ses lèvres s’entrouvrant avec enthousiasme – lorsque Benjamin s’immisça dans la conversation, ajoutant son grain de sel d’une manière bien moins agréable. Ainsi ne manquait-il pas de reprocher à Dominura ce que la jeune psychologue avait redouté un instant avant de répondre, à savoir le fait qu’elle ne soit pas passé les voir il y a deux ans, lorsque toutes deux étaient venues dans la région. Evidemment, il ne pouvait pas réellement savoir. Etait-ce légitime de sa part, que de s’en prendre ainsi à sa sœur ainée ? Dans un sens, peut-être un peu, oui. La belle française n’avait pas fait réellement d’effort pour les voir, à l’époque. Mais – ne sachant rien de sa situation à l’époque – il n’avait certainement pas à l’agresser ainsi, devant tout le monde. Sentant la main de Dominura se refermer plus douloureusement sur sa cuisse – Ludmila ne pouvant contenir un léger froncement de sourcils, très furtif, lorsque sa peau pincée réclama un peu plus de liberté – elle ne manqua pas de laisser glisser ses doigts entre ceux de sa belle, la faisant ainsi quelque peu lâché prise, tout en gardant sa main fermement liée à la sienne, la soutenant face à ces reproches, quelque peu gênants pour l’une comme pour l’autre. En ce même temps, le regard de la jeune Russe s’était vivement retourné en direction du provocateur, son sourire se perdant en un haussement de sourcils proche du dédain, sentant une certaine amertume l’envahir aux mots crus qu’elle venait d’ comprends, que tu puisses être en colère contre elle. Je sais, comme cette attitude de sa part a pu vous blesser, tous autant que vous êtes. Mais sais-tu que ça n’était à cette époque pas du tout le moment pour elle de vous affronter ? Nous voulions nous retrouver, seules. Dominura avait besoin de vacances, de calme – Et non de ces reproches que tu lui imposes aujourd’hui, enfantin. Sais-tu, que nous avions vu Jeanne quelques jours avant notre départ, et que cela avait provoqué chez elle une crise dont je me souviendrai très certainement toujours, traumatisée ? Sais-tu, ses larmes, ses troubles, et ces profondes griffures qu’elle s’est elle-même infligée ? Ca n’était pas le moment. Et si elle est plus disposée à présent à vous revoir, j’ose espérer que cela n’influera pas sur son bonheur à venir. Je ne le pardonnerai ne laisserai rien passer,Sans vous faire payer.♠Heureusement pour tous, Claude fût le premier à reprendre la parole, quelque peu réprobateur quoique que faisant en sorte que la bonne humeur persiste. Reconnaissante face à cette sagesse certaine, la jeune Russe se tourna à nouveau vers ce charmant homme, lui adressant un sourire calme mais sincère, avant de se tourner quelque peu vers sa belle, soucieuse. Adressant un regard doux et rassurant à cette dernière – non sans être touchée par la rage qui se lisait à présent sur son visage, qui alors détournait son regard – Ludmila n’eut d’autre choix que de se tourner à nouveau vers Claude, répondant à la question de ce dernier avec calme, bien qu’on puisse lire une certaine impatience dans sa voix, indiscutablement due aux remarques de Benjamin. Oui, elles étaient bel et bien allées à la plage, et cela avait été un voyage magnifique, mémorable. Ainsi les conversations purent reprendre plus tranquillement, Ludmila y participant quant quelques mots anglais venaient s’adresser à elle, toujours très polie, irréprochable. Quelques minutes, et le futur marié ne tarda pas à lever son verre, la jeune Russe le regardant avant de sentir le visage de sa belle se rapprocher du sien, un frisson la parcourant tandis que sur son sourires ses dents venaient mordiller un coin de sa lèvre inférieure, malicieuse, indiscutablement attirée mais restant quand même sur la retenue afin que seule Dominura ne puisse le déceler. Bien, bien. Edward avait l’air décidemment bien sympathique. Un homme simple, sans doute signe de confiance, n’est-ce pas ? Un regard à Jeanne – sereine vis-à-vis de ce mariage – et la jeune Russe se tourna à son tour vers son amie, tendant son verre afin de trinquer tout en accrochant sensuellement son regard, ses lèvres imitant celles des nombreux français autours de cette table - Santé !Oh, son accent anglais ressortait bien – adorable – mais au fond, cela n’avait pas tant d’importance, puisque l’intention y était. Ainsi, la belle blonde parvint à se détendre quelque peu, devant néanmoins lâcher la main de son aimée à un moment donné, le plat ayant été fraichement servit. Ainsi ne manqua-t-elle pas de se délecter de la délicieuse cuisine française qu’elle n’avait pas souvent l’occasion de goûter, malgré les quelques préparations que Dominura lui avait concoctés, il y a déjà bien trop longtemps à son finalement un morceau de pain – intriguée puisque n’ayant jamais réellement goûté la fameuse baguette française – Ludmila sentie alors la frêle main de Dominique venir se poser sur son bras, un frisson angoissé la parcourant sur le coup. Un élan, de son cœur, alors qu’une petite crise de panique la prenait Que veut-elle ? De toute évidence, la jeune Russe redoutait quelque peu les confrontations avec la mère de Dominura, sachant cette dernière malade et n’ayant sincèrement pas envie de lui donner une mauvaise impression. Ainsi restait-elle quelque peu distante depuis le début du repas, intimidée par cette femme sans qui elle n’aurait pu connaître l’amour de sa vie. N'auriez-vous pas vue Christophe ? Il était là il y a un instant... »Se sentant prise d’une sueur froide, Ludmila ne pu empêcher ses lèvres de s’entrouvrir quelque peu, son regard fixant avec attention celui de Dominique, ne sachant trop quoi lui répondre, sur le coup. Avait-elle vu ce fameux Christophe quitter la table ? Christophe était le père de Dominura, n’est-ce pas ? Et le mari de cette femme, adorablement touchante, mais entrainant chez la jeune Russe un sentiment de peine à lui en serrer le cœur. Que répondre, à cette si charmante femme, si gentille ? Comment lui dire, que son mari n’avait jamais été parmi eux, autours de cette table ? Non, mieux valait-il ne rien dire, au fond. Posant finalement tout ce qu’elle avait dans les mains sur la table, Ludmila se tourna plus clairement vers celle qui avait été sa belle-mère pendant un moment – peut-être sans même le savoir – prenant sa main dans les siennes tout en continuant à s’accrocher à son regard, lui adressant un sourire doux tandis qu’elle prenait sur elle pour retrouver son sang froid - Oui, il me semble qu’il est sorti de table il y a une seconde, pour aider. Etait-ce mal, que de mentir ? Après tout, mieux valait-il cela que de laisser cette pauvre femme dans l’attente – ou pire – de lui laisser entendre qu’elle devenait complètement folle, puisque son mari n’était plus depuis bien des années. Ainsi, on ne peut plus souriante, la jeune psychologue releva quelque peu la main de Dominique dans les siennes, y posant les yeux un instant avant de retrouver le regard de cette charmante femme, lui laissant entendre d’une tendresse sincère et adorable, une brillance complice se lisant dans ses yeux - Vos mains sont magnifiques – Je sais à présent de qui votre charmante fille tient les siennes. Laissant finalement Dominique reprendre sa main – quoi que ne l’ayant forcé d’aucune manière à accepter ce léger rapprochement – Ludmila vint alors chercher la main de sa belle sous la table, laissant ses doigts s’accrocher fébrilement aux siens, quelques tremblements nerveux la prenant alors. Avait-elle bien fait ? Dominique l’avait-elle seulement comprise ?Je ne sais pas réellement si ma réaction a été la bonne, tu si je sais m’y prendre à merveille avec de parfaits inconnus, sans doute suite condamnée à douter en ce qui vous concerne, toi et ta famille. Vous n’êtes pas ces inconnus. Et je ne peux agir de la même manière, même si – au fond – cela m’arrangerait bien, me facilitant la tâche. Non. Il ne faut pas, ou sans doute passerais-je pour cette insensible que j’ai si souvent été, incapable de sentiments humains, de mère me touche. Et je n’ose imaginer sa peine, tandis que la simple idée de te perdre à jamais me donne la nausée. Et s’il t’arrivait quelque chose, Dominura ? J’en mourrai. Ta mère a été bien courageuse, restant très certainement pour veiller sur toi, Jeanne et vos frères. Mais je comprends sa peine, la ressens sans mal. Tu as les yeux de ton père, n’est-ce pas ? Je me souviens cette photo. Est-ce pour cela, que cela est si dur pour elle, comme pour toi ?Et ma main libre porte à mes lèvres mon verre de vin,Les tremblements cessant, tandis que je renforce doucement notre suis tout de même heureuse d’être ici, avec ce même si je suis terrorisée,Là, au plus profond de vois-tu seulement ? ~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 113 La grande femme qu'était Dominura n'avait pas cessé de participer au repas dans la meilleure humeur possible, mais les paroles de sa mère ne manquèrent pas de lui parvenir, occasionnant un affreux frisson en son for intérieur tout comme en son dos, son regard passant sur son voisin d'en face, soit Claude, qui lui fit signe, d'un regard, de ne pas prendre en compte les paroles de Dominique, connaissant bien trop sa soeur pour risquer de la perdre encore une fois pour de tels propos dont la fréquence risquait le renouvellement pas faire concentrer... Sur le plat, oui, sur le même s'en rendre compte, et dans toutes les convenances de la bonne table, Dominura descendit son verre de vin, tentant des regards positifs sur ses frères, sa soeur cadette, ainsi que les autres invités de la table, pour le moins joyeux. Mais au fond, elle continuait de sentir auprès d'elle une aura comme oppressante. Pas celle de Ludmila, non, qui répondait à sa mère dans un ton pour le moins calme - Bien que mentant du plus profond d'elle-même - ni même celle de Dominique d'une tendresse adorable, mais comme quelque chose de déplaisant, gênant, inexpliquable, qui lui tordait le ventre et retournait les nerfs, prête à la faire exploser, soit du côté des larmes soit du côté de ses colères froides, depuis longtemps calme. Du calme, du calme, sur... Oh oui, cette viande, dans ton ce vin, rouge, si bon, que tu viens de a t-il pas meilleur repas ? Oh non non non, un bon repas de la au fond, et d'exterieur également, ses mains tremblaient dangereusement, mains qu'elle cacha rapidement sous la table, devant le regard fixe de son frère cadet, Benjamin, qui ne loupait rien de la scène, peut-être d'une lueur malsaine, jaugeant sa soeur au ne s'est pas levé de table, Ludmila. Il n'est pas sorti de nos rangs pour aider. Il ne s'est pas levé, il n'a jamais été parmis nous. Il n'a jamais été là, et ne le sera jamais, plus jamais. Mon père n'existe plus depuis très longtemps, a part peut-être dans nos songes, dans les miens, de ce visage déformé par la mutinerie de l'accident. Ces yeux verts sombres, comme les miens, me fixant larmoyants tout en me priant de le sauver, de le ramener auprès des membres de sa famille, à moi, du haut de ma petite dizaine d' père n'est pas parti de père n'a jamais été là, ni pour mon premier mariage, ni pour celui de ma père n'a jamais siégé auprès de celui d'EdwardIL N'EST EN RIEN SORTI DE TABLE POUR AIDER !!Fermant les yeux pour essayer de chasser en elle toutes ces paroles qui tournoyaient dangereusement dans son esprit, la grande femme attrappa son verre à pied rempli d'eau, rouvrant les paupières sur un Claude on ne pouvait plus calme, ne comprennant pas même - Dans son oppressant tiraillement d'esprit - que tout le monde à cette table puisse être aussi serein à un moment pareil, complètement abandonnée à ses ressentis premiers, terribles. Alors que Dominique retrouvait ses mains, souriant à Ludmila et lui répondant avec douceur qu'elle était ravie de voir que sa fille avait si charmante amie, si jolie et respectueuse, l'illustratrice sursauta en sentant les doigts de la belle russe revenir aux siens, légèrement tremblants. Je sais, Ludmila, que tu es heureuse d'être là en ma compagnie. Mais alors que mes pensées ne sont plus du tout axée sur ma gêne de devoir t'imposer ce genre de choses de part mes relations avec ma famille, j'entends, venant d'à côté de toi, des propos qui me touchent d'autant finalement, s'était bien décidée à se lever de table, là, comme si de rien n'était, rajustant par ailleurs son étole avant de regarder Dominura droit dans les yeux, elle qui avait malencontreusement croisé son regard. Figée sur place, la dessinatrice laissa ses lèvres s'entrouvrir alors que de celles de sa mère fusaient quelques mots"Restes-là ma chérie, je vais voir où Christophe est allé."Ses yeux vrillant sur sa mère qui s'était alors levée, Dominura tourna vivement la tête vers Claude, visiblement déconcertée et purement déstabilisée par la situation, avant de croiser le regard de Ludmila, se levant ensuite d'un bond, sa voix tonnant d'un seul coup dans la pièce tandis qu'elle tremblait de tous ses membres"Maman, où est-ce que tu vas ?!Papa n'est pas ici ! Mon père n'a jamais été présent aujourd'hui !!"Mais alors que Dominique se rasseyait, un sourire lui revenant alors sans peine, elle laissa entendre, d'une voix fluette et sans tristesse"Ah oui c'est vrai, oh suis-je bête !! Mais où avais-je la le monde trouve le repas à son goût ?"Et les conversations reprirent, tout autour d'une Dominura complètement laissée à ses propres élans, tremblant toujours, le coeur battant à tout rompre en un rythme infernal. La tête lui tournant, les larmes lui venant alors aux yeux, elle tourna les talons comme définitivement, quittant la pièce à grands pas dans un sanglot déchirant, la plupart des invités ne s'en rendant par ailleurs même pas compte, trop prit dans leurs nouveaux débats. Cependant, l'évènement ne manqua pas de parvenir à Benjamin, qui laissa entendre un éclat de rire semblable à un court "Ha !" partagé par sa femme, ainsi qu'à Claude, plus troublé, qui se leva alors à son tour, sa chaise raclant le sol tandis qu'il déposait sa serviette damassée à côté de son assiette, son regard croisant celui de Ludmila afin de la rassurer et de la sommer de ne surtout pas se lever de table "Excusez-moi."Les pas de ce frère ne tardèrent pas à retrouver ceux de Dominura, quelques pièces plus loin, Ludmila laissée à la table en compagnie des autres invités et de la mère Romley qui lui proposait alors d'une voix chalereuse et plus vive encore qu'auparavant, comme débarassée un instant de tous démons "Un peu plus de légumes Ludmila ?"~L'entrevue entre Claude et Dominura ne fut pas des plus brefs, durant un peu plus d'un quart d'heure. Ainsi, lorsque le jeune homme revint s'asseoir à table, tout le monde était déjà passé au fromage et ayant été débarassé de son assiette. Le regard sombre du frère Romley croisant à nouveau celui de Ludmila, il lui fit comprendre silencieusement que la grande femme serait bientôt de retour et qu'il ne serait pas utile d'aller la chercher. En effet, un bruit de talons ne tarda pas à se faire entendre, venant de la pièce d'à côté jusque dans la grande salle à manger, Dominura revenant de ses émotions non sans peine. Un pas un peu trouble, un sourire un peu vague, et elle s'assit à nouveau, prennant en pleine face le regard pénétrant de Benjamin, avant qu'elle ne détourne le regard, n'osant pas même croiser celui de Ludmila. Finalement, d'une main tremblante, elle désigna la corbeille de pain présente non loin de là et demanda à la jolie blonde, dans un sourire encore un peu tremblottant "Tu peux me passer un morceau de pain Trésor ?"Leurs regards se croisèrent, un instant. Et je te souris, bien que je sois encore ébranlée par les savais bien, que ce n'était pas une très bonne idée que je vienne à ce mariage. Finalement, peut-être aurais-tu préféré venir seule ? Voir Jeanne, entrer dans ce cercle, là, autour d'elle, occupé à parler de montres et de leur lien visuel ne dura pas bien longtemps, une voix arrivant du bout de la table, de Jeanne elle-même, qui s'exclamait alors, un peu irrespectueuse des conventions et des conversations des autres"Ludmila !! Ça faisait longtemps hein ? Tout le monde, je vous présente Ludmila, pour ceux qui ne la connaissent pas ! C'est une que penses-tu du cadre ? C'est parfait non ?"Un grand sourire, avide de luxe et de grand sourire, sans doutes sincère, mais sans gratitude pour tout ce qui l' grand sourire, qui manquait peut-être à DominuraSourire ?L'illustratrice pourrait en avoir retrouvé le sien,Sous les yeux de quelques rares personnesQui en ont déjà percé le secret♠ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 257 Ne sachant trop si elle n’avait pas eu tors de mentir ouvertement à la mère de son ex-conjointe, Ludmila due bien rapidement se rendre à l’évidence lorsque cette dernière se leva, décidant d’aller voir où était réellement son mari, et ce après avoir croisé le regard de sa fille. Non, ça n’était pas une bonne idée. Sentant son cœur s’emballer lorsque la main de Dominura lui échappa, la jeune Russe pu alors assister à une scène relativement douloureuse pour elle, comprenant donc que Dominique avait l’intention de rejoindre le père de Dominura, tandis que cette dernière s’était levée d’un bon, quelques paroles tonnant dans la salle à manger, dont le sens pu seulement être devinée par la charmante blonde. Perdant tout sourire – quelque peu plus pâle que précédemment – Ludmila n’osa alors pas réellement regarder Dominura dans les yeux, passant de Claude à Dominique qui – sans grande peine – venait d’adresser un nouveau sourire et quelques paroles d’une voix des plus adorables à sa fille que j’ai ma faute, n’est-ce pas ?Est-ce que tu m’en veux ?Ses lèvres s’entrouvrant d’une angoisse nouvelle lorsque les conversations reprirent, alors même que Dominura n’était pas elle-même à nouveau assise, la jeune Russe cru se voir défaillir lorsque cette dernière tourna les talons – les larmes aux yeux – et quitta rapidement la pièce. Ne sachant trop comme réagir, la belle blonde se tourna tout d’abord vers Benjamin, qui venait tout juste de laisser échapper un léger éclat de rire, comme si la situation avait quelque chose d’amusant. Lui adressant un regard noir – quelque peu prise de panique – la jeune femme chercha alors du soutien du côté de Claude, qui quant à lui se voulait plus compréhensif, s’excusant alors tout en lui faisant simplement comprendre qu’il allait de ce pas retrouver sa sœur, qu’elle ne devait donc pas bouger de sa peu gênée par cette décision envers laquelle elle n’avait aucun contrôle, la jeune Russe due alors bien se faire à l’idée de rester seule autours de cette table, laissant le frère et la sœur s’entretenir en paix. Evidemment, Ludmila aurait préféré prendre la place de Claude, et rassurer elle-même cette femme qu’elle aimait tant. Mais dans ces circonstances, mieux valait-il alors que ce soit un membre de sa famille, Dominura ayant sans doute bien plus besoin de ce genre de soutien que du sien. Ainsi Ludmila resta-t-elle sagement à table, se tournant vers Dominique lorsque celle-ci lui proposa à nouveau des légumes. Ayant a vrai dire perdu tout appétit suite à ces évènements, la jeune femme se força à un sourire calme mais sincère, laissant son sombre regard passer avec sympathie mais gène sur le visage de cette charmante dame. Finalement, elle ne tarda pas à refuser poliment la proposition, fuyant quelque peu son regard par la suite, ce dernier se perdant un instant sur les plats où de nombreux restent trônaient d’ores et vague rancœur s’installant en elle vis-à-vis de toute cette famille - bien peu intéressée par le départ prématurée de la belle brune – la jeune femme pria alors pour que personne ne vienne à nouveau lui poser des questions, ses songes prenant malgré elle le pas sur sa bonne humeur et son désir de s’intéresser à ceux qui l’entouraient. TicTacTicTacOù es-tu, Trésor ? J’aimerai être avec toi. J’aimerai ne pas être la cause de ce nouveau trouble en toi. Je n’aurai jamais dû dire ça à ta mère. J’aurai dû me taire, n’est-ce pas ? Je m’en veux. J’ai honte. Pourrais-je au moins te regarder à nouveau dans les yeux, lorsque tu me reviendras ? Je sens les miens briller de quelques larmes, tandis que je fuis le regard des autres, n’entendant plus qu’à peine leurs voix, étouffées par mes propres pensées. Tu m’as laissé. Je sais, que je ne devrais pas t’en vouloir. Mais tu m’as laissé là, seule. Et maintenant ? Je jalouse ton père, qui a la possibilité d’être là pour toi, à tes côtés. Oui – C’est bien. C’est bien pour toi. Je m’en persuade, tandis que mes mains tremblent, mon cœur frappant ma poitrine et menaçant de me faire me lever à mon tour, quitter cette table où je ne me sens pas réellement à ma Tu es bien trop occupée avec tes cousines, pour te soucier de ce qu’il s’est passé, n’est-ce pas ? T’en es-tu seulement rendu compte ? Je ne sais pas. Mais te regarder me rassure, tandis que tes sourires réchauffent mon cœur, me redonne une once d’envie de rester. Je suis venue pour toi, et je resterai. Mais combien de temps encore ta sœur va-t-elle me faire attendre ? temps était long – très long – pour la charmante intruse. Mais finalement, Claude fut le premier à revenir à table, adressant à Ludmila un regard qui ne la rassura finalement pas réellement, bien qu’elle l’apprécie. Y répondant donc seulement d’un simple et furtif sourire, la jeune femme se sentie défaillir à nouveau à l’entente des talons de Dominura derrière elle, n’osant qu’à peine la regarder lorsque celle-ci fut de nouveau installée. Son regard se posant une seconde sur elle, la jolie blonde ne tarda pas à fuir lorsqu’elle sentie qu’elle était sur le point de croiser celui de son amie. Attrapant pour elle un morceau de pain, Ludmila le luit mit dans la main, ses doigts venant frôler les siens tandis qu’elle prenait enfin sur elle pour la je ramène ma main jusqu’à moi, incapable de dire quoi que ce soit. Je te regarde – un instant – troublée et sans doute plus distante que je ne l’aurai voulu. Parfois, je ne sais plus qui tu es, Dominura. Je te regarde, mais ne te reconnais pas. Est-ce la jalousie, qui me pousse à me fermer ainsi ? Je sais, que je ne devrais pas. Mais il me semble que tu n’as plus besoin de moi, parfois. Ainsi, j’aimerai plutôt fuir, que de rester à tes côtés, à souffrir de ne pas être celle qui puisse te rassurer, à chaque instant. Je sais que tu n’y peux rien. Ou peut-être que si ? J’imagine que j’aimerai que tu lises en moi, avant même de penser par ne te mérite pas.~Ayant finalement finit par fuir à nouveau le regard de son ex-compagne, Ludmila ne tarda pas à être surprise par le brusque intérêt de Jeanne pour elle, cette dernière la présentant de telle sortie que la jeune Russe ne put être que d’autant plus mal à l’aise à cette table. Se sentant pâlir quelque peu tandis que de nombreux regards se posaient à présent sur elle, la jeune femme tenta néanmoins d’esquisser un léger sourire – sans grande conviction – répondant d’un simple hochement de tête positif afin de répondre à la question de Jeanne. Oui, c’est parfait. Mais pourquoi m’affiches-tu ainsi, maintenant ? Je préfèrerais te voir seule, et tu le sais donc un léger regard mi-gêné, mi-réprobateur à la future mariée, Ludmila constata avec soulagement que l’assemblée fut aussi rapide pour faire dévier l’attention qu’au moment où Dominura s’était levée pour quitter la table. Ne voulant néanmoins pas laisser Jeanne en plan, la jeune Russe lui offrit alors un sourire plus calme, un très léger clin d’œil complice s’y ajoutant pour lui faire comprendre que tout allait bien, mais qu’elle préférait qu’elles se parlent seule à seule – ou avec Dominura – plutôt qu’à cette distance l’une de l’autre, avec tout ce monde pour les est parfait. Absolument parfait. Mais est-ce réellement important ? Toute ta famille est venue pour toi. Dominura est venue pour toi. Et ce luxe, cette perfection. J’imagine que cela a dû couter une fortune, pas vrai ? Peu importe. Je ne veux pas me mêler de ça, au fond. J’aimerai seulement – pour l’instant – pouvoir me calmer, et oser regarder à nouveau ta sœur, sans sentir mon cœur se déchirer d’un sentiment que je ne parviens pas à comprendre désolée, vexée, en colère ? J’aimerai me blottir dans ses bras, et être certaine qu’elle ne m’en veut pas. Mais sans ça, comment avancer ? J’ai peur. J’aimerai que le dessert arrive au plus vite, sans doute suivit du café. J’aimerai que ce repas se termine, et que les autres invités se joignent à nous, ne me laissant plus seule amie parmi cette grande famille. Je suis désolée, d’avoir dis ça à ta d’être ainsi égoïste, de ne pas pouvoir te regarder,Alors que peut-être en as-tu encore n’ai pas n’ai pas suis toujours si faible,Lorsqu’il s’agit de toi. ~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 1233 Mes raisons sont compliquées, je doute de pouvoir les expliquer, je doute de pouvoir assez laisser voir pour que l'on comprenne. Malheureusement, une chose vient face à moi, plus fort que mon contrôle, et voilà que j'en pars, heureusement bientôt rattrappée avant que je n'aie pu me faire un quelconque mal. Cette belle robe vert anis n'aurait pas été très belle avec quelques plaies supplémentaires, n'est-ce pas ? Mon dos est déjà assez lacéré... Ma peau assez brûlée. Je n'en veux ce fut Claude, et non Ludmila, qui put rejoindre Dominura afin de la calmer et de la faire revenir à table. De son côté, la grande femme n'avait rien demandé à personne et s'était retrouvée bien dépourvue face à son frère, les larmes coulant sur ses joues tandis qu'elle demandait la présence de Ludmila, chose que Claude refusa - Peut-être pour son bien - lui laissant entendre que son amie était très bien à table et n'avait pas à se lever pour ce genre de choses, selon le respect et les convenances qui étaient de mise en un jour pareil. Par ailleurs, il ne manqua pas de souligner le caractère indigne de Dominura, qui avait osé ainsi troubler le repas, cette dernière rispostant, tremblante, que cela ne venait pas d'elle, à la base - Ce qui n'était pas tout à fait m'enferme dans ces justifications qui ne sont pas m'y enferme, alors que je ne voudrais qu'être seule,Me faire mal ou bien me faire ?Non, pas tout à mon frère, retourne donc à table... Je voudrais Ludmila. Ludmila, Ludmila, petit chat... Où es tu ? Pourquoi n'es-tu pas à mes côtés ? Mon mal t'es égal, n'est-ce pas ? Tu es venue ici pour ma soeur, au départ. Alors... Que je sois là ou bien non t'indifère, n'est-ce pas ? Sentant monter en elle une bouffée de sentiements attroces et si peu justes - Tout en en étant un tout petit peu consciente, au fond, sans pouvoir réellement en avoir le contrôle - la grande femme détourna une fois de plus la tête du regard sombre de son frère, lui sommant de la laisser tranquille "Je vais partir. Je n'ai rien à faire ici.""Dominura !! Je te l'interdit."Finalement, la dispute se fut plus dure et froide que cela, les exclamations fusant, celles de Dominura ne manquant pas d'être plus mauvaises et décalées, de par son desespoir et sa grande peine. Heureusement, étants partis relativement loin, rien ne fut entendu depuis la salle à manger, pour le plus grand bonheur des gens à table qui continuaient leurs conversations dans l'humeur la plus conviviale possible. Raideur. Secheresse. Affrontements. Aggressions. se termina cependant par la victoire du dur Claude, Dominura fondant en larmes et acceptant finalement ses bras comme réconfort, en une chaleureuse étreinte de ce frère qui - Elle le savait, au fond - ne voulait que son bien. Allait-elle ainsi revenir à table, alors que son frère la rassurait une bonne fois pour toutes de leur lien et de la capacité de Dominura à surmonter tout cela ? Oui. Dominura ne partirait pas."Allons-y Chouchou. Tout le monde nous attends...""Ne m'appelles pas comme ça, Claudio...""Oh non, pas ce surnom-là ! J'aurais prié pour que tu l'oublies, depuis le temps !"Un léger rire, de la part de la grande femme, et elle lâcha les contacts physiques qu'elle avait pu avoir avec le grand homme. Finalement, alors que leurs yeux se croisaient, ceux tristes de l'illustratrice contre ceux plus profonds et calmes de son frère ainé, Dominura laissa entendre, passant une main souple sur le bras de son interlocuteur si persistant "Vas-y le premier, je te rejoins dans quelques à Ludmila que tout va bien..."Et mon regard fuis, tandis que le tien m'approuve mes voeux. Ainsi, tu feras cela. Merci, Claude.~Dominura retournée à table, l'ambiance pour elle ne fut pas des plus plaisantes, à vrai dire. Et si son frère avait déjà été réintégré aux conversations, la grande femme, de son côté, semblait avoir tout perdu, y compris le contact avec Ludmila et ses échanges de regards. Comment faire, alors, tandis que son coeur semblait se déchirer de toutes parts ? Elle n'arriverait sans doutes jamais à s'excuser. Prennant sa serviette en tissus damassé entre ses doigts, elle commença alors à la tordre nerveusement, tentant de faire à nouveau bonne figure auprès de tout le monde, la plupart des invités lui souriant également sans tenir compte des Ludmila, qu'ais-je fait ?Est-ce que tu m'en veux ? Sans doutes ne voudras-tu plus te retrouver seule avec moi, comme l'on le désirait signe, ne serait-ce qu'un m'abandonnes-pas...Passant sa main sous la table, la grande femme ne fit que la poser sur la cuisse de son ex-conjointe, uniquement pour lui assurer sa nouvelle présence, tandis que le dessert était servi, suivi du café. Ces deux parties du repas ne manquèrent pas de s'en trouver fort jolies et délicieuses, clôturant alors cette invitation de famille et libérant les convives. Evidemment, tout le monde ne manquerait sans doutes pas de participer à la préparation du mariage, Jeanne venant d'ores et déjà prendre pour elle les deux jeunes femmes, aggrippant sans attendre les mains de Dominura et offrant aux NewYorkaises un regard brillant"Vous venez avec moi ?!J'ai des choses à vous dire... !"Hop, hop, hop, ni une ni deux, et les jeunes femmes furent entrainées - Peut-être malgré elles de primabord - dans les couloirs du petit château, avant de se retrouver seules avec Jeanne, aux anges, qui ne manquait pas de dévorer sa soeur du regard, émue, avant de reporter ce dernier sur Ludmila, un peu moins avide et bien plus amical, alors qu'elle se mordillait la lèvre inférieure, d'impatience. Finalement, elle sembla exploser, disant alors"Dominura... Je voudrais que tu sois mon témoin !!"Et ta signature, sur le contrat de mariage, et ta voix, pour moi, dans cette eglise dans laquelle je vous entrainerai surprise par le voeu de sa soeur cadette, ne fut pas sans en hausser les sourcils, entrouvrant la bouche, avant de balbutier qu'elle ne pourrait certainement pas faire une chose pareille, ne connaissant sans doutes pas assez le si charmant couple"Mais si mais si, tu seras parfaite... Tu prépares un discours hein ?!Et toi Ludmila... !"Elle se tourna alors vers Ludmila, les yeux brillants"Tu viens m'aider à mettre ma robe, avec Nathalie et AbyGaëlle ?! Oui ???Désolée Dominura, tu ne peux pas voir ça... C'est une surprise !"S'avançant alors vers sa soeur, elle lui offrit un bref baiser, là, sur la joue, non loin des lèvres, Dominura ne manquant pas de s'en reculer d'un pas, quelque peu déconcertée par ce contact avec cette femme dont elle ne semblait être la soeur que depuis peu, en fin de compte. Du côté de Jeanne, cela lui avait fait un prétexte d'or pour se rapprocher un peu plus de Dominura, et elle n'était pas sans en jubiler interieurement, ses lèvres semblant alors lui picoter, comme paralysées, alors que son coeur avait fait un bond dans sa poitrine, n'aidant pas son euphorie."Allez viens Ludmila !"Et je te prends la main, laissant cette soeur que j'aimerais davantage voir derrière suis obligée, n'est-ce pas ?Oh, tu la reverras bien après ! Hi hi hi !!Nous la verrons ensuite, oui, car tu sais, à quel point j'en ai la veux, veux cette soeur qui me semble encore trop loinJe veux cette soeur que je ne connais peut-être pas assez mais qui me fascine, comme me promettant les secrets d'une vie que je ne connais bonne opportunité, n'est-ce pas ?Aujourd'hui, c'est ma m'est permis - Je ne m'en garderai Ludmila, jolie princesse. Garde donc un oeil sur elle. Je pourrais bien te la voler En attendant je t'entraine, passant prendre mes cousines au passage, dans cette chambre qui était déjà la mienne tout à l'heure, que tu as déjà vue. Ma robe est là, trônant comme celle d'une reine, alors que mes yeux brillent seulement de la voir. Arrivée dans la pièce, Jeanne se tourna vers Ludmila, lui tendant une chute de tulle bleu clair, lui demandant, d'un haussement de sourcils bien plus proche de ceux de Benjamin que de Dominura et Claude "Tu crois que tu pourras porter ça sans que cela ne jure avec ta tenue ? Tu va te débrouiller ?"Un sourire, un clin d'oeil Oui, je suis sûre que c'est possible pour bien !Allons-y ?Je ne veux pas penser aux choses tristes,Je nie le désespoir de ma soeur, ma soeur que je ne voudrais pas dans cette je n'ai rien loupé de ce qui s'est passé à table,Si seulement je pouvais dire les en ce jour est ma journée, et je le fais bien comprendre de toutes ces richesses, ôtant ma robe pour enfiler les premiers jupons de ma robe, aidée par les mains de mes cousines, riant aux éclats"Olàlà... !! J'ai l'impression d'aller à mon couronnement, comme si j'étais dans un livre de Râ !"Nathalie ne fut pas sans en rire doucement, se souvenant bien du livre en question, l'ayant feuilleté maintes fois pour les merveilles des un regard, de Jeanne à Ludmila. Viens, viens, jolie Ludmila. Racontes-moi, ce qu'il se passe entre vous. Raconte-moi, comment tu as pu retrouver ma soeur, tandis que je ne l'ai jamais pu. Raconte-moi, alors que la jalousie se pose, me faisant quelque peu accepter que c'est toujours en toi que je mettrai toujours mes espoirs concertant est-elle, avec toi ?Est-elle amoureuse ?Et toi...L'es-tu ?Amoureuse... D'elle. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 1507 Je ne peux pas te regarder, Dominura. Je ne peux pas. Qu’as-tu dis, à ton frère ? Et lui, que t’a-t-il dis ? J’aimerai tout savoir, jalouse et honteuse de l’être, incapable de me raisonner sincèrement. Mon cœur s’emballe, repoussant ma raison, repoussant jusqu’à même mon soulagement, te concernant. Je ne voulais pas te laisser partir, ni même que ton frère m’empêche de te rejoindre. Ne serait-ce pas alors à lui, que je devrais en vouloir ? Sans doute. Et pourtant, ma rancœur se porte un instant vers toi, tandis que je ne parviens pas même à te regarder dans les yeux. Je tremble, et frémis un instant, lorsque ta main vient se poser à nouveau sur ma cuisse. Fébrile, je porte ma tasse de café jusqu’à mes lèvres, son amertume et sa chaleur parvenant à me changer un instant les idées. Oh, cela faisait bien longtemps, que je n’avais pas touché au café. Au fond, je n’en ai jamais tant bu qu’avec toi. Mais peu importe cela, n’est-ce pas ? Je sais, que tu attends une réponse de ma réponse à ton geste, ce pas, vers moi. J’en suis consciente, oui. L’aurais-je seulement été, lorsque nous étions encore ensembles ? J’en doute. Mais j’imagine que cela n’est pas suffisant Il faut que je surmonte enfin mes attitudes enfantines, que je te montre qu’au fond – et c’est la vérité – je ne voudrai que te serrer dans mes bras, te dire à quelle point je t’aime, et comme j’aurais aimé être là pour toi, plutôt que ton le temps passait, et Ludmila ne parvint pas à trouver la force de seulement poser sa main sur cette de sa belle, restant quelque peu fermée – paralysée – jusqu’à la fin du repas. Ainsi, ce ne fut que lorsque tout le monde commença à se lever que la jeune Russe se rendit compte de son absence vis-à-vis de Dominura, paniquant quelque peu tandis qu’elle parvenait enfin à regarder cette dernière, s’apprêtant à prendre sa main et à s’excuser lorsque Jeanne s’immisça entre elle, toujours surexcitée par ce jour qui était le sien. Croisant le regard brillant de la future mariée, Ludmila ne pu que sourire quelque peu face à tant d’enthousiasme, bien qu’hésitant un instant lorsqu’elle leur demanda de venir. Un regard quelque peu tendu en direction de Dominura pouvait ainsi montrer comme un certain dilemme dans le cœur de la jeune femme, cette dernière ayant voulu parler un peu seule à seule avec son ex-conjointe plutôt que de se retrouver immédiatement avec sa jeune la jolie blonde n’eut pas réellement le choix, Jeanne les attirant bientôt jusqu’à sa chambre. Laissant ses talons claquer le sol au rythme de ceux de ces deux charmantes compagnies, Ludmila ne manqua pas de chercher le regard de son amie, son cœur battant à tout rompre tandis qu’elle se demandait à présent ce que Dominura pouvait bien penser d’elle, cette dernière n’ayant pas même eu le courage de prendre sa main lorsque – sans doute – elle en avait eu besoin. Je n’ai pas voulu réagir ainsi, tu sais. C’est plus fort que moi. Parfois, tu me fais peur. Tes émotions, tes sentiments me font peur. J’aimerais pouvoir lire en toi, et ne plus jamais me poser ces questions qui me rongent, pourtant si futiles, au fond. Est-ce que je veux toujours qu’on ait cette discussion, que je t’ai officieusement promit ? Oui. Mais voudras-tu seulement m’entendre, après ce qu’il s’est encore passé entre nous ? Je ne suis pas Grace. Je ne suis pas une femme calme et posée, qui pourra t’apaiser, te rassurer de je n’ai pas été à la hauteur de ce côté-là la première fois, peut-être ne le serais-je pas non plus une seconde. Ca n’est pas de moi, dont tu as besoin. Dominura… Je t’en prie, il faut qu’on parle, maintenant. Je ne tiens plus. J’ai mal, de me poser toutes ces questions, de m’interroger sur un possible avenir ensemble. Je voudrais savoir, une bonne fois pour toute. ClacClacClacFinalement, Jeanne ne tarda pas à exploser, visiblement on ne peut plus impatiente de demander à Dominura ce qu’elle devait avoir en tête depuis déjà bien longtemps. A cette question, Ludmila ne pu s’empêcher de sourire, se tournant – amusée – vers son ex-compagne, dont elle ne pouvait que deviner la surprise. Que Dominura soit témoin à ton mariage ? Oh, Jeanne ! Tu es adorable, vraiment. Ou peut-être est-ce uniquement un très bon prétexte pour te rapprocher d’elle ? Peu importe Je trouve cette idée formidable. Malgré quelques contestations de la part de la belle française, Jeanne insista – visiblement certaine qu’on ne pouvait en ce jour rien lui refuser – lui demandant même de préparer un discours. Mhm. Pauvre Dominura. Lui adressant un regard d’une compassion tendre et amusée, Ludmila se sentit néanmoins pâlir quelque peu lorsque Jeanne prononça son nom à son tour, se retournant vivement vers elle, se demandant ce qu’elle allait bien pouvoir lui à mettre ta robe ? Mais Jeanne !Oui, en effet, la cadette des sœurs Romley ne tarda pas à dire à Dominura qu’elle ne pouvait pas rester, la charmante Russe sentant alors son cœur s’emballer à nouveau, folle à l’idée que sa belle puisse partir sans même qu’elle n’ait eu le temps de s’excuser pour son attitude lors de cette fin de repas. Assistant donc au baiser que la future mariée offrait au coin des lèvres de sa sœur, Ludmila sentie son ventre se tordre quelque peu d’appréhension, n’ayant aucune envie de quitter à nouveau son aimée – et ce d’autant plus dans ces circonstances. Sentant bien qu’elle devait se dépêcher si jamais elle désirait offrir un léger signe à son ex-compagne, la belle blonde laissa donc s’élancer l’une de ses mains vers celle ce cette dernière, leurs doigts n’ayant le temps que de se frôler – un regard d’excuse et d’un certain désespoir s’y ajoutant – que déjà Ludmila se voyait attirée par Jeanne, cette dernière ayant prit sa main libre avant de la forcer à quitter Dominura. Sans un mot – toujours quelque peu bloquée – la jeune Russe se laissa donc guider jusqu’à la robe de mariée que lui avait d’ores et déjà montrée Jeanne, tentant sans réel succès de retrouver son va bien, n’est-ce pas ?Nous nous reverrons plus je t’en prie, ne nous sépare plus ainsi, par la besoin d’elle. Est-ce égoïste de ma part, une fois de plus ?Sans doute, oui. Car j’ai eu besoin de toi, lorsqu’elle n’était pas étais la seule à pouvoir me rassurer, tandis que je retrouvais son odeur sur toi, quelques traits communs, sur ton visage. Et maintenant, je n’aimerais plus que passer du temps avec elle, quitte à te mettre de côté ?Je n’ai pas le droit de faire ça. Et puis – au fond – je tiens à toi aussi, sincèrement. HopHopBien vite, la belle française – aidée de ses cousines – commença à enfiler les couches inférieures de sa robe, Ludmila se retrouvant avant une chute de tulle bleu dont elle ne savait trop que faire, contrairement à ce que Jeanne semblait penser. Heureusement, sa robe n’était pas colorée ! Le bleu jurerait sans doute un peu, mais bien moins avec du noir et blanc qu’avant tout autre couleur. Ainsi, la jeune femme décida simplement d’en faire un nœud autours de son poignet, en attendant de trouver quelque chose de mieux – ou non. Ne riant pas réellement aux paroles de Jeanne – comme l’avait fait ses cousines – Ludmila laissa néanmoins un fin sourire se dessiner sur ses lèvres, s’approchant quelque peu de la sœur de son aimée, comme celle-ci semblait le lui demander, d’un regard – qui n’était pas sans lui rappeler celui de Benjamin, j’aimerai bien te parler, oui. Que nous puissions tout nous dire, comme lorsque nous étions seules, chez moi ou au téléphone. Parler à cœurs ouverts, et que ces superficialités qui t’entourent aujourd’hui nous laissent un instant en paix. Mais tes cousines sont là, Jeanne. Comment pourrais-je te dire quoi que ce soit, en leur présence ? Ainsi, je leur lance un furtif regard, puis revient sur toi, un sourire en coin se dessinant sur les lèvres, sous-entendu Tu ne veux pas les faire sortir, un instant ? Ou bien, je resterai là – totalement n’aime pas bien, ce genre d’ambiance. Excuse-moi de l’avouer, mais tes cousines et toi êtes purement insupportables, à rire ainsi sans arrêts, dignes des petites pétasses que j’ai bien du mal à côtoyer temps ton sont elles,Ou moi. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 1708 Malheureusement pour Dominura, Jeanne fut plus rapide que son désir de rester un instant de plus avec Ludmila, et aussitôt furent-elles sorties de table et menées à la chambre qu'elle se fit mettre dehors, après avoir été informée qu'elle devrait préparer quelques mots à dire en tant que témoin. Témoin ?! Mais témoin de quoi ? De cette union qu'elle ne connaissait qu'à peine ? De cette soeur qu'elle n'avait jusqu'à récemment jamais vraiment considérée comme telle ? De ces liens dont elle ignorait tout ? Jamais elle n'aurait songé que les épreuves ainsi s'entasseraient, et bientôt se retrouva t'elle à nouveau seule sur le pas de la porte, avec pour seule vision de Ludmila son dernier regard et le frôlement de leurs doigts ses lèvres maquillées devant la clôture de la chambre dont elle ne voyait plus rien, la grande femme dût faire maints efforts encore pour prendre sur elle et faire cesser les battements trop importants de son coeur qui avait déjà dû subir plusieurs attaques douloureuses en ce tout début de journée. Que pouvait-elle faire alors ? Se retirer, à nouveau ? Faire mine basse et s'en aller voir ailleurs ? Tout ce qu'elle avait voulu, c'était quelques minutes en compagnie de Ludmila, lui dire à quel point elle était navrée de ses élans et de son comportement, tout en pouvant-elle même la pardonner de ce qu'elle avait fait à table, consciente que la jeune blonde n'aurait jamais voulu faire du mal volontairement dans ce genre de conditions. Ravalant ses sanglots qu'elle trouvait trop faciles, elle tourna donc à nouveau les talons, ignorant pour le moment la demande de sa soeur cadette quant à son Clac Clac n'avait aucune envie de revoir Benjamin, sa femme et ses enfants. Elle n'avait aucune envie de se retrouver seule face à sa mère. Elle n'avait aucune envie d'ennuyer Claude avec ses elucubrations. Elle n'avait aucune envie de rencontrer à nouveau ses cousins, Edward, et toute la famille d'en face. Juste... bien la avait choisi la à grands pas dans le château, Dominura ne tarda pas à entrer dans les différentes pièces, s'accordant une brève visite. C'est alors qu'elle se retrouva dans un immense et magnifique bureau, où étaient disposés feuilles et crayons, là, abandonnés sur un grand meuble. Evidemment, la connection ne tarda pas à se faire, et elle prolongea ses pas jusqu'à la table, où elle emprunta le matériel, quittant ensuite la pièce. Descendant ensuite les grandes marches du gigantesque escalier, elle passa une fois de plus la porte d'entrée de la demeure, s'abandonnant sur les marches qui y menaient, faisant alors face aux jardins. S'asseyant, elle sortit ses feuilles, son support, et commença à dessiner, là, tout au fil de sa A nouveau ?Elle, qui n'y avait pas touché depuis si longtemps, préférant les mots plutôt que les lignes d'un mon coeur !!Pourquoi me fais-tu tant de mal ?Ludmila n'est pas si loin, non, pas si loin...Mais j'ai tellement besoin d' ses regards, de ses mains, de ses cette séparation impromptue me ne veux pas rester seule plus longtemps...~Du côté de la belle blonde, justement, Jeanne semblait tout à fait euphorique de la préparation de sa cérémonie, ne portant pas réellement attention au fait que son tulle bleu n'ailles absolument pas avec la robe de la psychologue. Oh, au fond, la jeune française savait pertinemment que Ludmila serait là pour elle, et se fichait pas mal pour le moment de se rendre compte ou non qu'elle faisait ainsi du mal à Dominura, croyant sans doutes que sa soeur pourrait bien se débrouiller seule. Cependant, ce qu'elle ne manqua pas de remarquer, c'était le silence de Ludmila face aux cousines. Leur jetant alors un regard océan, la jeune future mariée leur demanda, amusées, si elles pouvaient aller lui chercher ceci et cela, en bas, afin de se retrouver un peu seule avec son amie. Ravies de pouvoir aider, Nathalie et Abygaëlle quittèrent alors la pièce, laissant le champ libre aux deux jeunes femmes. Se tournant alors vers Ludmila tout en ajustant le haut de son corset de robe, Jeanne haussa à nouveau un peu les sourcils, souriant à la jolie blonde"Alors NewYork, ça se passe comment ?"Passant devant la glace, elle prit sa brosse et commença à se coiffer, tout en jetant un oeil à Ludmila via le grand miroir aux bordures d'un doré travaillé"Tu as de nouvelles choses à me raconter ?!"Relevant ses cheveux, elle y passa un peigne à cheveux en argent massif incrusté de jolies pierres bleues, qui, en soi, avait dû coûter une petite fortune, evidemment toute mise sur le compte de la mère Romley qui ne devait pas s'en sortir avec une telle fille, aussi retournant, elle adressa un nouveau sourire à la charmante russe, ajoutant, du haut de son jugement de reine de la journée"Jolie, ta t'en fais pas pour Râ, va, elle pourra bien se débrouiller toute seule, elle est grande non ?"Vous ne mourrez pas pour quelques minutes de elle, ni toi n'avez réellement besoin de ces instants de retrouvailles. En revanche, cette journée est la mienne, et cela me donne sans doutes le droit de t'appeller auprès de moi ou bien de choisir d'être avec qui je veux pour tel ou tel sans qui tu aurais peut-être été perdue, un sans qui tu n'aurais pas eu de nouvelles de Dominura, une fois celle-ci qui au fond n'a jamais cessé de te jalouser, Même aujourd'hui encore,Toi si proche de cette soeur dont j'aurais tant aimé me rapprocher davantage,Toi, de qui je la sépare,Toi, d'un malin sourire.♠ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 1816 Est-ce que tu sais – Dominura – que pour rien au monde je n’aurais voulu te laisser seule à nouveau ? Je n’ai pas eu le choix, tout autant que toi. Il me semble que ta sœur dispose de tous les droits, aujourd’hui. Et cela même aux dépends de ceux qu’elle aime – peut-être – ou qu’elle désire posséder, comme elle peut le faire avec toutes ces richesses, tout aussi superficielles qu’insignifiantes à mes yeux. Un mariage plus simple ne serait-il pas tout aussi heureux ? Oh, cela n’est pas mon affaire. Ainsi, je me contente d’assister – silencieuse – à ces échanges qui en viendraient presque à me donner la nausée. Oui, cette robe est magnifique. Mais encore ? Jeanne l’a sans doute tout d’abord choisi pour se rapprocher de toi, et non pour son esthétique premier. Mais peut-être ne voudrait-elle pas clairement l’avouer ?TicTacOui, c’est ça, partez. Hop. Hop. En un rien de temps, les deux cousines ici présentes se dirigèrent vers la sortie de la chambre, disparaissant dans le couloir afin de satisfaire les moindres désirs de celle qui pour un jour était toute puissante – selon son gré. Ainsi, Ludmila et Jeanne purent enfin se retrouver un peu seules, la jeune Russe sentant son corps se détendre quelque peu tandis qu’elle se dirigeait vers le lit de la chambre, s’y installant avant classe, ses chevilles se croisant tandis qu’elle laissait ses bras s’appuyer autours d’elle contre un matelas des plus confortables. Ne quittant pas Jeanne des yeux, la jeune femme perdit quelque peu son sourire, se sentant plus à même d’être sincère à présent que plus personne n’était là pour les voir. Ainsi laissa-t-elle ses véritables émotions se dessiner sur son visage, à savoir son appréhension quant à la distance qu’il y avait à présent entre Dominura et elle, mais aussi une certaine lassitude face à tant de trésors, entre lesquels elle ne parvenait pas réellement à trouver sa côtoyé ce monde, beaucoup. J’ai pu participer à tes soirées mondaines, rencontrer ces personnes, richissimes, superficiels. Il faut avouer que cela m’a plu – un temps – puisque cela m’apportait des opportunités de carrière considérables, et encore maintenant. Mais bien vite, j’ai pu me rendre à l’évidence Ce monde n’est pas le mien, bien trop superficiel pour être vrai. Bien trop dangereux, en fin de compte. Est-ce réellement cela, que tu veux ? Ca n’est pas toi, Jeanne. Et si comme Dominura tu es habituée à un certain confort, je ne peux imaginer que tu puisses sincèrement en vouloir plus.~Comment ça se passe, à New York ? Tu veux dire… avec Dominura ? Est-ce que j’ai de nouvelles choses à te raconter ? Oh, sans doute, oui. Il s’est passé tant de chose, depuis notre dernier appel. Mais quoi de vraiment notable ? Je ne sais pas. Peut-être pourrais-je te dire que ta sœur et moi tournons en rond, incapable de prendre une véritable décision concernant notre situation commune. Mais cela serait prématuré, que de te parler de choses que je ne parviens pas à comprendre moi-même. Alors je te regarde, un fin sourire se dessinant finalement sur mes lèvres avant que je ne te répondre, plus simple et détendue que depuis mon arrivée dans la cours de ce château, face aux membres de votre si grande famille - Ca va… Je viens de démissionner, j’aurai enfin un peu plus de temps pour moi !Pour elle, tu le comprendras, de ce regard complice que je t’ ce travail, qui sans doute a considérablement participé à l’échec de notre comme se rendant compte de cet important détail, la jeune femme ajouta - Mais n’en parles pas, Dominura n’est pas encore au courant ! Est-ce que tu crois que je me fais des idées, en songeant qu’elle puisse être heureuse de cette nouvelle ? Qui sait. Peut-être s’en moque-t-elle, au fond. Peut-être même n’a-t-elle pas réellement envie de me voir davantage, à New York. Car il est certain – et ce même si je trouve à nouveau du travail – que je passerai bien plus de temps en sa compagnie, tant qu’elle le voudra. Enfin, nous pourrons sortir, ensemble, sans que je n’angoisse d’une prise de retard concernant ce travail envahissant, sans que Meredith ne m’appelle, exigeant ma présence sur le champ, pour une raison ou une autre. Je suis libre, et le serai majoritairement pour Elle. Regardant un instant la belle chevelure blonde de Jeanne, Ludmila sentie un léger frisson la parcourir à la vue de la nuque de la jeune femme, lorsque celle-ci releva ses cheveux afin de les attacher. Pinçant légèrement ses lèvres entre elles – quelque peu honteuse de ressentir l’envie déplacée d’embrasser cette peau si blanche – Ludmila comprit néanmoins bien vite qu’elle commençait tout simplement à tenter de retrouver Dominura en Jeanne, quelque peu frustrée, ces derniers temps. Mais sa raison la ramena bien vite à terre, la jeune Russe souriant pour elle-même, son regard se faisant plus fraternel vis-à-vis de la charmante blonde, qui alors se tournait vers elle, un sourire aux lèvres. Malheureusement, ces quelques instants de sérénité ne tardèrent pas à s’envoler aux paroles de la future mariée, qui alors s’engageait sans une attitude qui ne plaisait guère à Ludmila. Se trouvant déjà relativement tolérante en ce qui concernait le comportement de Jeanne en présence de ses cousines et du reste de sa famille, elle ne s’était pas doutée une seconde que la jeune femme puisse continuer à agir ainsi en sa seule présence. Fronçant légèrement les sourcils quant aux propos de Jeanne – qui alors se prenait pour une reine à décider de ce qui était bon ou non pour tous en ce jour – la jeune Russe laissa échapper un très léger rire sarcastique, se laissant gracieusement tomber sur le lit de la chambre, son regard fixant le plafond en une détermination rancunière. Oui, ma robe est jolie. Très certainement moins chère que le petit peigne qui retient à présent tes cheveux, mais elle me convient parfaitement. Serais-je jalouse de ces biens ? Absolument pas. D’autant plus que j’estime pouvoir me les offrir, si encore je les désirais. Mais toi ? J’imagine que tu n’as pas tout payé, ici. Peu importe. J’imagine que tu me déçois N’étais-tu pas l’une des première, à te soucier de Dominura ? Et maintenant, tu oses ainsi la tourner en dérision, comme si tu ne comprenais pas qu’elle ait bien plus besoin de moi en cet instant qu’à New York ? Oui, elle est grande. Mais cela ne suffit pas toujours, tu sais. Dans ce cas, ne serais-tu pas assez grande pour t’offrir toi-même ce mariage, et enfiler cette robe ? Non, être grande ne veut rien dire, et bien moins encore lorsque cela concerne les émotions et fin soupir, et Ludmila laissa entendre, son regard ne quittant pas le plafond – faute d’autre chose - Tu es d’un égoïsme, aujourd’hui…TicTacD’un seul coup, la jeune femme se redressa, lança à Jeanne un regard quelque peu réprobateur avant d’ajouter, sentant son cœur s’emballer sous ses propres paroles, sincèrement touchée par ce sujet - Ecoute, je suis très heureuse d’être là pour toi, mais tu sais tout autant que moi que Dominura ne devrait pas être seule aujourd’hui. Nous aurions pu parler plus tard, non ?! Tu n’avais pas besoin de moi immédiatement, puisque tes piailleuses de cousines se font déjà un plaisir de te traiter comme une véritable princesse !Peut-être suis-je un peu dur, au fond. Mais ton attitude me déplait, réellement. Je t’apprécie, Jeanne. Mais je ne serai certainement pas de celles qui te laissent tout passer. Qu’est-ce que tu veux de moi, au fond ? Ne suis-je ici que pour attirer l’attention de ta sœur, quitte à la blesser ? Je ne sais plus qui tu es, tandis que ton sourire me dérange. Sommes-nous de nouveau en concurrence ? Aha ! Laisses-moi rire Tu n’as aucune chance, sans un instant les yeux pour se calmer, Ludmila laissa alors échapper un léger soupir, consciente qu’elle s’emportait peut-être un peu vite - Excuses-moi… J’imagine que tu es au moins consciente de ta chance, n’est-ce pas… ?Tu as toute ta famille, et bientôt tes as tout ce conforme, ce cadre des plus plus que tout, tu as ta gâche pas cette chance. ~ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 1900 Continuant de se préparer pour sa cérémonie, Jeanne ne manqua pas de faire attention aux paroles de Ludmila, commentant de quelques mots ses propos, notamment lorsque la belle psychologue laissa entendre qu'elle avait démissionné, ce qui lui permettrait enfin d'avoir un peu de temps pour elle "Ahh, au moins tu es enfin détachée de ta patronne qui t'en demandais tant !"Evidemment, la légèreté de la jeune femme ne lui avait pas fait penser un instant à ce que démissionner pouvait signifier dans le fond. Pas un instant elle ne songea à ce que cela puisse être négatif ou handicapant, ne pensant qu'aux bons côtés de la chose, auriant pu faire la même chose de son côté mais pour de biens moins bons motifs, comme celui de se reposer enfin sur les moyens de son futur mari. Cela, peut-être que Ludmila ne le nota pas, mais la psychologie de Jeanne était bien faussée sur ce genre de choses, comme si elle avait été élevée dans le luxe alors que depuis enfant elle ne fut pas réellement gâtée, sa mère ne roulant pas sur l'or pour éduquer ses quatres enfants. Sans doutes était-ce venu avec le temps, sa vision du monde et le choix borné de ses fréquentations d'un monde qu'elle jugeait supérieur à celui de ses tendres parents. Au regard complice de Ludmila, la jeune femme sourit, sans pour autant en comprendre les sous-entendus, étant restée sur leurs dernières conversations téléphoniques, datant d'une époque où la charmante blonde et l'illustratrice ne se fréquentaient plus de trop. Pour Jeanne, Ludmila aurait plus de temps pour elle, et c'était sans doutes ce qui comptait le plus, partageant sans savoir l'idée d'avoir plus de temps libre à flâner ou bien faire des choses pour tout, elle pensait ainsi. Pourquoi pas ? Elles n'étaient pas tout à fait sur la même longueur d'ondes, après c'était également ce en quoi la famille Romley pouvait bien être tranchée en deux, d'un côté les plus sages et reconnaissants de leur chance comme Claude ou Dominura, et de l'autre les éternels aveugles et avides Jeanne et Benjamin, quoi que ces derniers n'aient tout de même pas manqué d'avoir un bon fond, tout de même. Je te regarde, depuis le miroir, et ne manque pas de songer encore à nos précédentes sommes amies, maintenant. Pas vrai ? C'est pourtant étrange, sachant comment tout cela a qui était entre ma soeur et moi, Toi, qui a tout de même permis le fait que je me rapproche un tant soit peu d'elle. Et si mes yeux bleus t'observent encore un moment, je ne vois plus cette chair que je voulais mienne autrefois, mais bel et bien cette amie que j'ai cherché en toi par la suite. Car si l'on ne peut changer le passé, l'avenir nous réserve encore bien des surprises, et je ne serai jamais de celles qui s'arrêtent sur leur chemin. Toujours tout droit. En avant. Plus. Plus encore. Ce mariage est sans doutes une étape supplémentaire dans une vie que je voudrais parfaite, afin de ne plus avoir affaire à ces déprimantes visions d'une soeur trop lointaine, d'une mère faible et malade qui n'a plus grand avenir devant es comme une vision d'une perfection certaine, Ludmila. Belle, avantagée, disposant de richesses et d'une renommée non sommes faites pour nous entendre, n'est-ce pas ?Au rire sarcastique de la charmante russe, Jeanne se figea un instant, tournant la tête vers elle comme si le miroir ne suffisait plus pour soutenir leur intermédiaire. Ainsi put-elle voir Ludmila s'étaler sur le lit, fixant le plafond non sans un regard certainement arrêté. Mais que se passe t-il, jolie fleur ? Aurais-je dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Je comprends. Tu ne veux pas que je parles de Dominura ainsi, n'est-ce pas ? Mais c'est ma soeur. Ma soeur, avec qui j'ai les liens du sang, alors que tu n'es pour elle sans doutes qu'une rencontre parmis tant d'autres. Ne crois-tu pas que j'ai plus de chances que toi ? La chance de pouvoir être éternellement liée à elle ? Ne ris donc pas ainsi, tant tu risquerais de me froisser, sous les énormes plis de cette robe que j'ai voulu mienne pour le sourire de celle à qui je tiens es d'un égoïsme, aujourd'hui...A ces mots, les lèvres pulpeuses de la jeune blonde se crispèrent, cette dernière les pinçant d'une montée de colère. Comment osait-elle lui dire cela ?! C'était sa journée. Son mariage ! Comment pouvait-elle se permettre d'être aussi odieuse ! Ne pouvant pas répondre immédiatement, Ludmila enchainant dans ses paroles, Jeanne resta donc ainsi tournée vers elle, comme paralysée, tandis que son interlocutrice se redressait, comme hors d'elle, lui lançant ses propos à la figure comme sans une once de ne devrait pas être seule aujourd' aurions pu parler plus piailleuses de cousines... Une véritable ?! Tu as trouvé le mot juste, Ludmila, alors que mes joues rosissent d'une colère que je ne puis pour une fois pas cacher sous mes charmants sourires glossés. Je sais, qu'au fond tu tiens à moi. Je sais, que tu essayes peut-être de me faire réagir. Mais vois-tu, Ludmila, je suis ainsi, et ce n'est pas toi qui me fera changer en quoi que ce soit. Dominura ne devrait pas être seule ? Laisse-moi rire, à mon tour ! Dominura, Dominura, tout le monde n'a que ce mot-là à la bouche !!Evidemment, les cas de conscience de Jeanne étaient diablement faussés. Depuis le début de la journée, tout le monde n'avait fait que parler d'elle et de son mariage, de sa beauté et de son mari, sans même se soucier de sa soeur et de ce qu'elle devenait, si loin. Toutes les questions, les compliments, n'avaient étés tournés que vers elle, dont les sourires de Ludmila elle-même. Mais peut-être sa conscience jouait-elle fort contre elle, faisant passer en son esprit le nom de Dominura avant le sien, tant elle aurait aimé être la source de ce qui la rendrait le plus heureuse au monde, sans succès de part son comportement tout à fait égoiste, comme l'avait souligné la jolie blonde en face d' t'excuses, Ludmila, et tes paroles ne manquent pas de me venir aux de ma chance ? Mais quelle chance ? Tout cela est bien normal, non ?! Beaucoup de monde sont comme moi, et bien d'autres encore ont encore plus d'amis, plus de famille, plus de biens et plus de choses pour se contenter !! Et tu me dis ça comme si je ne me rendais compte de rien ?!En effet, Jeanne. Tu ne t'en rends pas sur les propos de l'egoisme, Jeanne parvint finalement à braver la mise en défaut dans laquelle Ludmila l'avait plongée, et, mitraillant son amie du regard, elle lui lança, sifflante "Moi, égoïste ?! Et toi, te rends-tu compte au moins à quel point tu as été odieuse ? D'abord à table, pour Dominura, maintenant avec moi ?!Mais putain qu'est-ce que tu fous à venir me dire des foutaises pareilles ?! Non mais tu t'es vue ?? J'ai le droit de profiter un peu, non ? C'est mon mariage, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué ! Et si jamais ça ne te plais pas, rien ne te retiens ici !!"Fulminante de rage, elle se retourna à nouveau vers son miroir, tentant d'adoucir ses traits afin de pouvoir se maquiller comme il se le mettant son rouge à lèvres, elle calma un peu son ton sans alléger ses propos et continua "J'estimme avoir tout autant le droit que ma soeur de prendre de tes nouvelles si j'en ai envie. Maintenant, si tu es ici pour me parler de ma chance, tu peux t'abstenir ! C'est tout à fait normal d'avoir ce genre de choses quand l'on passe un moment aussi important de sa vie."Tu verras, lorsque tu te marieras, si tu n'aurais pas envie d'avoir tout cela pour tu aies quitté Nathaniel m'importe peu, tu finiras sans doutes par te trouver quelqu'un, de part ta beauté et tes attendant, chasse un peu ma soeur de ton esprit,Elle qui te ronge,Et moi. ♦ Invité Empire State of MindInvité Sujet Re ~ Le Rose qu'on nous propose- [ PV Ludmi ] Dim 8 Aoû - 2036 Je me suis bel et bien détachée de ma patronne, oui. Ne vais-je pas par ailleurs le regretter ? Ce travail me plaisait, au fond. Mais le temps que je lui consacrais était totalement déraisonnable, il faut l’avouer. En ce qui concerne l’argent ? Oh, je n’ai pas réellement de soucis à me faire, ayant déjà bien assez pour vivre correctement pendant plus ou moins deux années entières. Evidemment, il est hors de question que je reste ainsi, à rien faire. Mais peut-être aurais-je quelques nouvelles opportunités, plus intéressantes tant pour ma carrière que pour ma vie privée ? Je veux du temps, tant pour moi que pour ceux que j’aime. Je veux pouvoir être avec Dominura, quand bon nous semble. Je veux avoir à nouveau l’occasion de passer quelques jours avec ma petite sœur, que j’affectionne tant. Mais j’imagine que tu ne te rends pas réellement compte de cela, n’est-ce pas ?Contrairement à toi, je pense avant tout aux contacts humains, et non à des plaisirs plus tu es n’ai pas peur de le dire, tandis que tu me penses odieuse. Qui l’est le plus, d’après toi ? J’ai beau tenter de te le faire comprendre, tu ne te rends pas compte du fait que ton attitude soit déplacée, irrespectueuse vis-à-vis de ta famille, de ceux qui t’aiment et font tout pour que ce jour soit des plus merveilleux pour toi. Je te regarde, et voit ta colère. Oh, je me doutais bien, que tu ne m’aurais pas laissé te parler ainsi. Mais au fond, tout ce que tu pourras dire ne me touchera pas, puisque je sais – au plus profond de moi – que je suis celle de nous deux qui a raison, concernant ton attitude aujourd’hui. Tout ? Peut-être pas, finalement. Car lorsque Jeanne reprocha à Ludmila d’avoir déjà été odieuse avec Dominura – tout à l’heure à table – la jolie blonde sentie son cœur se serrer, son regard se troublant un ainsi, perdant de sa détermination pour laisser place à un doute relativement douloureux De quoi Jeanne voulait-elle parler, au juste ? Du fait qu’elle n’ait pas pu s’adresser à nouveau à elle, après la fuite de la belle française de cette table familiale ? De ce qu’elle avait pu dire à leur mère, entrainant involontairement tous ces évènements ?Tu n’as pas à me juger, Jeanne. Je suis avec Dominura plus sincère que tu ne l’auras jamais été, au fond. Je vois bien, ton jeu. Et s’il m’amuse un temps, je ne te laisserai pas la manipuler éternellement, tu sais. Tu ne trouveras pas son attention en me mettant à défaut, bien au contraire. Te penses-tu sincèrement plus importante, pour elle ? Combien de fois as-tu la preuve du contraire ?! Dominura se fiche des liens du sang, si la personne face à elle n’en vaut pas la peine. Je n’ai pas besoin d’avoir ce lien, pour me faire aimer de celle que tu aimerais seulement approcher avec son as le droit de profiter, oui. Mais de le faire au dépend de tous ?! C’est bien ce que je dis, tu es purement égoïste. Et si tu penses réellement que rien ne me retiens ici, alors je partirai. Mais si je pars, ne crains-tu pas que ta chère sœur en fasse de même ? Je ne voudrais pas être mauvaise – jolie Jeanne – mais tu sais comme je peux parfois m’emporter, et faire plus de mal qu’il n’en serait nécessaire. Ce qu’il s’est passé lors de la conférence de Dominura ne t’a donc pas convaincu ? Pour Dominura – et par orgueil sans doute – je serai prête à gâcher tout ce jolie monde que tu t’ais créé pour l’ se retournant vers son miroir, Ludmila ne pu s’empêcher de laisser un sourire quelque peu mauvais se dessiner sur ses lèvres, tout en s’amusant néanmoins de l’emportement de la charmante blonde, à qui elle ne voulait finalement aucun mal, au fond – au contraire. Mais Jeanne continua, la laissant quelque peu perplexe, tout aussi dégoutée par ce comportement que profondément amusée. Etait-ce normal d’avoir ce genre de choses ? Non. Beaucoup de couples se mariaient dans un environnement bien plus simple et n’en étaient pas moins heureux pour autant. Mais après tout, la jeune Russe voyait bien que ça n’était pas la peine d’insister, laissant seulement quelques paroles – légèrement moqueuses – passer entre ses fines lèvres rouges - C’est tout à fait normal, c’est ça ! Si tu le dis. Si madame la petite princesse l’a déclaré ainsi, je suppose que je n’ai plus mon mot à dire. Tu veux que je parte ? Je commencerai alors par quitter cette chambre, te laissant te préparer en paix, te libérant d’une sincérité dont tu ne veux visiblement pas entendre parler. Repoussant une mèche de cheveux de devant mon visage, je finis par me lever, me rapprochant dangereusement de toi. ClacClacClac- Je suis heureuse pour toi, Jeanne. Mais au fond, tu sais très bien que j’ai délicatement ses fines mains se poser sur les épaules de la future mariée – se montrant étrangement plus douce, donc suspecte – la jeune Russe rapprocha très calmement son visage de l’oreille de Jeanne, lui murmurant alors quelques mots, non sans jubiler d’une vengeance tout aussi basse et froide qu’avait été la précédente attaque -En effet, peut-être que rien ne me retiens ici… Mais tu sais tout autant que moi que si je pars…Légère pause, Ludmila offrant un baiser – peut-être un peu plus sensuelle qu’elle ne l’aurait voulu – sur la joue de la jeune française, faisant durer cet instant, preuve de son pouvoir – mauvaise. Puis elle ajouta, un sourire en coin se dessinant sur ses fines lèvres rouges, terriblement provocante - Elle partira avec moi. Une seconde, et la belle blonde se redressa calmement, satisfaite de ce petit jeu, bien que n’ayant pas sérieusement l’idée de faire une pareille chose à Jeanne. Ainsi, n’étant tout de même pas aussi monstrueuse qu’elle n’en avait l’air, la jeune femme ajouta, plus sérieuse, retrouvant un sourire complice et quelque peu attendrit – au fond – à l’égard de la futur mariée, dont elle pouvait croiser le regard au travers de son miroir - Allez, détends-toi…Posant une main plus amicale sur son épaule avant de s’en détacher à nouveau, Ludmila tourna les talons et se dirigea alors vers la sortie de la chambre, en profitant pour défaire la boucle de tulle bleu qu’elle avait autours du poignet, montrant ce dernier à Jeanne avant de passer la porte, ajoutant d’un ton à la fois ferme et montrant sa toute conscience quant à ce qu’elle faisait - Au fait, je suis désolée, mais je ne peux pas garder ça. Ca ne va vraiment pas avec ma tenue. ♠Le tulle tombant à terre sous les yeux de la future mariée, Ludmila haussa légèrement les épaules, ainsi que ses fins sourcils blonds – faussement désolée – avant de finalement sortir de la pièce, refermant la porte derrière elle tout en jubilant de cette petite provocation. Tu vois, tu n’as pas toujours ce que tu veux, princesse. Je ne porterai pas ce tulle, comme tu me l’avais ne le porterai pas, tout simplement pour te faire entendre que tu n’as pas tous les droits, sur ne suis peut-être pas l’amie idéale, n’est-ce pas ? Oh – Tu le savais bien, avant même de venir à moi. ~ClacClacClacOù es-tu, toi, mon Amour ?ClacClacClacQuelques pas, jusqu’au hall d’entrée. J’imagine que tu es sortie, n’est-ce pas ?Quelques pas, vers la porte, et je l’ouvre, mon cœur battant à tout rompre, les joues rosies par l’adrénaline de cette confrontation avec ta sœur – vivifiante, pour tout dire. Oh, oui, je tiens à elle. Sincèrement. Et finalement, si ce comportement m’agasse, je n’en suis pas moins amusée, touchée. Ta garce de sœur n’en a pas fini avec Tu dessines ?!Ses sourcils se haussant tandis qu’un large sourire se dessinait sur ses lèvres, Ludmila ne tarda pas à se pencher par-dessus l’épaule de son ex-compagne, re Résumerde la Belle et la Bête. C’est l’histoire d’une famille composé d’un père et de ses trois filles. Les deux plus ainées étaient mercantiles, qui pensait seulement à faire la fête et à profiter de la fortune de son père. La plus jeune si jolie qu’on décida dePrincesse PORTRAITS DESSINESd’après vos Photos Toutes les mariées sont des princesses ! Offrez le plus romantique des mariages à la jeune fille rêveuse qui est en vous et partagez la magie de votre conte de fées avec vos invités dès l’envoi de votre faire-part de mariage “Il était une fois”. C’est un thème chic qui permet d’avoir un thème très fort et élégant. 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Partagez la magie de votre mariage avec vos invités en mettant à l’honneur l’amour qui vous uni comme dans le plus beaux des contes de fées. Le style conte de fées, Cendrillon se décline aussi bien au niveau de votre faire-part de mariage que des autres supports qui composeront votre décoration de table et de salle marque-place, menu, plan de table ou programme de cérémonie…. Il vous suffira simplement d’un carrosse, d’une pantoufle de verre ou de vair en d’un château style Disney de la belle au bois dormant pour donner vie à votre thème et à vos rêves. Grâce au graphisme, nous pourrons donner un style romantique à vos invitations et supports de mariage princiers • Tout d’abord, n’oublions pas la magie et le rêve en reprenant une présentation sous forme de livre de conte de fées avec une couverture en cuir avec des effets or ou argent. • Ensuite, il ne faudra pas hésiter alors à vous parer de tenues de prince et princesse et d’une tiare en diamant. Nous pourrons rappeler l’univers de Disney qui par ses princesses nous a fait tant rêver Cendrillon, la Belle au bois dormant, la belle et la bête ou encore Raiponce ou la reine des neiges. • Enfin, nous reprendrons les codes du livre de conte de fées de notre enfance à l’aide d’un texte spécial faire-part de mariage princesse agrémenté par une police de livre ancien! Bienvenue dans mon petit univers! Je m’appelle Pamela Gonzalez, je suis illustratrice & graphiste. Si on m’avait demandé quel métier je souhaitais exercer quand j’étais petite, j’aurais exactement décrit ce que je fais aujourd’hui dessiner des portraits, créer des collections colorées et avec du caractère et rendre les gens heureux avec mes petites illustrations ! Mais à l’époque vous savez, biiiiiien avant internet…! ce métier n’existait pas encore, j’ai dû me le créer. Heureusement, grâce à de belles rencontres, un peu de chance et beaucoup de travail, ce rêve est devenu réalité ! Et depuis 2007, j’ai l’immense plaisir d’accompagner et de suivre mes mariés dans un des moments les plus importants de leurs vies ! Très bonne visite ! N’hésitez pas à me contacter pour toutes questions. Les faire-part de mariage sont créés et imprimés en France, plus précisément à Strasbourg Alsace Qualität !. Je collabore avec mon imprimeur numérique CG photogravure depuis plus de 10 ans. Si vous souhaitez faire appel à un imprimeur proche de chez vous, je peux vous fournir le fichier d’impression en PDF HD directement également. Les faire-part de mariage sont créés et imprimés en France, plus précisément à Strasbourg Alsace Qualität !. Je collabore avec mon imprimeur numérique CG photogravure depuis plus de 10 ans. Si vous souhaitez faire appel à un imprimeur proche de chez vous, je peux vous fournir le fichier d’impression en PDF HD directement également. 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LABELLE ET LA BÊTE Film Français de Jean COCTEAU 1946 95 minutes L'HISTOIRE : La Belle est la fille d’un marchand ruiné. Ses sœur s aînées, Adélaïde et Félicie, sont prétentieuses, méchantes et ridicules. Elle est pure et bonne. Son frère Ludovic est un mauvais garçon et elle a comme prétendant un ami de celui-ci : Avenant. Quand son père part en voyage pour essayer de sauver
AccessDeniedAccess Denied1KXHFX1EGYHPC73VlxTey+NI1vIQBq6QGClJ2pf+nkMJhuoWzhwYm/NEARBsjVF8K8KfpNVd16avI643xRyZBajInUQ= Genre Fantastique. Durée. 96 min. Sortie. 1946. Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. La Belle et la Bête est un film fantastique français, réalisé par Jean Cocteau, sorti en 1946 1 . Il s'inspire de la version du conte La Belle et la Bête de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, publié en 1756 .Mariée Experte Septembre 2020 Rhône Mariée Experte Septembre 2020 Rhône Cyana Le 15 Juin 2022 à 1334 Signaler Voir message cité Merci beaucoup !! Répondre Super Mariée Juin 2022 Meurthe-et-Moselle Super déco ! Tu as assuré ! Répondre Mariée Experte Septembre 2020 Rhône Cyana Le 15 Juin 2022 à 0511 Signaler Voir message cité C’est vraiment trop gentil merci!!! 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Répondre Mariée Experte Octobre 2022 Calvados Céline Le 13 Juin 2022 à 2109 Signaler Voir message cité Non car je n'ai pas autant d'idée. On est resté classique... champêtre...vu qu'on se marie à la campagne. On va faire dans le rétro. Mais lorsque je vous tout le beau boulot, je me dis que j'ai du retard sur ma déco ...en tout cas c'est magnifique et plein de belles idées, vous avez cartonné je pense. Bises Répondre Mariée Experte Septembre 2020 Rhône Cyana Le 13 Juin 2022 à 2042 Signaler Voir message cité Merci beaucoup! Répondre Mariée Experte Septembre 2020 Rhône Cyana Le 13 Juin 2022 à 2042 Signaler Voir message cité Tout est fait main et la plupart avec de la recup … merci beaucoup ! Répondre Super Mariée Août 2024 Gironde Séverine Le 13 Juin 2022 à 2041 Signaler C'est superbe bravo la miss Répondre Mariée Curieuse Septembre 2022 Haute-Marne Emilie Le 13 Juin 2022 à 2039 Signaler Et bien un grand bravo à vous ! C’est vraiment magnifique ! En plus du fait main … félicitations Répondre Mariée Experte Septembre 2020 Rhône Cyana Le 13 Juin 2022 à 1937 Signaler Voir message cité C’est très gentil merci beaucoup ☺️ Répondre Mariée Addicte Mai 2023 Drôme Ninette Le 13 Juin 2022 à 1936 Signaler Bravo ! Vous avez pensé au moindre détail. Parfait et très joli. Félicitations Répondre Mariée Experte Septembre 2020 Rhône Cyana Le 13 Juin 2022 à 1926 Signaler Voir message cité Merci beaucoup! Répondre 1 2 3 sur 3 pages Suivant Articles associés
LaBelle et la Bête se côtoyaient déjà depuis un certain temps, Lindsey Vonn ayant réussi à faire sortir le Tigre pour une nuit d'amour dans le plus grand secret quelques mois avant laLabelle et la bête en prime time : l'histoire était trop belle. Las, les suspicions enflent, quand, après un court voyage de noces à Paris, le bonhomme rentre seul. Sa femme n'a pas souhaitéDans notre rubrique, une lectrice évoque le plus joli jour de sa vie. Aujourd’hui, Isabelle dévoile les coulisses de son mariage, ce moment unique et romantique, du choix de sa robe à l’échange des vœux. Les amoureux Isabelle, 27 ans et Martin, 28 ans. Ils ont célébré leurs huit ans ensemble neuf jours avant leur mariage. Ils se sont dit oui le 13 octobre 2018. Le mariage Cette journée a été un véritable conte de fées. Exactement comme ceux des livres que ma maman me lisait lorsque j’étais petite. Excepté que mon prince n’avait ni carrosse ni cheval blanc mais un impressionnant camion de pompiers rouge. Pendant des années, j’avais rêvé du moment où je remonterais l’allée, portant une magnifique robe, au bras de mon papa, pour rejoindre mon amoureux. » J’ai marché vers l’autel au son de Tale As Old As Time » de La Belle et la Bête ». Ce 13 octobre 2018, j’ai donc marché vers l’autel au son de Tale As Old As Time » de La Belle et la Bête », au bras de mon premier amour, mon papa. Mon pompier m’attendait, visiblement très ému. Quand je repense à ce moment, j’en ai des frissons à chaque fois. Je ne pense pas avoir été plus heureuse que ce jour-là. » Les conseils d’Isabelle Mon conseil? Lâchez prise! L’imperfection rendra le moment magique et parfait. Et n’oubliez pas que Pinterest est votre meilleur ami. Les moodboards donnent de superbes inspirations et permettent d’avoir une vue d’ensemble du style que l’on souhaite. » Ce qu’Isabelle changerait après coup Penser que l’on peut tout préparer soi-même est une mauvaise idée. J’étais ma propre organisatrice de mariage. J’y suis arrivée mais c’était très stressant. Surtout la dernière semaine. J’aurais tant voulu qu’il y ait quelqu’un d’autre pour préparer à ma place les décorations de rêve dénichées sur Pinterest. » Ce qu’Isabelle a trouvé trop onéreux Absolument tout! Une grande partie du budget est parti pour ma robe et la photographe. Mais je referais exactement pareil. Après tout, on ne vit cette journée qu’une fois et il est donc logique qu’on veuille que tout soit parfait. » La robe La robe Ma robe de princesse avec une traîne de trois mètres de long est de la marque Enzoani. Nous avons parcouru le pays avec ma maman, ma sœur, ma grand-mère, ma belle-mère et mes belles sœurs pour trouver le modèle de mes rêves. Celle-ci a été la première que j’ai enfilée et elle a directement fait verser des larmes à mon auditoire. Le choix était fait. » Enzoani. La coiffure et le maquillage La coiffure et le maquillage Je trouvais qu’il était essentiel de rester moi-même le jour J, donc j’ai préféré me charger de mon maquillage J’ai par contre confié le soin de mes cheveux à Rianne de VadaVoom. Elle est restée à mes côtés une demi-journée et ma coiffure est demeurée parfaitement en place pendant trois jours! » VadaVoom Les demoiselles d’honneur Les demoiselles d’honneur J’ai choisi six demoiselles d’honneur, dont ma sœur Axelle. Les autres étaient mes deux belles sœurs Lisa et Laura et mes amies Elise, Lena et Coline. J’étais si heureuse de les avoir à mes côtés. Ce sont les six femmes de ma vie. Mon mariage n’aurait pas été pareil sans elles. » Le mariage civil Le mariage civil C’est mon oncle Eric qui nous a marié à la commune. C’était un moment particulier, émouvant et personnel. » Le cadeau des collègues Le cadeau des collègues Martin étant pompier, nous avons choisi un véhicule de sa caserne comme moyen de transport et avons reçu un joli cadeau de ses collègues. Ils nous attendaient devant la commune pour notre sortie, habillés de leur uniforme et nous ont acclamés tout en nous arrosant. » La cérémonie La cérémonie Tandis que je marchais vers l’homme de ma vie au son de Tale As Old As Time » en m’accrochant au bras de mon papa, de nombreux souvenirs de bonheur me sont revenus et je n’ai pu retenir mes larmes. La cérémonie, entourée de nos amis et nos familles, a été un magnifique hommage à notre histoire d’amour. » Les alliances Les alliances Ma bague de fiançailles, un cœur taillé dans une pierre rose et nos alliances, ont été fabriquées par mon père, qui est bijoutier. » La séance photo La séance photo Elle reflétait exactement ceux que nous sommes. Jeunes mariés et follement heureux. C’était un moment que j’attendais depuis des années. Elle a été réalisée par Leentje Loves Light. Une photographe ultra-talentueuse et surtout une femme fantastique qui a su nous mettre totalement à l’aise. » Leentje Loves Light La décoration La décoration Je me suis occupée de toute la décoration, des bougies aux ballons. Seuls les bouquets de fleurs ont été composés par un ami de la famille. Etre son propre organisateur de mariage est très stressant mais je suis satisfaite du résultat. Cela a été le conte de fées dont je rêvais. » La première danse La première danse Pour notre première danse, nous avons choisi la chanson de Bruno Mars Just the Way You Are », chantée a capella par mon amie Karen. Cela a été un moment magique, incroyablement intime, entouré de notre famille et de nos meilleurs amis. Ensuite, trois DJ’s se sont succédés pour célébrer la fête et notre bonheur. » Photos Leentje Loves Light D’autres magnifiques jours J Inspiration le mariage digne d’un film Hollywoodien de Frédérique et Grégory. Inspiration le mariage créatif et DIY d’Elise et Sam. Inspiration le mariage rétro et parisien d’Emilie et Miguel.
03 AOûTL’anniversaire La Belle et la Bête » de Chloé chic et féeriqueAvez-vous vu le film La Belle et la Bête de Bill Condon mettant en scène la jolie Emma Watson ? C’est le thème qu’a choisi Chloé, qui l’a adoré, pour son anniversaire. C’est Deb Events qui a organisé cet anniversaire La Belle et la Bête. Pour cela, elle a créé une sweet table chic tout […] 12 JUINUne demande en mariage sur la Belle et la Bête »Comme j’aime les photoshoots inspirés des contes ! Et celui-ci a une teneur particulière, car il est basé sur un sujet rare, La Belle et la Bête, mais surtout parce qu’il s’agit d’une demande en mariage. Chelsey, qui joue la Belle, ignorait totalement que son bien-aimé allait poser la question pour de vrai, et pensait […]
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Rapide, vous pouvez l'envoyer par SMS ou mail ou encore le diffuser via les réseaux en créant une page Facebook dédiée au mariage. Un faire-part disponible également en PDF en option pour vous permettre de l'impression chez vous ensuite. Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème Champêtre et Oiseaux avec une texture imitation kraft est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format carré // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème couronne de fleurs champêtres avec une texture imitation kraft est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème coeur empreintes avec une texture imitation kraft est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format carré // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème fanions colorés est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format carré // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème vintage et rétro avec une texture imitation kraft est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format carré // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème champêtre dentelle avec une texture imitation kraft est à personnaliser avec vos textes et couleurs. 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Ce modèle au thème ballon doré est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème art déco années folles doré est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème floral et champêtre est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème nuit étoilée est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème fleurs colorées aquarelle est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème floral géométrique est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format carré // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème Champêtre dentelle avec une texture imitation kraft est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème fleuri est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format carré // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. 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Ce modèle au thème afrique chic est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format A6 // Résolution Web Envoyez votre faire-part dans un format image numérique par mail, sms ou via les réseaux. Pratique, écologique et économique ! Ce modèle au thème champêtre fleurs des champs est à personnaliser avec vos textes et couleurs. Format carré // Résolution Web Bouquetde mariée origami thème la belle et la bête. 129,00 €. Cette création de bouquet de mariée Disney en fleurs en papier origami est inspiré par la belle et la bête. Pour un mariage de princesse, il sera idéal ! Disponible sous 3 à 8 semaines. Acheter maintenant. Un faire-part digne du conte de fée dont il est inspiré La Belle et La Bête. Elégant à souhait avec sa pochette ajourée aux motifs délicats réalisée dans un très beau papier bleu nuit irisé autres coloris possible A l’intérieur, vous y trouverez votre carton d’invitation entièrement personnalisé selon vos souhaits avec impression recto-verso photo 9 et la symbolique cloche de verre avec une rose de satin rouge. L’intégralité de cette création est personnalisable. * Dimensions * 110 x 158 mm environ **PERSONNALISATION** Cette création est conçue UNIQUEMENT SUR MESURE. Cela me permet de vous proposer une personnalisation complète à partir de – Votre thème conte, thématique au choix – Vos couleurs – Votre texte L’impression se fera recto-verso avec toutes les informations que vous souhaitez y voir apparaitre. ***FINITIONS*** Je vous propose différents type de papier – blanc 250gr – écru texturé 210gr modèle en photo
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